Le guest house, bain du matin
A mon arrivée, il y avait déjà deux gars qui discutaient dans l’eau. J’étais descendu en short et je leur demandai si ça les gênais que je me baigne nu, ne voulant pas mouiller mon short de course. Il acquiescèrent ; j’^tais donc mon short et me glissait dans le bassin pour m’approcher d’eux et les saluer.
Quand je fus à leur côté,
l’un des garçons, plutôt que de me serrer la main, me prit la verge en main et
la caressa avec un beau sourire entendu. Voilà que ça recommençait !
décidément cet établissement était la maison du bonheur !
Ils me firent une
place entre eux deux . A cet instant je reconnu l’un deux, c’était mon
partenaire de piscine. Tout en me caressant le torse, il fit mon éloge, si je
puis dire, à son compagnon qui lui me caressait la cuisse. Bientôt, je bandai
et le bout de mon gland apparu au-dessus de l’eau, ce qui nous fit tous rire ;
le barbu s’en empara et la caressa doucement ainsi que mes couilles toutes
rabougries sous l’eau. C’était bon de se bécoter tour à tour. Ils avaient des
shorts de bain mais je sentais en les tâtant le tissu en tension ; leurs
bites se raidissaient et étaient à l’étroit .
De nouveau, comme hier mon compagnon, poussait ma tête contre sa queue afin de la mettre au plus profond de ma gorge et la queue du barbu attendait caressant de son gland l’arrière de mon crane. Je la gobai à son tour ; sa courbure marquée faisait frotter le bout du gland au fond de ma gorge ; j’aimais ça, j’aimais sentir ses poils frotter contre ma bouche et mes joues, je pompai avec enthousiasme.
Il me fit relever me
porta dans ses bras comme un gosse, m’embrassant goulument tandis que son
compagnon frottait déjà sa queue contre mon cul. Tout en me décoctant aussi ;
que c’était bon ces trois langues emmêlées.
-bouffez-moi le cul ,
dis-je en soupirant et en écartant mes fesses des deux mains. Le compagnon, s’assit
sur le rebord et je collai mes fesses écartées contre son visage et me frottai
à sa barbe naissante tandis que le barbu me pompai la bite.
- Préparer le cul de mon mec, me dit-il je vais le baiser aussi.
Son compagnon se
positionna contre le mur, leva une jambe et je m’enfonçai entre ses globes, léchant
sa rondelle et m’introduisant en lui. Le barbu l’empala alors et je me saisis
de sa verge pour la gober en même temps.
Nous en eûmes un peu
marre de l’eau, nous sortîmes, sur la terrasse attenante , je me mis à quatre
pattes sur un transat posé là, gobai la tige du barbu offrant mon cul à son
compagnon qui repris ses coups de butoir me poussant sur le pubis du barbu.
Peu de temps après le
barbu me demanda de bien bouffer le cul
de son compagnon car il voulait le baiser Avec plaisir répondis-je !
Au bout d’un moment, Le
barbu me repoussa et empala son compagnon ; pour ma part je me mis sur le
dossier du transat pour qu’il me suce tandis qu’il se faisait mettre
-
Il est à toi maintenant !
Sans hésiter j’allai derrière son cul et le pénétrai aussitôt, poussé par le barbu qui voulait que j’intensifie mes coups de reins ; puisque cela ne semblait pas être assez puissant il m’encula à mon tour et donna par ses coips de bassin le rythme qu’il entendait donner.
Puis, il nous sépara, me jeta avec force sur le transat et demanda à son compagnon de me baiser. Il me pilonna longuement tout en serrant fortement mon cou me rendant la respiration très difficile, je me branlai alors furieusement et c’est à peu près étouffé que j’eu mon orgasme expulsant de puissants jets de foutre jusque sur mon visage. Le barbu approcha sa queue de ma bouche et jouit à son tour puis son compagnon en plusieurs spasmes intenses inonda mon rectum de sa semence.
Quand il se retira, il
resta un moment le visage contre mon cul, baisant délicatement mes fesses et
attendant de voir son foutre s’écouler de ma rosace. Il en lécha quelques
gouttes puis réintroduisit le reste avec son gland dans mon anus.
Ils me laissèrent
enfin là, cuisses écartées, cul ouvert, épuisé. Avec deux doigts, j’allai
cherche un peu de foutre et les portai à mes lèvres.
Après cela , enfin un
bon bain, seul !
La journée commençai
bien. Vivement le petit dej !
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