02 août 2021

Fire Island guest house(2) le second jour

Le guest house, bain du matin




Le matin, je fus réveillé par la lumière du soleil levant et les oiseaux qui piaillaient dans les arbres du jardin. Quelle nuit ! Hier soir, à peine avais-je regagné ma chambre et mon lit que je m’écroulai de sommeil. Ce matin, j’étais frais et heureux comme jamais, la journée avait été merveilleuse , tout mon corps frémissait encore des multiples caresses… Il était tôt un peu plus de 7h et je décidai d’aller dans le bain à remous de la piscine interne, en attendant le petit déjeuner.

A mon arrivée, il y avait déjà deux gars qui discutaient dans l’eau. J’étais descendu en short et je leur demandai si ça les gênais que je me baigne nu, ne voulant pas mouiller mon short de course. Il acquiescèrent ; j’^tais donc mon short et me glissait dans le bassin pour m’approcher d’eux et les saluer.


Quand je fus à leur côté, l’un des garçons, plutôt que de me serrer la main, me prit la verge en main et la caressa avec un beau sourire entendu. Voilà que ça recommençait ! décidément cet établissement était la maison du bonheur !

Ils me firent une place entre eux deux . A cet instant je reconnu l’un deux, c’était mon partenaire de piscine. Tout en me caressant le torse, il fit mon éloge, si je puis dire, à son compagnon qui lui me caressait la cuisse. Bientôt, je bandai et le bout de mon gland apparu au-dessus de l’eau, ce qui nous fit tous rire ; le barbu s’en empara et la caressa doucement ainsi que mes couilles toutes rabougries sous l’eau. C’était bon de se bécoter tour à tour. Ils avaient des shorts de bain mais je sentais en les tâtant le tissu en tension ; leurs bites se raidissaient et étaient à l’étroit .


Debout maintenant dans le bassin, pris en sandwich entre eux deux, nous nous embrassions fougueusement, l’un caressant mon torse,  mon ventre, mes couilles l’autre caressant voluptueusement mes fesses. Je voulais retrouver le goût de la verge de mon compagnon d’hier ; je m’assis sur le rebord du bain, lui ôtai le short et gobai sa belle pine ; pendant ce temps son compagnon barbu se débarrassait lui aussi de son short de bain. Il s’approcha alors enlaça son compagnon tout en brandissant une belle verge longue, fine et surmontée d’un gros gland.

De nouveau, comme hier mon compagnon, poussait ma tête contre sa queue afin de la mettre au plus profond de ma gorge et la queue du barbu attendait caressant de son gland l’arrière de mon crane. Je la gobai à son tour ; sa courbure marquée faisait frotter le bout du gland au fond de ma gorge ; j’aimais ça, j’aimais sentir ses poils  frotter contre ma bouche et mes joues, je pompai avec enthousiasme.


Il me fit relever me porta dans ses bras comme un gosse, m’embrassant goulument tandis que son compagnon frottait déjà sa queue contre mon cul. Tout en me décoctant aussi ; que c’était bon ces trois langues emmêlées.

-bouffez-moi le cul , dis-je en soupirant et en écartant mes fesses des deux mains. Le compagnon, s’assit sur le rebord et je collai mes fesses écartées contre son visage et me frottai à sa barbe naissante tandis que le barbu me pompai la bite.


Finalement je me retournai pour lui lécher le torse, les aisselles pendant que le barbu s’enfonçait en moi. Je ne savais pas où donner de la tête entre ces deux beaux corps offerts, j’allais de l’un à l’autre tandis que le barbu continuait à me ramoner de sa longue verge courbe. C’était amusant car ses coups de reins provoquaient de grosses vagues à la surface du bassin. Soudain, alors que je pompai assidument son compagnon, le barbu ôta sa queue de mon cul et commença un long doigté avec trois puis quatre puis toute la main, presque un fist. Puis m’ayant bien ouvert, revint me pilonner longuement avant de se retirer de nouveau.

-        Préparer le cul de mon mec, me dit-il je vais le baiser aussi.


Son compagnon se positionna contre le mur, leva une jambe et je m’enfonçai entre ses globes, léchant sa rondelle et m’introduisant en lui. Le barbu l’empala alors et je me saisis de sa verge pour la gober en même temps.

Nous en eûmes un peu marre de l’eau, nous sortîmes, sur la terrasse attenante , je me mis à quatre pattes sur un transat posé là, gobai la tige du barbu offrant mon cul à son compagnon qui repris ses coups de butoir me poussant sur le pubis du barbu.

Peu de temps après le barbu me demanda de bien bouffer le  cul de son compagnon car il voulait le baiser Avec plaisir répondis-je !


Celui-ci se mis à quatre pattes sur le transat, cuisses bien écartées , j’écartai le plus possible ses deux globes m’offrant à la vue et à la langue une rondelle déjà bien ouverte que je bouffai avec délectation tout en tenant sa longue verge en mains.

Au bout d’un moment, Le barbu me repoussa et empala son compagnon ; pour ma part je me mis sur le dossier du transat pour qu’il me suce tandis qu’il se faisait mettre

-        Il est à toi maintenant !

Sans hésiter j’allai derrière son cul et le pénétrai aussitôt, poussé par le barbu qui voulait que j’intensifie mes coups de reins ; puisque cela ne semblait pas être assez puissant il m’encula à mon tour et donna par ses coips de bassin le rythme qu’il entendait donner.


 

Puis, il nous sépara, me jeta avec force sur le transat et demanda à son compagnon de me baiser. Il me pilonna longuement tout en serrant fortement mon cou me rendant la respiration très difficile, je me branlai alors furieusement et c’est à peu près étouffé que j’eu mon orgasme expulsant de puissants jets de foutre jusque sur mon visage. Le barbu approcha sa queue de ma bouche et jouit à son tour puis son compagnon en plusieurs spasmes intenses inonda mon rectum de sa semence.


Quand il se retira, il resta un moment le visage contre mon cul, baisant délicatement mes fesses et attendant de voir son foutre s’écouler de ma rosace. Il en lécha quelques gouttes puis réintroduisit le reste avec son gland dans mon anus.

Ils me laissèrent enfin là, cuisses écartées, cul ouvert, épuisé. Avec deux doigts, j’allai cherche un peu de foutre et les portai à mes lèvres.

Après cela , enfin un bon bain, seul !

La journée commençai bien. Vivement le petit dej !

 

 

 
 





 









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