04 août 2021

Fire Island guest house (3) doggy

 doggy

 


Après « mon très animé bain matinal » , je me rendis à la salle à manger pour engloutir un copieux petit déjeuner ; un grand besoin de calories après toutes ces galipettes. C’est là que je partageai la table avec un barbu plutôt costaud qui s’appelait Ross. Bien qu’il soit habillé un peu en décalage pour un établissement de vacances, il portait un pantalon noir et une chemise blanche genre business man, ce mec envoyait à l’entour des phéromones à plein nez tellement il était sexy et attirant… Après avoir échangé de choses et d’autres, il me dit qu’il m’avait vu le premier soir dans mes ébats avec mes trois autres compagnons. Il était resté un moment à nous regarder et il avait, me dit-il  flashé sur moi.. Il me dit aussi d’une façon très directe qu’il m’avait trouvé très « doggy» et il me proposait de passer la matinée avec lui. Il était très stressé et avait besoin d’un mec soumis pour le calmer ; il était en outre persuadé que j’allais découvrir des plaisirs insoupçonnés en moi. Je donnai mon accord, sans trop savoir ce qui allait se passer. Après tout ce séjour de vacances devenait très expérimental... Je le suivi dans sa suite où il me demanda de me dévêtir complètement.

Puis il s’installa sur le grand canapé de la terrasse et me demanda de lui servir de repose-pieds pendant qu’il passait quelques appels téléphonique. Je m’exécutai bien sûr, j’avais accepté le deal.. Des résidents passaient de temps en temps devant nous, jetant un regard amusé sur la scène. Ses voisins de la suite d’a coté le saluèrent et lui firent des compliments, non sans un certain humour,  sur son nouveau « repose-pieds ». Quand il eût fini ses appels, il me demanda de lui lécher les pieds.

-        Nettoie bien mes plantes des pieds ; oui comme ça ; suce-moi chaque orteil ; hmmm ! c’est bon, tu aimes mes pieds ?


- Ouiii, c’est délicieux, répondis-je plus par jeu que par conviction.

 

Je dois dire quand même que je bandais un peu ; ce n’était pas ses pieds qui m’excitaient, non, c’était plutôt le fait de mener une nouvelle expérience, l’idée de jouer le jeu d’un inconnu, d’être effectivement un peu vulnérable, de me mettre à la merci de ses désirs inconnus encore à ce stade et puis toujours mon coté exhib, être vu ainsi me plaisait et participait à mon excitation.

 

-        Essuie mes pieds avec ta queue, oui comme ça ; branle-toi avec mes pieds, hmmm tu aimes ? tu as une très belle queue, tu le sais, non, on te l’as souvent dit je suis sûr !

-        Continue de me nettoyer ce pied mais montre-moi ton cul, baisse-toi.. hmm, joli tanline, c'est à Manhattan que tu bronze comme ça ?

Et après avoir caressé mes fesses avec son pied, il le glissa entre mes globes, frottant ma rosace avec son gros orteil.


C’était plutôt bon ! je lui suçai le gros orteil tandis qu’il tentait de me pénétrer avec l’autre gros orteil ; plutôt cocasse…mais agrémenté de ses commentaires salaces, cela devenait plus excitant. Il commençait vraiment à s’enflammer. Moi je m’acharnais sur ses orteil,  tout en caressant ses jambes et sa braguette de pantalon, il bandait bien, une belle promesse à venir… il déboutonna sa chemise faisant apparaître un torse puissant et velu.

-     


   Défait ma ceinture et mon pantalon avec ta bouche, mec, vite ma queue est à l’étroit dans mon slip !

Je m’exécutai ; quand la ceinture fut défaite, il me gifla gentiment avec tandis que je m’évertuai à ouvrir son pantalon, toujours avec la bouche ; plutôt difficile ! je réussis néanmoins à descendre sa fermeture éclair avec les dents. Je baissai ensuite son pantalon et fut giflé par une grosse queue veineuse qui jaillit subitement de son froc. Ça  sentait bon le mec. Je collai mon nez dans sa toison, sur son gland.

-        Tu aimes l’odeur , mec tu aimes cette odeur de sueur, j’ai passé la nuit en boîte à danser et je n’ai pas pris de douche ce matin ni enlevé mon pantalon en pensant à toi…


En effet je sniffai profondément ses couilles, son entrejambe velu, son gland ; cela sentait fort la sueur, l’urine… effluves masculines qui me firent chavirer.

 

Il souleva ensuite ma tête me fourra trois doigts dans la gueule et fit mine de me baiser violemment avec.

-        Ta bouche est assez grande et profonde pour ma queue ? qu'en dis-tu et il m’enfonçait violemment ses doigts  jusqu’à me faire presque vomir.

Si elle était effectivement massive et longue, j’en avais vu d’autres et je fus capable de la gober entièrement, profondément, le nez dans sa toison.

Good boy, continue pompe-moi à fond, oui comme ça

-        Maintenant, continue ma toilette, nettoie bien mon cul

Je me précipitai vers sa raie bien écartée ;humai les effluves acres de son intimité, léchai l’humidité de ses poils et léchai sa rondelle. Il aimait ça et me poussait vigoureusement la tête de la main pour que ma langue le pénètre bien ; un vrai bonheur, je n’hésitai pas non plus à passer mon menton pas rasé contre sa fine raie ce qui le fit gémir de plaisir. En même temps je tendais sa verge au maximum vers moi afin de la lécher aussi.

Après cela il me retourna, me mis à quatre pattes sur le sofa, tira sur ma queue comme pour la traire, m’écarta ensuite les fesses et me fourra sa langue dans ma rosace.

Il cracha deux ou trois fois, introduisit sans difficulté un doigt puis me lima avec trois

-        Putain mec, ton petit trou est un régal !... je sens qu’on va s’éclater tous les deux et il y introduisit deux doigts d’une main puis deux autres doigts de l’autre main qui écartèrent mes sphincters

-        Allez, ouvre bien ton trou pour moi, ouvre-moi ça bien large !

Il reprit ensuite ma queue , l’attirant vers l’arrière et tapota gentiment mais fermement sur mes boules, ce qui effectivement était plutôt douloureux mais qui l’amusait beaucoup.

Même s’il avait préparé le terrain, accepter son braquemart ne fut pas une mince affaire. Assis sur le canapé, il me demanda de le chevaucher et de m’empaler sur lui, J’avais beau descendre doucement, le poids de mon corps me poussait  inexorablement vers le bas et bientôt j’eus mes cuisses sur les siennes et sa verge toute entière en moi.

Puis après quelques va-et-vient du bassin, tout alla bien, je bandais à fond et j’allais et venait sur lui tout en me branlant.

C’était hyper bon mais épuisant et au bout d’un moment je me séparai de lui, pour profiter de son corps, parcourir avec ma langue son bas-ventre et son torse velu et m’abandonner dans ses aisselles humides et odorantes.

Puis, je l’enfourchai de nouveau, mais cette fois face à lui ; je pouvais ainsi, tout en allant et venant sur lui le bécoter, lui baiser le visage. Soudain, me prenant sous les genoux il me souleva et se leva et accroché à son cou, me pilonna. Cette position était enchanteresse et me rapprocha plusieurs fois de l’orgasme et lui aussi.

Maintenant que mon anus était bien dilaté, il me coucha de nouveau sur le canapé et me pénétra par derrière par à-coups  entrant et sortant sa verge, admirant mon cul ouvert et s’enfonçant de nouveau.

Il voulu faire de même avec ma gorge qu’il vint défoncer longuement.

-        Je vais jouir maintenant mec, ouvre bien ta grande bouche !


Il inonda mon visage et ma langue de belles giclées de foutre puis me laissa tomber allant consulter ses courriels à l’autre bout du sofa.

Je n’avais plus qu’à me branler tout en le regardant. A un moment il m’offrit ses pieds pour ma branlette et je jouis sur ses pieds que je n’eus plus qu’à lécher ensuite.

-        J’ai envie de pisser, je remonte dans ma chambre, me dit-il ensuite. Me laissant là seul sur le sofa.

Il monta juste quelques marches et se ravisa ;


-        Finalement, j’ai la flemme de monter, je vais pisser sur toi, je vais te donner le bain,

C’était là encore une première pour moi

Je me retrouvai finalement trempé de son urine sur le sol de la terrasse

 
 






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