doggy
Puis il s’installa sur
le grand canapé de la terrasse et me demanda de lui servir de repose-pieds
pendant qu’il passait quelques appels téléphonique. Je m’exécutai bien sûr, j’avais
accepté le deal.. Des résidents passaient de temps en temps devant nous, jetant un
regard amusé sur la scène. Ses voisins de la suite d’a coté le saluèrent et lui
firent des compliments, non sans un certain humour, sur son nouveau « repose-pieds ». Quand il eût fini ses appels, il me demanda de lui lécher les pieds.
- Nettoie bien mes plantes des pieds ; oui comme ça ; suce-moi chaque orteil ; hmmm ! c’est bon, tu aimes mes pieds ?
Je dois dire quand même que je bandais
un peu ; ce n’était pas ses pieds qui m’excitaient, non, c’était plutôt le
fait de mener une nouvelle expérience, l’idée de jouer le jeu d’un inconnu, d’être
effectivement un peu vulnérable, de me mettre à la merci de ses désirs inconnus
encore à ce stade et puis toujours mon coté exhib, être vu ainsi me plaisait et
participait à mon excitation.
-
Essuie mes pieds avec ta queue, oui
comme ça ; branle-toi avec mes pieds, hmmm tu aimes ? tu as une très
belle queue, tu le sais, non, on te l’as souvent dit je suis sûr !
-
Continue de me nettoyer ce pied mais
montre-moi ton cul, baisse-toi.. hmm, joli tanline, c'est à Manhattan que tu bronze comme ça ?
Et après avoir caressé mes fesses avec son pied, il le glissa entre mes globes, frottant ma rosace avec son gros orteil.
C’était plutôt bon !
je lui suçai le gros orteil tandis qu’il tentait de me pénétrer avec l’autre
gros orteil ; plutôt cocasse…mais agrémenté de ses commentaires salaces,
cela devenait plus excitant. Il commençait vraiment à s’enflammer. Moi je m’acharnais sur ses orteil, tout en caressant ses
jambes et sa braguette de pantalon, il bandait bien, une belle promesse à venir…
il déboutonna sa chemise faisant apparaître un torse puissant et velu.
-
Je m’exécutai ;
quand la ceinture fut défaite, il me gifla gentiment avec tandis que je m’évertuai à
ouvrir son pantalon, toujours avec la bouche ; plutôt difficile ! je réussis
néanmoins à descendre sa fermeture éclair avec les dents. Je baissai ensuite son
pantalon et fut giflé par une grosse queue veineuse qui jaillit subitement de son froc. Ça sentait bon le mec. Je collai mon nez dans sa toison, sur son gland.
- Tu aimes l’odeur , mec tu aimes cette odeur de sueur, j’ai passé la nuit en boîte à danser et je n’ai pas pris de douche ce matin ni enlevé mon pantalon en pensant à toi…
En effet je sniffai
profondément ses couilles, son entrejambe velu, son gland ; cela sentait
fort la sueur, l’urine… effluves masculines qui me firent chavirer.
Il souleva ensuite ma
tête me fourra trois doigts dans la gueule et fit mine de me baiser violemment
avec.
-
Ta bouche est assez grande et profonde
pour ma queue ? qu'en dis-tu et il m’enfonçait violemment ses doigts jusqu’à me faire presque vomir.
Si elle était effectivement
massive et longue, j’en avais vu d’autres et je fus capable de la gober entièrement, profondément, le nez dans sa toison.
-
Maintenant, continue ma toilette,
nettoie bien mon cul
Je me précipitai vers
sa raie bien écartée ;humai les effluves acres de son intimité, léchai l’humidité
de ses poils et léchai sa rondelle. Il aimait ça et me poussait vigoureusement la tête de la
main pour que ma langue le pénètre bien ; un vrai bonheur, je n’hésitai
pas non plus à passer mon menton pas rasé contre sa fine raie ce qui le fit
gémir de plaisir. En même temps je tendais sa verge au maximum vers moi afin de
la lécher aussi.
Après cela il me
retourna, me mis à quatre pattes sur le sofa, tira sur ma queue comme pour la
traire, m’écarta ensuite les fesses et me fourra sa langue dans ma rosace.
-
Putain mec, ton petit trou est un régal !...
je sens qu’on va s’éclater tous les deux et il y introduisit deux doigts d’une
main puis deux autres doigts de l’autre main qui écartèrent mes sphincters
-
Allez, ouvre bien ton trou pour moi,
ouvre-moi ça bien large !
Il reprit ensuite ma
queue , l’attirant vers l’arrière et tapota gentiment mais fermement sur mes
boules, ce qui effectivement était plutôt douloureux mais qui l’amusait beaucoup.
Puis après quelques
va-et-vient du bassin, tout alla bien, je bandais à fond et j’allais et venait
sur lui tout en me branlant.
C’était hyper bon mais
épuisant et au bout d’un moment je me séparai de lui, pour profiter de son
corps, parcourir avec ma langue son bas-ventre et son torse velu et m’abandonner
dans ses aisselles humides et odorantes.
Puis, je l’enfourchai
de nouveau, mais cette fois face à lui ; je pouvais ainsi, tout en allant
et venant sur lui le bécoter, lui baiser le visage. Soudain, me prenant sous
les genoux il me souleva et se leva et accroché à son cou, me pilonna. Cette
position était enchanteresse et me rapprocha plusieurs fois de l’orgasme et lui
aussi.
Il voulu faire de même
avec ma gorge qu’il vint défoncer longuement.
-
Je vais jouir maintenant mec, ouvre bien
ta grande bouche !
Il inonda mon visage
et ma langue de belles giclées de foutre puis me laissa tomber allant consulter
ses courriels à l’autre bout du sofa.
-
J’ai envie de pisser, je remonte dans ma
chambre, me dit-il ensuite. Me laissant là seul sur le sofa.
Il monta juste quelques marches et se ravisa ;
-
Finalement, j’ai la flemme de monter, je
vais pisser sur toi, je vais te donner le bain,
C’était là encore une première
pour moi
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