Je rentrai ce soir là d'une longue et exténuante journée à parcourir Barcelone faire mes photos. Des kilomètres et des kilomètres à sillonner certains quartiers de cette ville que j'aime et qui m'a vu naître. Même si je n'étais accordé un bon moment de détente pour profiter du beau soleil de cette fin octobre sur la plage naturiste MAR BELLA, j'étais encore épuisé et je n'avais nulle envie de ressortir pour courir les bars ou les boites même si la petite heure passée sur le sable de la MAR BELLA entouré de corps nus essentiellement de mecs m'avait je l'avoue mis les sens à l'envers.
Une main effleurait mes fesses! je restai ainsi, sans un mot, les mains liées dans le dos; juste une légère cambrure de mes fesses, comme une invite, un encouragement. La main maintenant caressait mes couilles et ma hampe bien droite.
ur mieux y revenir. Puis, un doigt s'aventura dans mon anus, m'arrachant un petit cri de surprise et de plaisir ce qui l'encouragea à en fourrer un deuxième car il sentait que je m'ouvrais avec force appétit à son exploration. Il continua ainsi un long moment, prenant son temps, à me préparer, deux, trois doigts puis deux de chaque main, dilatant tranquillement mes sphincters, le silence de ma chambre rompu par mes couinements de plaisir.
Le moment était venu, IL pouvait trouver sur le chevet, le gel et les capotes que j'avais mis en évidence. Mon entre-fesses bien humide de sa salive, mon mignon bien préparé, j'écartai un peu plus les cuisses afin de mieux l'accueillir.
IL me caressa de nouveau les galbes de mes fesses, posa un baiser, le premier sur la gauche, un autre au creux de mes reins et approcha son gland de ma rondelle. C'était sans nul doute un beau format...., je respirai un bon coup, écartai un peu plus les cuisses et m'avançai vers lui. Son gland me perfora, me pénétrant pratiquement du premier coup. Merde , sans capote! je songeai à me retirer l'espace d'un instant en mode panique, un court instant, mais comme un couillon, je laissai le désir l'emporter sur la raison.
IL coulissait en moi sans échauffement, sans heurts.
IL variait de rythme, reculait, revenait poser son lourd paquet contre mon scrotum, tout cela en m’arrachant des râles de plaisir. L'inconnu se révélait être un amant formidable, un Dieu de la bite disposant des clefs de ma jouissance. Sa sueur gouttait sur mon épaule et ruisselait de son pubis dans ma raie, provoquant les bruits caractéristiques d’une partie de jambes en l’air.
Ma queue maintenant poisseuse de sueur et de mouille était prête à exploser tandis que mon amant inconnu m’enfilait de merveilleux coups de verge et mon rectum vibrait de toutes ses terminaisons nerveuses. Une énorme boule d’énergie s’accumulait sous ma vessie et je la sentis exploser de toutes parts. Je criais mon orgasme, les jambes tremblantes, le corps parcouru de frissons, l’anus palpitant autour de cette puissante verge qui m’offrait un véritable feu d’artifice.
Lorsqu’IL s’immobilisa, un silence que seuls nos souffles courts troublaient s’installa, puis il se rallongea sur moi, comme éteint. Nos cœurs encore emballés mirent longtemps avant de retrouver leurs cycles standards. Après quelques minutes pendant lesquelles aucun de nous n’osa parler, je sentis mon ventre se détendre, accompagné de drôle de gargouillis comme sa verge diminuait de volume. Sa poitrine glissait dans nos transpirations mêlées , IL collait à mon dos, ma verge goutait encore les restes de mon plaisir physique. Quant au plaisir cérébral, j’étais encore dans les limbes!
— Dis-moi que je ne rêve pas, s'il te plaît ? parvins-je enfin à prononcer en anglais, ne sachant pas quelle langue était la sienne.
— Tu ne rêves pas. dit-il en espagnol tout en se redressant à peine
— Que c’était bon ! Ta queue en moi... wouaahh !
Ma main vint chercher le flanc de sa fesse pour la caresser respectueusement et le maintenir encore en moi alors qu’il se redressait.
— Reste encore en moi, j’aime te sentir débander lentement. Tu as aimé me prendre ?
— J’ai adoré, mais je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
— Tu plaisantes, j’espère. Tu es hyper endurant ! Quel baiseur tu es, dis-je en serrant les fesses sur son membre. Tu m’as fait jouir comme je n’ai plus joui depuis trèèès longtemps.
- Au fait , je m'appelle Mario et toi?
- Basile.
IL caressa mon dos en se disant flatté, m’assurant avoir énormément pris de plaisir et qu’il aimerait beaucoup remettre cela. Je n’en espérais pas plus. Puis, toujours avec délicatesse, IL commença à se retirer. Lorsque, presque à regret tant j’appréciais de le sentir en moi, IL déboucha de mon anus distendu par le puissant orgasme que je venais de vivre, une incroyable coulée de sperme quitta mon rectum, ruisselant sur mes cuisses et mes bourses. IL m’avait inséminé une quantité de foutre impensable, jusqu’alors inédite malgré le grand nombre de partenaires rencontrés. Je réalisais instantanément l’origine de l’étrange sensation perçue alors qu’à demi conscient, je trouvais cela presque exagéré.
— Mais tu as déchargé un demi-litre ?
— Je suis assez... expansif.
— Tu plaisantes ? Si tu jouis toujours autant, c’est génial ! dis-je en m’accroupissant devant son sexe pendant, mais pourtant encore long et large.
Son gland encore renflé retenait toujours son prépuce lorsque je l’enfournai entre mes lèvres. Je savourais ce sexe dépassant tous mes espoirs de drague, encore imprégné du goût de sa semence. Les genoux écartés, je sentais le frais pénétrer mon rectum quelque peu fiévreux de ses assauts, duquel gouttait encore du sperme tant il me l’avait ouvert et rempli. Je nettoyais ce sexe avec des mouvements amples et respectueux, un peu comme un cavalier flatte son cheval en sueur lorsqu’il vient de remporter une coupe. Bandée comme débandée, elle était tout aussi bonne et volumineuse. Ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur, il se laissait faire docilement, soufflant même un peu quand je gobais ses belles couilles poilues. Repos!
Je le découvrais enfin; c'était finalement un bel homme, la trentaine, le corps bien charpenté et plutôt velu des hommes du sud. Un beau sourire. Ses mains étaient magnifiques, pourvues de longs doigts, d’un pouce très large, ses ongles bien coupés... Des pectoraux bien dessinés recouverts d'une toison brune. Son ventre plat plissait à peine et ses muscles dorsaux se bandaient au moindre mouvement de ses bras. Des cuisses fermes.
Son bronzage était intégral ; l’homme était donc un adepte du naturisme.
Nous restâmes ainsi un long moment à nous découvrir, nous sourire, nous caresser tendrement. Sa lourde queue gisait maintenant sur sa cuisse, à demi molle, sublimée par les lumières de la ville éclairant la chambre et nos corps en ce début de nuit.
Bien sûr j'eus à expliquer mon expérience pour le moins surprenante de ce soir. Il en rit finalement, d'un beau rire franc et tendre.
Nous échangeâmes bientôt un premier baiser, suivi de tendres caresses; enfin je/nous découvrions nos corps!
Puis, le désir revînt, plus fort, plus intense.
je glissai mes doigts entre ses poils, caressant sa poitrine et son ventre en lui disant qu’il avait un corps de rêve, ferme, musclé, très bien entretenu. Sa main se posa sur mon dos comme je découvrais le volume de ses bourses en me penchant pour embrasser son sexe. Il sentait bon l’homme et la baise. De ma main gauche, j’attrapai la base de sa hampe épaisse pour l’orienter vers mes lèvres. Ma langue se glissa alors entre le gland et le prépuce pour décrire quelques cercles autour du méat. Son goût salé électrisa mes papilles et un flot de salive inonda ma bouche. Comme je tirai la peau fripée en arrière sur sa hampe, il décalotta naturellement et mes lèvres glissèrent sur son gros gland violet. Enfin, je suçais le sexe qui m'avait donné il y a peu autant de plaisir.
Déjà grosse, elle remplissait amplement ma bouche impatiente. Son nœud lisse avait une belle forme et ne souffrait d’aucun aspect disgracieux. Ses testicules fermes roulaient entre mes doigts cajoleurs pendant que sa hampe gonflait encore en déformant mes lèvres lorsque ma tête plongeait sur elle. Silencieux, IL semblait apprécier ma caresse et promenait sa main sur mon dos, n’hésitant pas à aller de plus en plus bas. IL bandait ferme, révélant “sa vraie grandeur”. Imposante au repos, IL en avait une belle entre les jambes une fois raide. je comprenais enfin le plaisir reçu! Ma queue était de nouveau gonflée de sang et droite comme un I.
Je salivais en prenant un réel plaisir à découvrir sa chair intime. ses doigts attrapèrent mon paquet en me disant que mon corps lui plaisait beaucoup. Sans plus attendre, IL se pencha et prit ma queue en bouche, mon membre glissa entre ses lèvres. IL s’occupa de longues minutes à me sucer.
Sans chercher à bouger, je réclamai sa queue. IL se plaça devant moi, dur, gros, immense. Je remarquai son méat grand ouvert, du diamètre d’une grosse paille ; était-ce une des raisons du volume de ses éjaculations ? J’observais cette imposante quille qui me fixait de son gros œil unique d’où perlait un peu de liquide séminal. L’ourlet renflé ceinturant la base de son gland, les deux belles veines sinueuses qui se disputaient la longueur de la hampe jusqu'aux plis formant le prépuce, à cet instant fripé et ramassé par cette érection magistrale. J’allais de nouveau sucer cette merveille anatomique, puis IL allait de nouveau m’enculer. Cette seule idée affolait mon sphincter et me mettait l’eau à la bouche.
— Encule-moi, s'il te plaît. implorais-je entre deux coups de langue.
— Tes désirs sont des ordres!
Je sentis couler entre mes fesses un filet de salive, puis il quitta ma bouche pour enjamber le matelas. L’instant suivant, son gros bout s’aplatissait sur ma fleur, je tendis les fesses vers lui, acceptant mon sort sans aucune résistance autre que physiologique.
IL fléchit les jambes, faisant de mon anneau une dépression, puis je forçai, contribuant à l'effort et l’ourlet céda. Aidé de sa salive, son dard pénétrait ma chair, m’arrachant un long cri, mélange de douleur, d’abandon et de satisfaction.
IL jouait à entrer et sortir de ce boulevard qu'était deve
nu mon cul. Ses pouces m’écartelaient et je savais son regard planté sur ce si beau spectacle. Après un court temps d’accoutumance, son vît plongea de nouveau en une lente poussée linéaire jusqu’à ce que ses cuisses embrassent l’extérieur de mes fesses. Le souffle coupé malgré ma bouche grande ouverte, les doigts tétanisés dans le tissu de ma couche, je sentais ses lourdes couilles terminer leur course en dessous de mon anus.
Je me cambrai et oscillai pour donner vie à notre coït. Son gland semblait encore plus gros que tantôt et il fallait m’y habituer, j’en fis un défi. Notre leitmotiv était d’en profiter un maximum. IL vint lentement me recouvrir de son buste et entreprit de me distiller de petits coups de bite en profondeur, ne reculant que de quelques centimètres. Dans cette position, je sentais ses couilles velues glisser et s’écraser sur moi à chaque fois que son membre me perforait. IL semblait rebondir sur mes fesses en prenant à chaque trajet un angle différent. Je lui haletais le bien qu’il me faisait, lui interdisant seulement de jouir en moi. Son foutre, je voulais le boire.
Mon ventre se contractait pour comprimer ce membre arrogant qui glissait de plus en plus amplement, au point de sentir le bourrelet de son gland frotter. Nos sueurs se mêlaient, le bas de mon dos collait bruyamment à son ventre. IL n’hésitait pas à jouer les sprinters quelques secondes pour revenir à un rythme plus langoureux. Je mordillais ses doigts, les suçais parfois, les yeux piquants de transpiration.
Je m’éclipsai quelques minutes vider ma vessie et m’envoyer une bonne dose de gel afin de graisser la mécanique et je revins m'empaler à califourchon face à lui.
Une douche s'imposait. Nous passâmes un long et délicieux moment sous le jet puissant de la douche. Rires, caresses,.. Nous nous savonnions mutuellement, flattant au passage une croupe ou une queue frémissante.
Tu veux encore de ma queue ? demanda-t-il en prenant mes fesses à pleines mains, à la façon d’un mâle sûr de son effet.
— Oh que oui ! fis-je en sentant ses doigts glisser dans la raie de mon cul.
Nous partageâmes un grand rire!
Avant tout, j'ai grand faim , commandons à manger et à boire!
IL n'en revenait pas encore de la chance que nous avions de nous être trouvés ainsi et j’en convenais aisément. Nous parlâmes de nos vies, de nos amours, de Barcelone et de nos goûts aussi. La discussion entretenait notre excitation, le café réveilla notre envie de sieste et ma cigarette terminée, nous retournâmes au lit. Nous étions bien, l'un contre l'autre, caressant doucement nos corps encore si nouveaux à nos mains et nos regards.
deux heures environ après, il faisait encore nuit noire et je ne sais qui se réveilla le premier; en tous cas, nous n'avions pratiquement pas changé de position, simplement son bras m'enlaçait et son viet offrait à ma main un superbe "morning wood"! ce qui me provoqua une érection instantanée.
Pendant de longues minutes, je suçai son petit trou, le pointai, en faisais le tour y revenait régulièrement du bout de ma langue. IL lâcha un instant ma queue pour me dire qu’il appréciait.
- t'as envie que je te prenne, Mario? Moi j'ai très envie d'explorer ton cul!...
Je salivais en léchant son cul, soucieux de lui donner du plaisir. Sans que j’aie à prononcer le moindre désir, IL vint de lui-même se placer contre moi, son dos contre ma poitrine, en cuillère, guidant lui-même ma verge vers son anus. Cela valait consentement.
Comme IL prenait l’initiative. Je saisis sa verge dure comme de l’acier et le branlai lentement en sentant mon gland repousser sa chair. IL s’empala seul et soudain, mon nœud eut raison de lui. Je sentis un spasme parcourir son membre; je lui dit de prendre tout son temps, que seul son plaisir m’importait. Après une bonne trentaine de secondes, IL me dit qu’il se sentait prêt. À petits coups de reins, je gagnais du terrain. Son sphincter serrait agréablement ma hampe et la chaleur de son ventre me donnait envie d’aller de plus en plus loin.
Je branlai langoureusement sa longue et grosse queue en le pénétrant en longs va-et-vient, comme j’aime être pris moi-même.
Je réussis à passer mon bras libre sous lui et lui pinçai le sein, le faisant rouler entre mon pouce et mon index.
— Tu te sens bien ? Je ne te fais pas mal ? m’inquiétais-je à son oreille.
— Oh non, mais elle est grosse, ta queue.
— Hummmm... moins que la tienne. C’est ça qui est bon. C’est de se sentir rempli, distendu... De sentir cette masse aller et venir dans son ventre.
— J’ai l’impression que tu vas ressortir par la bouche tant tu me sembles immense.
— Si tu ne peux plus, je m’arrête ! insistais-je.
— Non, je veux te sentir jouir en moi. J’en ai vraiment envie.
— Et toi, tu jouiras dans ma bouche ? J’ai très envie de goûter ton sperme aussi.
— Ouiiii ! Mais viens d’abord en moi, s'il te plaît.
Ses désirs devinrent des ordres. Je pris le temps qu’il fallait pour lui enfiler ma bite jusqu’aux couilles, ... IL serrait les fesses, les envoyait contre mon pubis, m’excitait avec des mots choisis en me cajolant les bourses. Ne cherchant pas à m’éterniser, je jouis longuement au plus profond de lui, l’entendant me répéter entre deux gémissements que c’était trop bon, que je l’avais royalement baisé et qu’il m’enculera tant que je le désirerais.
Le courant d’air glissait sur nos corps échauffés. Immobile et plongé en lui, je caressais son torse velu à souhait. Ne voulant pas être inconfortable pour lui, je laissai glisser ma verge hors de lui. IL caressa ma queue en me remerciant de ma douceur. IL me nettoya entre ses lèvres, ravissant les quelques gouttes restantes en disant “hmmm, que bueno!”.
Sa queue me narguait toujours et même si je venais de jouir, le spectre de son éjaculation n’avait toujours pas quitté mon esprit. Je m’agenouillai entre ses jambes et lui demandai de tout me lâcher. Ses couilles dans une main, je le pris en bouche et me mis à le pomper comme un affamé. Ma main parcourait sa hampe dans un puissant mouvement hélicoïdal au rythme de ma bouche plongeant sur son vît.
— Tu veux tout mon jus ?
— Hummmm... A ton avis?!
— Tu sais que j’en ai beaucoup !
— Hummmm..., justement!
— Oh oui, continue. Tu suces bien. Tu la trouves belle, ma queue ?
— Hummmm...
— Ooooh... je vais venir !
— Hummmm... hummmm...
— Ouiiii ! Attention, je viennnns !
Accompagné d’un puissant râle, son foutre jaillit comme le jet d’un pistolet à eau, remplissant copieusement ma bouche à chaque rasade. Je m’empressais de déglutir pour en avaler un maximum, mais IL en renvoyait autant à chaque spasme, si bien qu’il en coula un peu le long de sa longue queue et que je terminai en léchant sa hampe, les yeux brillants.
— Là, tu m’as comblé. dis-je en étreignant sa longue queue amollissante comme un trophée. D’où en sors-tu autant ?! et surtout une seconde fois!
Un petite claque su mes fesses, un bisou sur mon gland puis IL se leva d'un bond pour boire un verre d'eau et uriner. Une nouvelle fois je regardai ce corps superbe, ce corps qui m'avait donné tant de plaisir; je le regardais tandis que la porte de la salle de bain entrouverte, IL pissait bruyamment, tout en buvant un verre d'eau, sa belle queue dans la main .
Quand il revint s'étendre auprès de moi, je posai mon visage contre sa poitrine, humant l'odeur acre de la sueur, du plaisir. Je caressai son ventre si doux , sa verge pesante et de nouveau ses belles couilles, j'étais bien. LUI, aussi sans doute car sa main parcourait mon dos, mes fesses, mes cuisses. Je me contentais de remuer mon croupion en signe d’acquiescement tout en grognant de plaisir.
Il s'assoupit! Repos du guerrier sans doute bien que bientôt je succombai moi aussi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire