28 août 2021

IL (suite et fin)



 
Les premiers rayons de soleil pénétraient maintenant dans la chambre, l'inondant peu à peu de lumière.

Non je n'avais pas rêvé, IL était bien là encore assoupi tout contre moi. J'admirai de nouveau ce corps qui m’avait donné cette longue nuit autant de plaisir et n'osait le réveiller; le jour apporte toujours son poids de réalité et je redoutai sa première réaction;... honte, colère, gêne, empressement à se rhabiller et quitter la pièce d'un au revoir glaçant,???

Mais IL ouvrit un œil, l'étonnement de se trouver là ne dira qu'un instant, IL sourit, regarda l'heure: 8h.

Son ami l'attendait sans doute depuis hier au soir dans leur chambre (il s'étaient quittés lorsqu'il entra dans ma chambre hier au soir... Un sourire complice de nouveau, un clin d'oeil en voyant sa queue droite du matin et dit

- j'envoie un texto pour le rassurer et je suis à toi!


 Tandis qu'IL composait son SMS, Je me couchai sur le ventre;  IL revint très vite auprès de moi et ses caresses se firent plus appuyées,  partant de mes pieds pour remonter à l’intérieur de mes cuisses, m’obligeant à soulever mes fesses tant la sensualité de son geste réveillait mes instincts.

— Quel cul superbe !

— Il se languissait de toi. Tu vas t’occuper de lui ?

— Demandé si gentiment... je peux ?

— Il est tout à toi, fais-en bon usage !

 Il ne lui en fallait pas davantage pour devenir plus entreprenant. Profitant que je me tendais vers lui, IL glissa un coussin sous mon ventre et vint caresser ma verge puis mes bourses pendantes…

 

Puis IL déposa de doux baisers sur mes fesses, la naissance de mes cuisses. Son souffle chaud glissait le long de ma raie quand de ses mains, il sépara mes globes, révélant mon anus lisse de tous poils soudain ivre de désir. Ses baisers se firent plus stratégiques, se rapprochant lentement de son centre d’intérêt. Une pointe de langue vint titiller les premiers plis je me cambrai plus offert encore et gémis. IL me massait tendrement les couilles en lapant d’une langue large du scrotum jusqu’à l’anus. Je sentis ma corolle s’ouvrir comme les pétales d’une fleur dès qu’IL pointa le bout de son organe, heureux de recevoir tant d’attention.

 

 

Sa langue agile se faisait tantôt guêpe, tantôt bourdon pour mieux butiner ma fleur et l’intérêt d’une telle motivation me laissait présager d’un proche dénouement. Pendant de longues minutes, IL sembla prendre autant de plaisir que moi à rendre mon fondement humide et... disponible. Alors, je vins m’asseoir sur sa queue dressée  en lui tournant le dos puisqu’il adorait voir mes fesses se jouer de son sexe. En un instant, je le sentis au plus profond de moi, ses couilles roulaient entre mes doigts alors qu’il caressait ma croupe bronzée. J’aimais son sexe et je crois que nous aurions pu continuer ainsi pendant des jours. Puis IL me dit qu’il allait me donner son foutre. J’amplifiai alors mon déhanché sur sa boule de billard jusqu’à ce qu’IL me donne le point de départ.


Je désarçonnai alors et vint poser mon anus grand ouvert sur son visage. Sa langue remplaça sa verge alors que religieusement, je suçai sa queue de stentor, rigide et veinée. Ses couilles fermement malaxées montèrent à plusieurs reprises comme je le branlais en vrillant sa hampe. IL se mit à souffler et je compris qu’il avait atteint le point de non-retour, que sa formidable pompe à foutre était de nouveau amorcée. Ma bouche collée autour de son gland, j’étais également prêt.

Le bassin soulevé, le ventre creusé, son premier jet claqua le fond de mon palais comme s’il avait prévu de l’envoyer à l’autre bout de la pièce. Chaque giclée représentait déjà à elle seule ce que la plupart des mecs déchargent, emplissant ma bouche de ses subtiles saveurs salées et soufrées. Cette liqueur crémeuse coulait dans ma gorge presque en continu et il en revenait encore et encore, comme si trois amants déchargeaient en même temps. Je venais de recevoir un délicieux petit-dej'!

 

 



Puis sa queue perdit de sa rigidité, même si quelques spasmes la traversaient encore. Avec une infinie tendresse, je la cajolai en essorant les dernières gouttes que la longue hampe n’avait pu expulser. Ses bourses retrouvaient leur position basse, l’orage était terminé, et j’avais reçu une incroyable averse.

- A toi maintenant, dit-il avec une lueur vicelarde dans les yeux.

- viens m'en mettre plein la gueule

A califourchon sur lui, je m'exécutai, branlant frénétiquement ma queue endolorie tandis qu'il m'encourageai en fouillant de ses doigts mon anus encore bien dilaté et tout en malaxant mes bourses pendantes. quand il me sentit près à venir il cala ses mains contre mes fesses, goba ma queue prête à éclater;  Je criais soudain  mon plaisir, mordant son épaule en lâchant mon sperme  en serrant sa queue de mes multiples spasmes et il prit à pleine bouche le fruit de ma jouissance, il n'en laissa pas une goutte, nettoyant enfin ma hampe sur son visage souriant de bonheur.

 

- quelle belle journée qui commence, me dit-il se levant d'un bon, le sexe encore gonflé de son plaisir, viens prenons une bonne douche!

 

Nous nous retrouvâmes sous la douche à nous savonner mutuellement le corps qui avait donné autant de plaisir durant cette longue nuit.

 

Il  enfila vite fait son boxer, son jean, son polo, ses tennis tandis que je restai nu au milieu de la pièce à m'essuyer et surtout à attendre le dénouement..

 

 

- C'était formidable, insensé,.. 

- je dois rejoindre mon mec mais ce soir si tu es dispo viens boire un verre avec nous sur la terrasse; 20h, ça te va? il sera ravi de te rencontrer.

 

A peine le temps d'esquisser une réponse, qu'il était déjà dans le couloir..

Irais-je, je n'en savais à ce moment là, rien.







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