15 novembre 2021

Promenons nous dans les bois....

 


Nos forêts en ce moment sont pleines de dangers... la chasse est encore ouverte et  on peut faire de mauvaises rencontres....pourtant, il est fort agréable de s'y promener en cet automne plutôt doux. J'aime marcher dans les sentiers, entendre les feuilles mortes crisser sous mes pas, j'aie cette odeur de sous-bois, mélange d'humidité de moisissure; toute cette matière organique en décomposition. quelques fois on s'arrête, un bruit, une branche cassée; un animal? un autre promeneur?

 

soudain, je l'aperçois, Le voici qui s'avance vers moi, un sourire coquin dans le regard, la main frottant sans retenue, la braguette de son jean gris.

 

Le voici qui s'arrête à un mètre de moi et sans me quitter des yeux, déboutonne son pantalon, bouton après bouton . un long et puissant braquemart s'en extrait. Subjugué, je reste ainsi coi, la bouche entrouverte les yeux fixés sur cet engin qui me défie.

 

Comment ose-t-il? comment dans ce bois anonyme, a-t-il pensé que le premier promeneur venu, voudrait tâter de sa queue? me connait-il? m'a-t-il suivi , suis-je finalement sa cible? je n'en sais rien encore mais je sens dans mon froc, ma bite qui pousse et tend le tissu de mon slip.

 

Je m'approche, tend la main , me saisis de cette chair dure, lourde et brûlante. Ses lourdes couilles lourdes pendent entre ses cuisses minces et je les soupèse avec mon autre main. Je chavire …

-        Tourne-toi, ordonne-t-il  

-         

et sans attendre il me retourne, baisse mon froc et mon slip et se colle contre moi. Son gourdin se frotte entre mes fesses 

Enlacés l’un contre l’autre il s’empare de ma bite tendue

-        Tu bandes mon cochon, tu en veux ! tu es impatient  de la sentir bien profond …

I crache sur ses doigts qui viennent lubrifier sans ménagement ma rondelle et sa verge.

-        Hmmm !! ça rentre bien, mon cochon ! on dirait que tu m’attendais !

 

Il me force à écarter les cuisses, crache de nouveau sur son gland découvert ; je jette un dernier coup d’œil sur  l’impressionnante  verge qui va m’empaler dans les secondes qui viennent, me demandant si elle entrera tout entière tellement elle est longue.

Mais je n’ai plus le temps de réfléchir, d’hésiter ou de craindre quoi que ce soit. Déjà il me pénètre et mes beuglement n’y font rien, inexorablement, il s’enfonce en moi. Sentir son pubis contre mes fesses est un premier soulagement ; de courte durée car très vite il entame ce qui va devenir un long et pilonnage.

Les lents va-et-vient du début deviennent très vite des coups de butoirs intenses, presque violents ; je hurle de plaisir et de douleur mêlée. De temps en temps il s’amuse à extraire entièrement son gourdin de mon cul pour, dit-il admirer ma rosace « défoncée », « béante ». Mais il reprend de plus belle ses coups de reins accroché à mon cou m’étranglant presque.

Personne pour m’entendre, personne pour nous surprendre .

Soudain il me jette à terre, me soulève le cul tout en me tenant les mains dans le dos et me pilonne de nouveau. J’ai la gueule dans l’humus . Les odeurs de décomposition se mêlent à celle de nos sueurs… par moment ma queue toujours bien raide frotte contre les feuilles mortes, mêlant ma mouille à l’humus de la terre.

 

Combien de temps cela a-t-il duré, combien de temps m’a-t-il baisé ? je n’en sais rien, je m’en fous …

Soudain, il se retire

-        Retourne-toi, à genoux

Et il me tend son mandrin raide comme une trique ; j’ouvre la bouche et le voilà qui s’enfonce à m’étouffer dans ma gorge

Heureusement il m’attendait que ça ; il voulait jouir dans ma bouche, sur mon visage qui bientôt dans un long et profond spasme, reçoit de copieuses salves de foutre. J’en avale le plus possible puis d’un  baiser et d’un coup de langue il recueille le reste que nous partageons d’un baiser.

Toujours à genoux, je me branle frénétiquement les yeux rivés sur cette longue tige qui débande doucement ; ce braquemart qui m’a donné un plaisir inattendue en cet après-midi d’automne.








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