soudain, je l'aperçois, Le voici qui s'avance vers moi, un sourire
coquin dans le regard, la main frottant sans retenue, la braguette de son jean
gris.
Le voici qui s'arrête à un mètre de moi et sans me quitter des
yeux, déboutonne son pantalon, bouton après bouton . un long et puissant
braquemart s'en extrait. Subjugué, je reste ainsi coi, la bouche entrouverte
les yeux fixés sur cet engin qui me défie.
Comment ose-t-il? comment dans ce bois anonyme, a-t-il pensé que
le premier promeneur venu, voudrait tâter de sa queue? me connait-il? m'a-t-il
suivi , suis-je finalement sa cible? je n'en sais rien encore mais je sens dans
mon froc, ma bite qui pousse et tend le tissu de mon slip.
Je m'approche, tend la main , me saisis de cette chair dure,
lourde et brûlante. Ses lourdes couilles lourdes pendent entre ses cuisses
minces et je les soupèse avec mon autre main. Je chavire …
-
Tourne-toi, ordonne-t-il
-
et sans attendre il me retourne, baisse mon froc et mon slip et se
colle contre moi. Son gourdin se frotte entre mes fesses
Enlacés l’un contre l’autre il s’empare de ma bite tendue
-
Tu bandes mon cochon, tu en veux ! tu es
impatient de la sentir bien profond …
I crache sur ses doigts qui viennent lubrifier sans ménagement ma
rondelle et sa verge.
-
Hmmm !! ça rentre bien, mon cochon !
on dirait que tu m’attendais !
Il me force à écarter les cuisses, crache de nouveau sur son gland
découvert ; je jette un dernier coup d’œil sur l’impressionnante verge qui va m’empaler dans les secondes qui
viennent, me demandant si elle entrera tout entière tellement elle est longue.
Mais je n’ai plus le temps de réfléchir, d’hésiter ou de craindre
quoi que ce soit. Déjà il me pénètre et mes beuglement n’y font rien, inexorablement,
il s’enfonce en moi. Sentir son pubis contre mes fesses est un premier
soulagement ; de courte durée car très vite il entame ce qui va devenir un
long et pilonnage.
Les lents va-et-vient du début deviennent très vite des coups de
butoirs intenses, presque violents ; je hurle de plaisir et de douleur mêlée.
De temps en temps il s’amuse à extraire entièrement son gourdin de mon cul
pour, dit-il admirer ma rosace « défoncée », « béante ».
Mais il reprend de plus belle ses coups de reins accroché à mon cou m’étranglant
presque.
Personne pour m’entendre, personne pour nous surprendre .
Soudain il me jette à terre, me soulève le cul tout en me tenant
les mains dans le dos et me pilonne de nouveau. J’ai la gueule dans l’humus .
Les odeurs de décomposition se mêlent à celle de nos sueurs… par moment ma
queue toujours bien raide frotte contre les feuilles mortes, mêlant ma mouille
à l’humus de la terre.
Combien de temps cela a-t-il duré, combien de temps m’a-t-il baisé ?
je n’en sais rien, je m’en fous …
Soudain, il se retire
-
Retourne-toi, à genoux
Et il me tend son mandrin raide comme une trique ; j’ouvre la
bouche et le voilà qui s’enfonce à m’étouffer dans ma gorge
Heureusement il m’attendait que ça ; il voulait jouir dans ma
bouche, sur mon visage qui bientôt dans un long et profond spasme, reçoit de
copieuses salves de foutre. J’en avale le plus possible puis d’un baiser et d’un coup de langue il recueille le
reste que nous partageons d’un baiser.
Toujours à genoux, je me branle frénétiquement les yeux rivés sur
cette longue tige qui débande doucement ; ce braquemart qui m’a donné un
plaisir inattendue en cet après-midi d’automne.
hi
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