Plus de deux mois ont passé depuis la séance de "bizutage" où il m'a fallu tester un bel hétéro qui voulait lui aussi se lancer dans la " carrière dans le porno". ( lire épisodes précédents ).
Pas
désagréable d'ailleurs comme séance. Le mec était plutôt bien foutu
. Finalement je ne sais pas si il a passé l'étape suivante; il devait se
laisser déflorer par un des producteurs...Je n'ai depuis pas pensé à demander
des nouvelles.. bof, Je le croiserais peut-être au hasard d'un futur
tournage..
Après cette
séquence, ils m'ont juste appelé une fois pour faire un "court genre
one man show" et je trouve que je m'en suis pas trop mal tiré, je
trouve...
Pas facile
en effet de faire un strip-tease avec l'air inspiré "excité ", sans
vraiment de stimuli, seul devant l'équipe de tournage; bien bander, poses
lascives, godage du cul et apothéose fournie.. ..
Depuis,
conscient de mon physique un peu adolescent attardé, J'ai intensifié la muscu
et j'ai laissé pousser une mince barbe. Je suis blond très clair et je trouve
que ça me bien; sans compter que mes poils sont d'un blond très clair et j'aime
bien dans le film voir mon cul et mon sexe blond miel en pleine action, à
tort ou à raison je suis persuadé que cela ajoute quelque chose à mon charme...
en tous cas, moi ça m'excite !
Charme ou
pas, le fait est que je n'avais toujours pas de nouvelles de l'équipe de
production; frustrant et pas bon du tout pour mes finances..
Heureusement,
Il y a quelques jours, j'ai enfin reçu un message de la production "un
acteur majeur, de la compagnie", Ted, avait visionné mon "one man
show" et avait très envie de moi.."
Ouah !
J'avais vu la plupart des films de Ted, j'adorais son corps, sa
façon de bouger et ...de baiser. C'était un bel italien, sans doute la
plus belle bête du studio.! Oups, sans doute aussi le mieux membré...
Si je voulais le rencontrer il me fallait le rejoindre à New-York. Bien entendu, le studio prenait en charge le billet d'avion et l'hôtel à New-York, bien entendu la rencontre serait filmée...
J'ai
immédiatement accepté, trop excité à l'idée de baiser, pardon, de
me faire baiser par Ted, la star du studio...et de me faire un peu de
tunes.. j'aurais bien le temps de m'inquiéter de la taille de son braquemart !
Mais avant
cela, il me fallait m'entraîner, ne pas décevoir, ni le
décevoir. Je n'avais pas de mec et pour diverses raisons, Je
n'avais pas baisé non plus depuis quelque temps, à vrai dire depuis
le dernier tournage . Grosse angoisse, il me fallait à tout prix
trouver un mec si possible bien pourvu pour me rassurer !...
Aux
alentours de la ville, il y a une belle forêt; si c'est un endroit très
fréquenté par les familles le week-end, il y a des spots qui sont connus pour
la drague. Celui que je connais pour l'avoir exploré quelques fois est
accessible par le grillage d'une aire de repos de l'autoroute. Il est
plutôt trop fréquenté mais en allant un peu plus profond dans le bois il
y des coins plus isolés pour s'ébattre sans limites.
Dès le
lendemain je m'y suis rendu . J'ai laissé la voiture au parking, et
simplement vêtu d'un simple tee-shirt et d'un short, Je me suis faufilé à
travers le grillage. Le spot ce jour-là était plutôt fréquenté, des gars
de tous types déambulaient. Peu d'action, un peu d'exhib , tout
cela à quelques mètres du parking.... rien à mon goût et de toutes
façons, pour ce que voulais faire, il valait mieux aller vers les
confins.
À quelques
minutes de là, il y a une rivière et vu son état, mieux vaut éviter la
baignade... et à partir de là, on peut trouver les mecs les plus motivés
et bien sûr les inévitables voyeurs. Au détour du sentier, adossé à
un gros arbre, le choc total ; un beau brun cheveux hyper
ras, regard noir, torse nu, légèrement velu et finement musclé,
quelques tatouages et sortant d'un improbable short en jeans, un
braquemart qu'il caresse nonchalamment.
Nos regards
se figent comme un appel, les hormones à l'envers, sans
pouvoir quitter des yeux son regard brûlant, je m'approche,
baisse mon short et commence moi aussi à caresser ma verge. J'adore, ces
"moments d'avant", avant la tempête, sorte de danse
nuptiale, tel les animaux sauvages; on se jauge, on s'excite, on fait
monter la pression. Un peu con aussi,….
Tel des
guerriers, nous avons chacun fait le pas nécessaire; Je pouvais enfin
sentir son odeur, acre, masculine. Puis, les yeux toujours dans les
yeux, Il a caressé d'un doigt léger mon torse, a posé ses lèvres sur les
miennes et m'a dit d'une voix rauque de désir,
- viens
allons plus loin.
Deux minutes
plus tard, dans une petite clairière, à côté d'un gros tronc
d'arbre couché, nous nous sommes embrassés fougueusement puis il s'est assis, a
baissé mon short et a gobé ma verge toute entière, son souffle rafraîchissant
ma toison. Un délice, un pur bonheur : cette bouche, cette
langue qui s'active sur ma queue, ces mains qui malaxent, écartent
mes globes, mes mains qui poussent sa nuque aux cheveux ras contre mon
bas-ventre, la pureté du ciel, la fraîcheur de l'air sur mon corps nu.
À moi
maintenant ! Je me penche vers lui. Son ventre plat n'est qu'à quelques
centimètres de mon visage: sa longue bite légèrement courbée couronnée par une
toison noire savamment taillée, surplombe deux belles couilles pendues
telles des figues bien mûres. Je l'engloutis affamé non sans avoir au préalable
goûté un délicat et long filet de mouille . Je m’en délecte tout en jouant avec
ses boules bien fermes. Il gémit, caressant fermement mon dos .penché sur
moi, ses mains déjà cherchent à s'approcher de mon cul ce qui attise
encore plus mon désir et je redouble d'ardeur sur son vit malgré la
douleur de mes genoux qui frottent contre l'écorce du tronc.
- donne-moi
ton cul à bouffer, me dit-il toujours de sa voix rauque..
Je me
lève donc, me retourne et les jambes bien écartées, bien
cambré tout en chevauchant ce maudit tronc, je lui tends mon arrière
train.
Il me
caresse les globes, les écartent, les claques, les bises puis
enfin le sillon bien écarté, il y enfonce son visage, sa langue cherchant ma
rosace qui n'attend que ça. Je gémis et des mains, j'écarte moi-même
mes globes pur qu’il explore encore plus profondément.
- vas-y ,
mec, Je veux tes doigts dis-je en un soupir.
Il ne se
fait pas prier, il crache un bon coup contre mon fion et déjà un doigt
vient titiller ma rosace qui n'offre aucune résistance.
Quel délice
! L'air frais vient caresser les poils humides de sa salive, deux doigts
maintenant fouillent mon cul, tournent et détendent mes sphincters,
ma queue dressée à rompre cogne à chaque pénétration contre mon ventre. En
tournant la tête, Je vois son braquemart qui cogne lui aussi contre
son nombril.
Il se lève
enfin, c'est le moment. Je l'entends cracher abondamment, humecter
une nouvelle fois mon cul qu'il a su bien préparer.
Puis son
gland cogne contre ma rondelle et entre doucement dans la place ; je crie,
bonheur et douleur mêlées.
Je respire
enfin quand son pubis vient se coller à mes fesses pour entamer ses
va-et-vient.
Me tenant
fermement par les hanches, Il me défonce bientôt sans ménagement. Son
bassin cogne contre mes fesses, ses couilles cognent les miennes .
Mes
gémissements, ses ahannements, le "gargouillis" du frottement
des chairs seuls troublent le silence de la clairière. Je regarde le ciel
sans nuage, les feuilles des arbres doucement bercées par la brise, Je suis aux
anges ! Bien sûr, quelques mecs attirés sans doute aucun par nos
gémissements, sont venus autour de nous mais nous n'y prenons pas
garde, tout à notre plaisir; quant à moi, cela flatte mon côté exhib et
ajoute encore à ma jouissance.
Ses mains
enserrent mon cou, m'étranglent presque et m'attirent vers lui. Il
mordille mon visage, cherche ma bouche, nos langues luttent tandis
que ses coups de reins me déchirent.
-
à toi
maintenant me dit-il à ma grande surprise.
Il se
retire, pose sur un rocher à peu près plat son short et son tee-shirt, se
couche dessus sur le dos, écarte les jambes,
-
viens, dit-il simplement.
Sa
queue dure, veineuse repose sur son ventre, ses couilles
masquent un peu son périnée, il est beau..
Je me rue
sur sa verge humide encore de mes humeurs intimes que je hume. Je la
lèche, parcoure de la langue les veines saillantes, gobe ses boules
qui s'entrechoquent dans ma bouche puis, je lui soulève les cuisses et parcoure
son entrejambe. Son cul est là, sa raie velue, noire, est là.
Je m'y abreuve goulûment avant d'y glisser mes doigts tout en lui pompant la
queue.
Le sentant
prêt, j'écarte haut ses jambes et l'embroche sans ménagement à grands
coups de reins . Il se triture les tétons, sa queue se dresse à chacun de
mes coups de butoir massifs, il est au bord de l'orgasme, Je le
vois à ses yeux, il est prêt à exploser. Il prend alors sa bite en
mains, se branle à peine et dans un magnifique spasme couvre de foutre son ventre.
Je cesse un moment mon pilonnage, me penche vers lui, aspire sa
verge, lèche sa semence emprisonnée dans ses poils noirs. Je reprends
mes mouvements et bientôt moi aussi je sens l'orgasme poindre, à sa
demande, je me retire et je viens me branler au-dessus de son visage que
je couvre très vite de mon foutre. Nous nous embrassons fougueusement
partageant en amants le fruit de notre passion.
En nous rhabillant nous avons vu amusés les quelques voyeurs se finissant autour de nous. On a vite enfilé nos shorts et avons rejoint main dans la main le parking. On a quand même échangé nos numéros ; à ce moment-là, j'avais très envie de le revoir... peut-être.
J'ai passé
les jours qui précédaient le départ pour New-York, outre les cours, à la
salle de sport, à bouffer de la protéine, à me goder le plus
possible...
Je suis
arrivé à New-York par le vol de début de soirée. Un vrai bonheur pour moi,
malgré les bouchons du vendredi soir, de traverser la ville que
j'adore, illuminée, vivante. J'avais la soirée pour moi et je
comptais bien en profiter pour déambuler, humer la métropole.
Le rdv avait été fixé au lendemain après-midi dans ma chambre, Je n'aurais qu'à attendre, l'équipe de tournage.
Le
lendemain, donc vers 16 heures , le patron est arrivé suivi de l'équipe
qui a commencé à installer le matériel. Le scénario était plutôt
simple. On allait tirer les rideaux pour créer une douce pénombre,
Je devais attendre Ted devant la fenêtre tout en me caressant. Je devais
porter un slip d'une marque sponsor. Ted entrerait peu après par la porte
de communication de la chambre adjacente. Après, c'était à nous d’improviser....
-
allez, prépare toi, voilà le slip à mettre, t'as une
demi-heure.
J'ai pris
une bonne et longue douche ; je suis plutôt du genre sensible aux odeurs
et je préfère les mecs "au naturel " mais bon, ...
Je me suis
rasé de près, rafraichi ma toison, enfilé l'horrible slip,
j'étais prêt.
- Ben, Je
suis prêt, dis-je en revenant dans la chambre .
Celle-ci était déjà dans la pénombre. Les lourds rideaux occultants avaient été tirés et seul un large rai de lumière éclairait encore la pièce.
C'est donc
entre ces deux rideaux que je devais me placer, me caresser dans la
lumière chaude du jour.
L'équipe
était positionnée dans l'ombre, il me fallait les oublier, faire
abstraction de cette présence froide...
La vue sur
la ville, du haut de ce 20ème étage est époustouflante. Le soleil
froid de l'hiver new-yorkais me réchauffe le poitrail. Je pense très fort au
corps de Ted, à ses mouvements tels que je les avait vu dans ces films ;
je bande enfin, ouf.. Ma queue
répondait à mes sollicitations et je supposais que l'objectif de la caméra fixait
en gros plans, la bosse de mon slip. Rien qu'à cette pensée,
ma verge a durci encore plus, j'ai baissé un peu la ceinture pour
en laisser apparaître le gland que j'ai décalotté. Je mouillais et
je me suis empressé de recueillir ce mince filet qui brillait à la
lumière du soleil ; là encore, j'espérais que la caméra n'avait rien loupé...
Et puis il
est arrivé. Juste vêtu lui aussi d'un banal CK. Il s'est approché
de moi, son corps lui aussi éclairé par la lumière du jour. Superbe avec une
barbe que je ne n'avais encore jamais vu. Le tissu de son slip était
incontestablement fortement tendu par une belle érection. Je devais
prendre l'initiative...
J'ai lentement caressé son beau torse, entre les pecs jusqu'à son nombril, puis encore plus lentement, j'ai suivi avec deux doigts la douce ligne de poils pour arriver à la ceinture de son slip. J'ai glissé mes doigts entre son bas-ventre et l'élastique.. elle était là.. je l'ai caressée puis je l'ai libérée de son carcan. Mon Dieu quel engin, une vraie matraque ; légèrement oblongue, circoncise et veineuse, brûlante. Nous nous sommes embrassés, caressés tendrement. Il a baissé mon slip jusqu'en bas des fesses qu'il a doucement caressées.
- j'aime
beaucoup ton cul, j'aime sentir sous mes doigts la douceur de tes poils blonds..
Je me
suis bien sûr baissé tout en parcourant son torse, son ventre de ma bouche puis
je l'ai débarrassé de son CK...et.... J'ai tenté d’engloutir au mieux son engin…..
rien que son énorme gland me donnait de l'ouvrage et je devais m'en sortir
assez bien car il gémissait doucement les yeux fermés tout en se pinçant les
tétons.
Au bout d'un
moment, tandis que je me régalais de ses abricots bien fermes,
-
viens, faisons entrer toute la lumière, tirons ces rideaux.
La chambre d'un coup illuminée par la lumière chaleureuse du soir, Il m'a emmené vers la grosse commode pour que j'y prenne appui. Il m'a ôté l'affreux slip rouge que je portais encore sur le haut des cuisses, écarté les jambes et a commencé à glisser son visage dans mon sillon. Entre sa langue experte et sa barbe, un vrai régal !. J'avais maintenant hâte que vienne l'heure de vérité, Je le sentais prêt, impatient. Il a longuement craché sur ma rosace et après un long baiser
- tu es prêt
?
- Oui,
viens
- je vais y
aller doucement
Et lentement
il est entré en moi,
Quand enfin
son bassin s'est collé à mes fesses, il a pris mon visage pour un
fougueux baiser et il a entamé son pilonnage.
-
putain, comme tu es serré, un vrai bonheur, Je vais nous emmener au
7ème ciel! Et j’ai reçu intensément ses fougueux coups de butoir.
Au
bout d'un moment, il s'est retiré, est allé s'asseoir sur le
lit pour que je m'empale sur son braquemart. Cette fois-ci c'est à mon rythme
que nous allions vers le plaisir. D'ailleurs, Je pouvais enfin accélérer
le mouvement et ce qui il y a peu était plutôt douloureux, devenait un pur
plaisir et je l'amusais avec ma verge raide qui se balançait au rythme de mes
va-et-vient !
- maintenant, Je vais te pilonner sévère, ça va être l'apothéose. Et il m'a littéralement porté sur le lit, écarté les cuisses et empalé jusqu'à la garde. A grands et puissants coups de reins il a entrepris de me défoncer le cul m'arrachant de longs et rauques gémissements. Je ne voyais plus les gars du tournage s'affairer autour de nous pour capter le plus possible d'images, j'étais tout entier concentré sur l'orgasme qui pointait. Je me suis branlé au rythme violent de ses coups de reins jusqu'à l'instant suprême où ma semence a jaillit de ma verge tuméfiée. Peu après, il s'est retiré pour jouir abondamment dans ma bouche. J'ai essuyé sa queue des dernières gouttes de sperme, nous nous sommes écroulés l'un et l'autre en riant.
- c'était
super m'a t'il susurré tout en m'embrassant tendrement..
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