Après une longue semaine d'examens plus ou moins réussis, nous avions décidé Toni et moi de changer d'air, de penser à autre chose que la physique ou les maths et d'aller à la montagne, nous délasser un peu. De bonnes marches, de bons repas et des soirées au coin du feu, c'est tout ce qu'il nous fallait en ce moment.
J'avais réservé une chambre dans une sorte d'auberge de village que nous avions déjà occupé l'année passée ; plutôt modeste mais chaleureuse.
Le soir de notre arrivée, nous nous sommes régalés d'un diner simple et copieux. Épuisés, à peine, avons-nous rejoint notre chambre que les fringues ont valsé dans tous les coins et c'est en slip que nous nous sommes écroulés sur le lit. Pas de câlin, le sommeil du juste immédiatement !
Le premier matin, nous nous sommes réveillés dans une chambre illuminée de lumière. Il faisait visiblement grand jour et c'était sûrement la promesse d'une belle journée.
Ma queue, mon "morning wood" comme disent les anglo-saxons, était douloureusement enserrée dans mon slip.
Toni était encore endormi tout contre moi; ses fesses aimées à peine protégées par le tissu de son slip, tout contre la bosse de ma queue.
Il sentait bon le sommeil et j'ai eu très vite envie de caresser la douce peau de son dos, de son cul tout chaud et vérifier si lui aussi bandait bien .
Sa verge, trop serrée, émergeait de la ceinture usée de son vieux slip. c'etait chaud, dur, décalotté. Il frémit à mes première caresses, collant son cul contre moi, laissant le passage libre à ma main dégageant entièrement son sexe. Ses couilles brûlantes bien pendues comme je les aiment .
sa main à son tour est venue chercher ma bite dans mon slip et la délivrer. Il s'est ensuite tourné vers moi, m'a enlacé, embrassé, débarrassé de mon slip et s'est débarrassé du sien. Nos verges se sont entrechoquées dans nos roulades passionnées et je n'avais qu'une envie, humer les miasmes de la nuit sur son gland décalotté, recueillir ses premières goutes de mouille.
Je ne me lasse pas de son sexe; il est d'une certaine façon un idéal pour moi, la longueur que j'aime, la taille qu'il me faut, à mon cul surtout, des couilles la plupart du temps bien pendues que j'aime voir de derrière quand dans la salle de bains il s'essuie, quand il enfile un boxer et quand je les bouffe bien sûr!
Comme elle est belle! si longue , si dure devant ma bouche! Je finis de découvrir son gland à moitié décalotté par la tension pour recueillir au bout de ma langue un mince et délicieux filet de mouille puis je la gobe tout entière, les poils de son pubis chatouillant mes narines; voilà une autre raison de l'aimer cette queue, ma gorge lui va comme un gant!
j'ai glissé ensuite ses petits abricots dans ma bouche, hmmm! ils s'entrechoquaient lui arrachant de petits gémissements de plaisir, tandis que ma main parcourait sa verge veinée; il écarta alors un peu plus les cuisses m'invitant ainsi à fouiller de la langue son entrejambe humide. Pendant ce temps il continuait de caresser ma verge; plus épaisse, plus veineuse; comme un signe précurseur, il l'approcha de son sillon qu'il caressait de mon gland humide ...
A moi maintenant! il m'a basculé dos sur le lit, s'est emparé de ma queue , la gobée tout en caressant mes boules; lui aussi connait bien mon braquemart, il sait ce qu'il faut faire et quand il faut le faire pour me donner du plaisir et de fait, je gémissais succombant à ses assauts. Moi, je l'encourageai en caressant d'un doigt son sillon et sa rondelle que je pénètrai d'un coup le faisant redoubler d'ardeur sur mon vit tuméfié.
Soudain la porte de la chambre s'est ouverte et un employé de l'hôtel a pénétré, un aspirateur en mains. éberlué, il est resté là comme tétanisé! nous avions oublié qu'il était très tard dans la matinée et il était sans doute persuadé que nous étions dehors depuis longtemps.
Cela devait être une scène cocasse ! nous deux sur le lit moi un doigt dans le cul de Toni, ma queue dans sa bouche maintenant ouverte d'étonnement et le gars lui aussi bouche ouverte l'aspirateur en mains
Même si la scène n'aura duré que quelques instants, elle nous a semblé à tous une éternité. La surprise est venue quand, la surprise passée, l'employé est resté là sans rien dire, sans partir mais avec un voile lubrique dans le regard.
- trop cool les gars, j'ai une envie folle de me joindre à vous, dites oui! dites oui!
il n'a pas attendu notre réponse, notre hésitation valait assentiment sans doute... Il faut dire qu'il était vraiment canon; un beau blond, plutôt bien foutu...
il s'est vite débarrassé de son chewing-gum et de son short (il ne portait rien dessous) et est venu se précipiter sur ma queue, sans doute parce qu'elle est la plus grosse (je blague!). il était tellement empressé de nous connaître qu'il m'a soulevé les cuisses pour fourrer son nez et sa langue entre mes fesses puis très vite il est allé faire de même à Toni.
- caressez vous, embrassez vous les gars , moi je m'éclate avec vos queues et sans attendre il a commencé à gober ma verge puis à alterner avec celle de Toni; c'était finalement une bonne idée, il s'éclatait à nous regarder baiser tout en s'affairant sur nos bites et nous on se donnait tout l'amour possible encouragés par lui.
au bout d'un long moment il m'a juste dit
- mets toi bien sur le dos, je vais te chevaucher
il s'est ensuite empalé sur ma verge et entamé ses va-et-vient; Toni excité comme rarement lui écartait les fesses et s'éclatait à voir son cul enfourner entièrement ma verge
Après un long moment durant lequel j'ai dû lutter pour ne pas jouir,
- C'est ton tour maintenant a t-il dit à Toni
et d'un coup il s'est séparé de moi pour enfourcher la queue de Toni , reprenant au même rythme ses va-et-vient cette fois-ci en lui tournant le dos. Toni , prenant son pied à voir ce beau corps inconnu s'empaler sur sa queue, gémissait et moi, comme pour l'encourager dans son plaisir grandissant, de l'embrasser , le caresser, caresser ses couilles, sa verge qui s'enfonçait dans ce nouveau cul . Le gars quant à lui se branlait tout en redoublant ses allers et retours sur Toni,
C'est alors que notre gars nous a simplement proposé de faire une double...
On s'est regardés Toni et moi, un peu interloqués mais, là encore il n'a pas attendu notre réponse.
Il s'est séparé de Toni, juste pour changer de position et après s'être de nouveau embroché cette fois face à face, il m'a demandé de l'enculer aussi!
il s'est alors couché sur Toni, je me suis mis à califourchon derrière et rapidement, j'ai glissé ma verge tout contre celle de Toni et doucement je l'ai pénétré aussi, lui arrachant un long et profond gémissement.
C'était délicieux de sentir ma queue glisser contre celle de mon mec et de sentir bientôt mes couilles contre les siennes.
J'ai commencé mes va-et-vient, doucement au début puis de plus en plus vivement; c'était une première fois pour nous; Toni et le gars gémissaient de concert
- trop bon les gars, gémit Toni... David, j'adore sentir ta queue glisser contre la mienne! quel pied mais si ça continue je vais jouir.
- on va changer de position alors, dit le gars, mettez vous face à face vos bites le plus proche possible et je m'embroche dessus.
Ni une ni deux il a prit ensuite nos deux verges l'une contre l'autre et s'est empalé dessus sans trop de mal apparemment et a renoué avec ses va-et-vient, gémissant de plaisir.
c'était délicieux de sentir nos deux bites frotter l'une contre l'autre et d'une certaine façon "s'autobranler"!
bientôt, le plaisir se faisant plus fort, je savais et Toni visiblement aussi, que j'étais proche de l'orgasme.
Le gars s'est alors séparé de nous
- venez me couvrir de votre foutre!
couché sur le dos il a commencé à se branler tout en nous regardant faire de même au dessus de son torse.
Le premier, j'ai joui sur son visage, le couvrant de foutre qu'il a léché méthodiquement ; Toni m'a suivi dans un long spasme et là encore notre gars l'a essuyé consciencieusement .
Nous attendions qu'il jouisse aussi quant à notre grande surprise il a demandé à Toni de lui pisser dans la bouche.....
- t'inquiètes pas pour le lit, c'est moi qui nettoie après! allez lâche ton jus, toi aussi!
Toni à alors ouvert les vannes et un long jet est venu assouvir sa soif et j'ai fait de même peu après.....
C'est la bouche pleine de nos jus qu'il eut finalement un bel orgasme.
Allez les gars, dit-il en se levant complètement trempé, dépêchez vous de prendre votre douche et d'aller voir dehors si j'y suis, je dois faire votre chambre et j'ai pris du retard à cause de vous!
Le soir venu, quand on a retrouvé notre chambre tout était en ordre, le lit fait et..... sec...
viendra t-il demain?
Mais qu'il est beau ce petit minet botton qui tape l'incruste pour le plaisir partagé des 3 compères.
RépondreSupprimerJe suis surpris de voir que ton blog existe encore ! je t'ai suivi longtemps et je suis revenu par curiosité ! toujours aussi brulant et excitant...
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