30 mars 2022

le village de vacances (4), le trip de Laurent....

 


Deux jours après mon après-midi  de partouze chez Max,  Je reçois un Whatsapp de sa part. 

- tu te souviens de la proposition de la crevette que t'as baisée chez moi, Laurent?,  Je t'avais dit qu'il avait des goûts un peu "bondage" et qu'il avait flashé sur toi... Et bien, il te propose un plan demain  après-midi.. si ça te branche,  on le prépare selon ses consignes le matin, tu vois le genre - chaînes et genre esclave puni par son maître -  Quant à toi,  tu passe à l'heure que tu veux  mais pas trop tôt.  L'attente enchaîné fait partie du jeu.  Après il te diras ce qui le branche.. rien de dur,  c'est juste du théâtre. Au bout du compte, tu vas le sauter et t'éclater à fond mon salaud, il est chaud bouillant !

- ok, pourquoi pas,  ça peut être drôle... et puis demain après-midi mon pote est au golf.

- bonne baise master Bastien ! A au fait, ça se passe à la cave. Je te laisserai quelques consignes à l'entrée de la maison .

Pour se rendre à la cave il faut descendre un escalier derrière une porte située dans la cuisine. 

L'endroit était plutôt encombré de tuyaux, câbles , armoires électriques,  chaudière,.. et on était carrément dans la terre battue. Le tout dans le noir... Max m'avait bien dit d'utiliser la lampe torche qu'il avait posé près de la porte de la cave. 


Après un petit dédale,  Je l'aperçois dans le faisceau de la torche. 

Il est debout , bras et jambes écartées , attaché par une chaîne aux piliers de bois.  Simplement vêtu d'un jockstrap blanc à ceinture noire.

Un corps magnifique que je n'avais pas pris la peine de bien apprécier la dernière fois tellement j'étais obnubilé par Max.  Je l'avais baisé certes mais sans remarquer son corps athlétique.  Des muscles finement ciselés, des abdos superbement dessinés,  peut-être un poil trop sec.  La peau blanche presque laiteuse,  glabre, quelques tatouages. 

- Maître,  à  boire,  s'il vous plaît..

Ses yeux sans doute habitués à l'obscurité,  clignent, aveuglés par le faisceau puissant de la torche; je regarde autour de moi et trouve une lampe de chantier que j'allume et qui inonde la scène d'une lumière chaude et intense.

Il y avait effectivement une petite bouteille d'eau posée sur le sol. Je l'approche de sa bouche et il s'en abreuve goulûment.  Il est vrai que Max l'a attaché là, ce matin tôt... 


- ça suffit pour l'instant  et je lui enlève la bouteille;  je lui prend le visage en mains,  ouvre la bouche,  il s'exécute et je crache abondamment dedans.

- Si tu es aussi assoiffé,  Je vais t'abreuver!

Et je déboutonne mon jean, baisse mon boxer , prends ma queue en mains et urine sur lui 

- Merci maître  et il ouvre grand la bouche. 

Que veux tu de ton maître !?

- votre amour,  maître,  prenez mon sexe pour qu'il vous donne du plaisir. 

Je regarde son jockstrap d'un air faussement dédaigneux et presse  fortement d'une main, le renflement de son sexe.  Il pousse un petit cri de douleur.. de l'autre je caresse son torse,  ses pecs durs,  son ventre sec et musclé.  La peau est si douce et pas un gramme de graisse,  le muscle est là juste sous la peau. Son aine est bien dessinée, d'un doigt j'en parcoure le dessin. Je baisse enfin le jockstrap,  une merveille apparaît.  Une statue grecque. Un pubis rasé de frais,  une courte verge , flasque encore sur des couilles terriblement fermes comme une unique balle de tennis. Je les prends en mains et les tire vers moi, Il grimace, je le gifle.  

Je m'empare de sa verge,  elle coulisse molle encore dans ma bouche,  Je la lèche,  l'étire, la mordille,  la soulève pour d'une pichenette frapper ces merveilleuses couilles si fermes, si douces .

Enfin elle se déploie.  Le gland se détache bien,  les veinules apparaissent bien gonflées ; cette verge qui semblait si petite devient une belle bête qui coulisse bien dans ma gorge. Je l'aspire , la gobe toute entière 


D'une main libre je caresse fermement son corps,  c'est doux, sec, dur; je titille, pince ses tétons.  Parfois il se baisse, pose un baiser sur mon crâne,  susurre des mots de reconnaissance et je lui donne mes doigts à lécher.  Mais quand il se fait trop affectueux,  quand il tente de s'approcher de mon visage ou de ma bouche pour un baiser,  Je le punis d'une gifle.

 J'adore ses couilles dures,  pleines, brûlantes. Ses bourses, rasées de très près sont d'une douceur incroyable, renversante.  Je les malaxe tout en le suçant et parfois je les gobe et les mordille alors il se tortille sous la  douleur et me remercie; drôle de trip quand même, mais ça m'amuse de jouer le jeu et surtout il est si beau!

je me lève, lui crache au visage et lui demande de se retourner et  je lui ôte son jockstrap qui était toujours sur ses cuisses.

- tu couines trop, mon gars! tiens ! et j'enfonce son jock dans sa bouche; il marmonne un vague oui! maître, merci maître! - drôle de trip décidément -.....

- écarte bien les jambes, pose ton pied là et ici; oui comme ça c'est bien je verrai mieux ta petite chatte. j'écarte bien ses fesses; putain, c'est trop beau! là aussi, c'est hyper net, rasé ou épilé de frais, d'une douceur incroyable! sa rosace est là, une belle fente offerte à mes yeux, à ma langue. je m'y précipite, lèche, titille, enfonce, pénètre, crache; malgré le jock, il couine de plaisir et écarte encore plus ses jambes en prenant appui différemment , ouvrant encore plus sa rondelle . je le prépare à grands coups de langue tout en tenant fermement ses boules en mains; parfois, je les excite avec de petites chiquenaudes ; j'adore ! du coup il couine encore plus et s
e cambre davantage!

J'enlève mon jean et mon boxer, frotte ma pine bien raide entre ses fesses, couvrant de mouille son sillon . 

- Cambre-toi davantage! amène ton cul ; oui, comme ça écarte bien les jambes. 

Mon gland pousse déjà sa corolle qui comme un diaphragme s'ouvre et me laisse pénétrer. Mon pubis est tout contre ses fesses mais je pousse encore, rien ne doit rester à l'extérieur. je tire un peu sur ses charmantes couilles pour qu'il se cambre encore un peu plus et enfin je le ramone doucement au départ et de plus en plus violemment.

je le libère de son jockstrap, 

- tu aimes? tu aimes ma queue qui te défonce la chatte...

- oui maître, c'est bon, continuez, donnez-vous du plaisir murmure t-il entre deux gémissements. Je l'embrasse comme pour le récompenser du plaisir qu'il me donne, de son corps qu'il m'offre.

A force de pilonner son petit cul bien serré, je sens monter en moi l'orgasme et je ne veux pas que cela cesse si vite. toujours encastrés, je le libère de ses chaînes et lui intime l'ordre de se coucher sur une sorte de malle qui traine sur le sol 


Pour respecter son trip, je l'attache vaguement aux poteaux juste derrière lui. il lève haut les jambes bien écartées et je le fourre de nouveau. Sa "balle de tennis" m'obsède, je ne résiste pas à la malaxer durement et de temps à temps à la baffer.

Je me retire de nouveau; j'ai besoin d'un peu de calme...

-lève encore plus le cul! je lui soulève les jambes, bloque ses pieds contre les piliers du mur et debout contre lui, je lui enfonce mon pied dans la bouche et l'encule à nouveau.

-lèche mon pied! oui comme ça passe bien la langue entre les orteils! nettoie-moi ça et je continue mes coups de bite dans sa corolle béante.

Sympa la position mais c'est épuisant pour nous deux.

on inverse donc; c'est moi qui me couche sur la malle .

-suce-moi bien cette queue encore humide de ton cul! et je veux la voir tout entière dans ta gorge; tu m'entends?!

- Oui maitre! et il s'exécute. Le salaud il sait s'y prendre, il
gobe bien, sa langue experte sait ce qui me fait du bien. j'attire son visage vers moi en tirant ses cheveux,

- ouvre la bouche! et je crache dedans ; vas-y continue suce à fond! 

Putain, il aime ça; avec ses va-et-vient profonds , sa bouche caresse mes poils pubiens et je monte vite , trop vite en tours...

- viens maintenant, empale-toi . bien sûr il obéit. Il me chevauche de dos, s'assoit de tout son poids sur mes cuisses, son dos repose sur mon torse et il m'embrasse tout en soulevant son bassin avec l'énergie et la force de son corps musclé. Bientôt son corps se couvre de sueur sous l'effort et il m'offre son aisselle à lécher . Il a sans doute deviné que les odeurs fortes m'excitaient ....je hume et lèche cette sueur accumulée, Je le régale de cette saveur âcre. 

Là encore, il sait s'y prendre! il bouge son bassin offrant à ma verge en lui une infinité de sensations sensuelles. Il se baisse pour me permettre de mieux voir ma queue aller et venir en lui. sa queue toute riquiqui il y a peu encore sous sa main libre prend peu à peu un beau volume.


je suis bientôt au bout du bout, ma queue encore plus raide, plus gonflée manipulée par son cul expert explose soudain et je ne peux réprimer un cri de plaisir; plusieurs spasmes inondent de foutre son cul. Il se soulève alors, laisse ma semence couler contre ma verge extraite et viens la sucer et la nettoyer;

C'est ma queue en bouche qu'il jouit enfin lui aussi envoyant sur mon ventre de belles giclées de sperme.

Je le quitte enfin, prends au passage mes vêtements et le laisse là à nouveau enchainé; mais c'est son trip. Je suppose que Max viendra le libérer plus tard!











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