Bon, on est là pour dire la vérité ! Jusqu'à il y a peu et malgré ma petite vingtaine, Je ne savais pas où j'en étais sur le plan sexuel. En fait si, d'une certaine façon, je le savais, Je savais que je préférais les mecs mais je ne voulais pas me le dire. Je me complaisais dans un mensonge en accord avec l'air du temps, Je me laissais croire que j'étais bisexuel ou indéfini ou je ne sais quoi d'autre ou finalement asexuel au vu de ma rare, très rare activité sexuelle.
Mais je peux le dire maintenant, le peu d'expériences avec des filles s'étaient avérées décevantes pour moi et sûrement pour elles aussi; quant aux mecs, même si c'était vers eux que mes attirances allaient vraiment avec des amitiés fortes, sexuellement je n'avais jamais dépassé le flirt que je qualifierais de "touche pipi " branché... sans grande intensité érotique..
Cet été là, avec quelques amis, nous avions loué une maison avec piscine, quelque part sur la côte catalane. Vacances post adolescentes classiques, grasses matinées, plage et bronzette en matant et évaluant les meufs, planche à voile, apéro, boîte de nuit ou soirées interminables au bord de la piscine à boire, jouer et discuter..
Que des mecs tous hétéros sauf un et moi "officiellement " bisexuel mais finalement moqué par la bande comme "asexuel".
En effet tous ne parlaient que des filles qu'ils avaient repérées à la plage ou en boite ou en ville. Certains réussissaient quelques fois à en ramener une mais la plupart du temps ils en parlaient plus qu'ils n'en faisaient réellement.
Même David le seul gay de la bande parlait de buissons, de dunes et quelques fois avait découché .
Ce jour-là, toute la bande était partie en excursion à la frontière espagnole pour entre autres faire des provisions d'alcool, bien moins cher qu'en France, certains avaient également prévu d'aller visiter le musée Dali à Figueras.
J'étais donc tranquille pour profiter d'un peu de solitude au bord de la piscine.
Sans vis à vis, c'était très agréable de déambuler nu toute la journée seul dans cette grande maison ou au bord de la piscine. Avec la bande, il nous arrivait aux uns et aux autres de passer la journée à la maison dans le plus simple appareil ou simplement en boxer ou en slip, il n'y avait vraiment pas de pudeur entre nous, même si moi j'évitais de me mettre nu. Je ne sais pas dire pourquoi. Pas par pudeur car je prenais mes douches sans fermer la porte et je j'hésitais pas à ôter mon maillot de bain à la douche de la piscine.
Cet après-midi là donc, parce qu'il faisait vraiment trop chaud au soleil, j'avais décidé de passer le reste de l'après-midi à l'intérieur pour lire et peut-être regarder un film. De plus, puisque j'étais resté, j'avais pour corvée de préparer le repas du soir au retour de la bande. Mais avant cela, j'avais envie d'une bonne douche.
C'est alors qu'il est arrivé...
- hello Bastien !
J'ai soudain sursauté car sous le jet puissant de la douche qui résonnait fortement sur le carrelage, je ne l'avais pas entendu venir.
- heuuh... salut David, t'es pas parti en Espagne avec les autres ?
- non, pas eu envie, Je suis allé de mon côté me balader à Perpignan.
- tu fais quoi là avec ton téléphone, me me dis pas que tu filme?! J'ai pas envie de retrouver sur insta ou tiktok à poil! Déconne-pas, c'est pas drôle.
- Détend-toi ! Bastien.. tu sais que t'es canon comme mec.. t'es beau sous la douche.. allez cache pas ton sexe, fais-moi voir un peu...
- arrête de filmer !
- hmmm! T'as un beau petit cul, dit-il tout en palpant mes fesses , bien ferme ! Et j'adore ton petit tatouage. Et là, dit-il encore en passant la paume de la main dans mon sillon.. ne me dit pas que personne n'est jamais venu explorer ..
- arrête ! Ai-je répondu d'une voix curieusement rauque, mais je sentais ma queue durcir dans ma main qui avait de plus en plus de mal à la cacher toute entière..
- mais que vois-je?! Notre asexuel, bandouille un peu.. allez fait voir! Et il tente de soulever ma main.. tu sais Bastien que tu me branches grave.. et crois pas que je n'ai pas repéré tes petits regards vers moi à la piscine.. t'as déjà fait l'amour avec un mec ? Tu veux pas essayer ? Et il retente de soulever de nouveau ma main; cette fois-ci, j'ai laissé faire, troublé par sa proposition et par l'évidence qui maintenant me sautait aux yeux, j'étais vraiment attiré par lui.
- ben voilà qui est mieux ! Et voilà l'objet de tous les désirs, ajouta t'il en regardant mon sexe enfin dévoilé.
Ma verge encore un peu flasque se redressait rapidement.
- oh mais c'est que ça bande bien, dit-il tout en la prenant en mains ; et ces petits abricots me semblent bien pleins..
Viens, n'ai pas peur, j'ai très envie de toi.
Sur ce, David est sorti de la salle de bain tout en ôtant son polo,
- je vais au salon, Je t'attend , on sera bien dit-il d'une voix suave, enveloppante, en se retournant vers moi.
Mon coeur bat la chamade. Je sors de la douche, et à peine essuyé, encore dégoulinant, Je le rejoins. Il était affalé sur le canapé, un sourire conquérant, torse nu, le bermuda ouvert et la verge bien droite.
C'est vrai qu'il était beau le bougre! Grand, plutôt bien bâti, les muscles bien dessinés, une belle peau mate contrastant bien avec ma peau blanche qui ne bronze pas ou peu.
Nu sur le pas de la porte de ce grand salon au carrelage froid, Je me suis senti à la fois vulnérable et offert. En un instant, j'ai compris que ma vie allait basculer et j'avais hâte de vivre enfin ce moment à la fois attendu et redouté. Doucement, je me suis approché de lui et de ce mandrin qui m'attend , qui m'appelle. Je n'avais pas ou peu d'expérience, mais je ne pouvais pas ne pas voir que c'était un sexe de taille bien supérieure à la moyenne. À la fois long, épais, d'une belle couleur miel. Son torse était légèrement velu ainsi que son pubis mais peut-être l'avait-il rasé il y a peu..
À genoux entre ses cuisses, Je prends sa verge brûlante en mains, la caresse, la lèche, gobe l'imposant gland humide .. le salaud continue de filmer la scène mais à mon corps défendant, je me rends compte que ça m'excite. Je la gobe consciencieusement sans le quitter des yeux attentif à lui donner du plaisir, attentif à ses consignes. Curieusement, Je ne bande pas ; je me sens élève, concentré à bien faire, à ne pas décevoir.
Il me dit ce que je dois faire ; lécher, gober, jouer avec le méat, le prépuce; comment l'enfoncer, malgré l'imposante taille au plus profond de ma gorge comment jouer avec ses boules en bouche, les tirer, mordiller, entrechoquer pour provoquer des sensations de plaisir-douleur. Il gémit un peu, il doit aimer, ça m'encourage.
Par moment, il me claque sa bite contre mon visage et me complimente, me félicite ; j'apprends vite. Curieusement, ses compliments me donnent plus de plaisir que l'action proprement dite ; j'apprends !
- occupe-toi maintenant de mon entrejambe, aide moi à me débarrasser de mon short
Consciencieusement, J'ôte et jette son bermuda au sol, il écarte alors largement les jambes qu'il pose sur mes épaules et m'offre son entrejambe velue que je hume, prenant de plein fouet la délicieuse senteur de son intimité. Je lèche entre ses cuisses, sous ses couilles tout en branlant son vit dressé au dessus de mon crâne.
- viens maintenant, Je vais m'occuper de toi ; mets-toi à quatre pattes là sur le canapé.
Il pose son smartphone sur une étagère en visant bien la scène.
- tu verras, ça te feras des souvenirs ! Tu pourras montrer à tes petits enfants, ton dépucelage! Allez! Écarte bien les cuisses. Hmmm, c'est beau ! J'aime bien voir tes couilles bien fermes pendre juste sous tes fesses. Il les caresse alors, les taquine un peu de petites pichenettes qui me font gémir ; prend ma verge flasque et l'attire vers lui, pose sa bouche sur le méat ; déjà je réagis, elle s'allonge à ce simple contact.
Il écarte bien mes fesses, les tapote, les malaxe, caresse d'un doigt tantôt doux tantôt ferme ma corolle , mon périnée.
- on t'a jamais dit que tu avais un délicieux troufignon ? Non bien sûr. Tu devrais raser ton sillon,; il est à peine poilu et c'est mieux quand c'est soit glabre soit très velu. Par contre, ça réagit bien aux caresses à croire que t'es pas vierge.. je pense plutôt que t'attends ça depuis longtemps. Je sens son souffle frais contre ma rosace puis sa langue lécher et pointer mon trou du cul ; je gémis, c'est vraiment bon. En même temps, sa main droite tourmente mes boules et tire fortement sur ma verge comme pour la traire. Je bande dur pour son plus grand plaisir
- enfin, Je vois ta queue en majesté, bel engin, si tu t'en sers bien, tu feras des heureux.
Pendant un long moment encore, il décontracte mes fesses par ses caresses, ses claques, ses fessées; masse mon périnée, décrispe mon anus à coups de langue et bientôt le bout de celle-ci caresse l'intérieur de mes sphincters. A sa demande, Je me cambre bien, écarte un peu plus les cuisses et pour la première fois, il glisse un doigt en moi. Par de petits va-et-vient, par de fermes pressions sur les pourtours, il s'ouvre peu à peu un passage. Ce qui fut désagréable il y a peu, devient un plaisir et je me surprend à en vouloir plus. Surtout que je sens par moment son gland humide frotter ma cuisse .
- retourne-toi Bastien,
Les cuisses contre mon ventre, je me couche sur le canapé. Il est là entre mes jambes, la longue trique dressée ; c'est maintenant...
Il lubrifie une dernière fois mon troufignon d'une généreuse salve de salive. Je ne le quitte pas des yeux ; son gland pousse doucement mon sphincter. Je grimace, douleur fulgurante.
- respire à fond me susurre t'il les yeux rivés sur les miens..
Je crie un peu quand dans un spasme de douleur, Je sais son gland en moi; doucement par de petits mouvements, sans pénétrer plus avant, il apaise ma membrane et quand il me sent prêt, il s'enfonce en moi ; son pubis presse mes fesses toujours les yeux dans les yeux, il se penche sur moi, me lèche avidement le visage, m'embrasse avec force et me susurre à l'oreille,
- tu vois on ne fait qu'un maintenant. Il caresse mes couilles de la paume de la main, tire sur ma verge toute rabougrie. Je gémis, j'ai bêtement envie de lui dire des mots d'amour ; oui à cet instant précis, je suis amoureux de lui.
Il bouge un peu le bassin,
- Tu sens les veines de ma queue? Il se retire un peu tout en ondulant,
- tu sens mon gland te caresser la prostate?
La vue de ce corps sublime bougeant contre moi et en moi, ses caresses intimes , font monter en moi une vague énorme et encore inconnue qui me submerge ; j'agrippe ses fesses comme pour le pousser encore plus profondément en moi et du coup il commence ses va-et-vient, doucement d'abord puis un vrai pilonnage. Je hurle, l'encourage...
- purée, Bastien, vaut mieux pas t'avoir comme voisin, tu réveillerais tout l'immeuble!
Viens, on change de position, tourne toi, oui comme ça, cambre bien que je vois ton trou de balle.. hmmm, une vraie chatte maintenant, j'espère qu'on la verra bien dans le film...
Et il me martèle à nouveau, ses mains sur mes hanches comme pour mieux m'amener à lui. Quelques fois, il se retire totalement le temps de voir mon diaphragme béant.
Quelques fois aussi, il flatte ma croupe, caresse mon dos. Une longue et fine coulée de mouille vient maculer le cuir du canapé. Sans même me toucher, Je suis par vagues, au bord de l'orgasme . Pourtant je n'aime pas cette position, Je préfère voir son corps se mouvoir, voir le plaisir dans ses yeux mais sa verge bouge tellement bien en moi que je concentre toute mon attention sur le frottement de nos deux corps en moi. Il prend son temps il veut faire durer le plaisir. Ses mains maintenant agrippées à mon cou m'attirent vers lui cambrant min corps au maximum et offrant à son vit des territoires de mon cul pas encore explorés.
- à toi de bosser maintenant dit-il en se retirant.
Couché à son tour sur le canapé, il me tend son braquemart
- viens t'empaler!
Je le chevauche sans hésiter, sa tige entre sans difficulté en moi.
Je le vois à nouveau, Je peux voir dans ses yeux qu'il a du plaisir. Je vois ses abdominaux se contracter à chaque mouvement de son bassin. Je bande ferme à nouveau. Il devine que je suis proche de la jouissance et accélère ses coups de reins et je me branle au même rythme et au bout de quelques minutes alors qu'il me défonce sans retenue, Je jouis et envoie de copieuses giclées de foutre sur son torse. Comme s'il n'attendait que moi, sa verge se gonfle en moi et dans trois spasmes puissants, inonde mon cul de sa semence.
Je me suis écroulé sur lui, épuisé, heureux. Nous restons un moment ainsi, laissant sa queue doucement mollir et s'extraire de mon cul. Â peine séparés, déjà son sperme coule sur ma cuisse.
Soudain, des applaudissements, des bravos.....
Purée, le reste de la bande était là! Depuis quand, à quoi ont-ils assisté ? Qu'importe maintenant...
-et bien Bastien, pour un "asexuel " on t'entend hurler depuis la piscine... quelle fougue .
Et tous de se marrer ! Et au fait tu devais pas t'occuper de la bouffe de ce soir? Et tout ce foutre sur le canap ?! C'est du propre tout ça, on vous laisse seuls et voilà le travail.
Et tous de rire à nouveau.
- allez viens, me dit David on va se doucher et on va faire la bouffe ensemble. Et à vous tous, un dépucelage ça se fête, champagne ce soir !












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