13 avril 2022

le village de vacances (8), Laurent et son pote d'équitation


Ça m'a fait tout drôle d'arriver à la maison que nous avions loué avec Max et d'y être accueilli par Bastien,  Mathilde son mec et David le frère de Mathieu.  Le repas avait été préparé,  ma chambre prête,  Je n'avais plus qu'à ranger mes affaires,  prendre une douche et rejoindre la petite famille pour l'apéro. 
Nous avons passé une bonne soirée,  le repas était excellent et Bastien n'a fait aucune allusion à mon trip bondage et à notre mise en scène de la cave.  Mais j'ai bien compris que Mathieu était au courant car il n'a pas pu s'empêcher de faire une ou deux vannes tarabiscotées mais allusives.  C'était plutôt drôle.  Ils m'ont aussi vanné sur mon écuyer mystérieux que je rêvais de draguer. Et on a bien rit surtout quand j'ai fait le pari que je réussirais à l'amener ici et de le mettre dans mon lit...
Le lendemain matin,  j'ai donc foncé au centre équestre et par chance il était là.  Nous avons passé la matinée ensemble à nous entraîner et a faire plus ample connaissance . À l'heure du déjeuner quand il a été question de trouver un petit resto,  Je lui ai proposé de venir à la maison - mes potes étaient en excursion,  il y avait un frigo plein et surtout on pourrait prendre une douche. 
Il a tout de suite accepté,  ce qui m'a redonné espoir...
Dans la voiture,  j'ai commencé à le draguer un peu plus ouvertement,  faisant des allusions plus ou moins précises sur son physique d'athlète allant jusqu'à plusieurs fois poser la main sur sa cuisse sans que  cela semble l'affecter ou le troubler. 
Arrivés à la maison,  Je lui ai suggéré puisque nous étions plus sales et boueux, de nous dévêtir dès l'entrée en laissant nos fringues  - je trouverais bien un short et un tee-shirt à sa taille -
Il a du trouver ça normal car il a immédiatement ôté son polo découvrant un torse large et musclé aux pecs  légèrement velu.  Des abdos bien dessinés. 
- pas mal les muscles,  dis-je en tâtant.
- merci,  t'es pas mal non plus,  dit-il en enlevant  difficilement son pantalon d'équitation,  tellement il était serré. 
Le mec ne porte rien dessous et son cul bombé, délicieusement duveteux, apparaît peu à peu sous mes yeux.  Le pantalon ôté,  il se tourne vers moi tout en  tirant sur sa verge.  Un bel et long engin, promesse d'un beau développement. Une toison savamment taillée et des couilles comme des pêches bien mûres. 
Je défaille presque puis, comme pour me donner une contenance,  Je tapote ses fesses, 
- purée, l'équitation ça fait de belles fesses musclées ; ça c'est un beau paquet de muscles ! Et j'enlève mon tee-shirt et mon pantalon et ... évidemment,  le picotement caractéristique dans le bas ventre se fait sentir... moi aussi,  Je tripote mon sexe,  un peu pour cacher un bon début d'érection..
- la salle de douche est juste là,  vas-y,  dis-je,  Je vais prendre l'autre salle de bain. Je prends nos fringues et je les porte dans ma chambre et je préférais des fringues..
Je le regarde rejoindre la salle de bain.  Son dos musclé, les petites, le balancement de ses fesses, ma verge est à angle droit!
Je file prendre ma douche mais ça ne m'aide pas à refroidir mes ardeurs ni à débander.. à peine sec, la bite en panache, Je vais le rejoindre dans sa salle de bain.. j'entends toujours l'eau couler.. la porte est ouverte et je le vois.. purée,  c'est chaud ! Pas de doute, il se branle ! Et c'est une vraie massue qu'il a en mains.  Soudain,  il ouvre les yeux et m'aperçois,  moi aussi en train d'astiquer.  San réaction de sa part  - il continue sans gêne à se tripoter,  Je m'approche ; il me laisse faire.  Je prends sa verge en main,  la caresse, , caresse ses couilles ; il laisse faire.  
- tu sais que ta queue est superbe ...
Je m'approche encore,  nos bites maintenant se touchent et je le prends par la hanche pour qu'il se frotte à moi.  Là il recule, m'enlève la main, 
- désolé Laurent,  c'est pas mon truc, n'insiste pas,  laisse moi finir de me laver 
- essaie ; rien que cette fois, si ça ne va pas on arrête,  mais quand même, si t'étais pas un peu tenté tu m'aurais rejeté plus tôt et... tu bandés toujours,  là. 
- laisse-moi prendre ma douche..
Je suis allé dans ma chambre; nu sur le lit, toujours excité et le piquet bien raide j'ai continué à me branler doucement.  En arrivant dans la chambre,  une serviette à la main,  son vit est toujours à l'horizontale. 
- arrête maintenant.. c'est pas drôle..
- allez,  viens,  tu bande comme un âne,  laisse moi calmer tes ardeurs. 
Contre toute attente, il s'est effectivement couché tête-bêche à côté de moi. 
Il a posé sa main sur mon  ventre, 
C'est vrai que t'as la peau douce... et tout doucement sa main à glissé vers mon pubis et ma verge..
Sans un mot, il l'a pris en bouche et a commencé à me sucer. 
- pas un mot ! Me dit il en levant un instant la tête avant de plonger ma longue tige toute entière dans la bouche 
- tu sais que la tienne n est pas mal non plus!...
Il s'y prend bien, sa langue fait ce qu'il faut et malgré la bonne taille de mon vit il a compris comment la gober toute entière. 
Il caresse fermement mes boules.
Pendant ce temps je peux profiter de son puissant braquemart que j'astique d'une main tout en caressant son dos puissant de l autre. 
Soudain il écarte bien mes cuisses et  il s'aventure dans mon entrejambe , cherche  mon trou qu'il caresse d'un doigt...
- tu aimes mon trou  dis-je d'une voix bien rauque.. Il n'attends que toi.. viens que je te bouffe la queue. 
Il le chevauche sans hésiter tête-bêche,  enfonce sa verge dans ma gorge et reprend la mienne en bouche. Merveilleux 69!
Sa matraque s'enfonce profondément en moi et mes intenses va-et-vient lui soutirent de profonds gémissements et je le suppose en tous cas un plaisir suffisamment intense pour qu'il arrête régulièrement de me sucer pour jouir entièrement de ma gorge. 
- viens,  lui dis-je,  mets-toi sur le dos,  Je vais m'occuper de toi pleinement.  Je reprend son braquemart en bouche,  ses couilles en mains et le suce intensément ; à chaque pénétration,  mon visage bute bruyamment contre son pubis  je lui caresse régulièrement, d'un doigt la rosace et bientôt c'est lui qui baise ma gorge à grands coups de reins..
Ses veines  frottent contre mes lèvres,  la salive coule abondamment sur son pubis et je m'en sers pour lubrifier ma rosace,  maintenant je veux que ce mandrin me perfore le cul.
Je le chevauche alors et je m'empale. Appuyé à la tête de lit,  aidé par ses bras puissants qui soulèvent mon cul, sa matraque me pilonne à fond. Il est en nage.
- changeons de position,  Je veux que tu  me défoncer le cul..
Je regarde un instant son mandrin violacé, tuméfié par l'effort et le désir et je ne résiste pas à lécher tout entier cet engin qui a visité mon tréfonds. 
Je me place en levrette,  cuisses très écartées,  dos cambré au max.
- viens,  fourre-moi à fond!
- purée,  Je ne pensais pas que l'on puisse dilater autant un cul! Dit-il en regardant ma rosace béante..et il s'enfonce jusqu'au couilles et me pilonne à grands coups de butoir massifs. 
Sa verge prends de l'ampleur en moi,  ses veines dures frottent contre mes sphincters,  ses halètements se font plus intenses,  ses coups de reins plus violents,  il est proche de l'extase.  Quant à moi,  Je pourrais jouir sans même me toucher et le couvre lit est trempé de mouille. 

 Je profites d'une courte pose pour me retirer,  me mettre sur le dos ,, cuisses à 180°
- viens, je veux voir la jouissance dans tes yeux.  Baise-moi , serre fort mon cou. 
Et tandis qu'il me martèle,  à moitié étranglé, Je m'astique violemment.
Et c'est à moitié asphyxié que j'explose couvrant mon torse de foutre.  Il n'a pas fallu longtemps pour que lui aussi dans un spasme , m'inonde le cul. 
On s'est enlacés longuement.. son vit toujours en moi refluant peu à peu...
- ça t'as plus de baiser un mec ?
-on recommence?! fut sa seule réponse... 








 

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