Ce matin, avec Mathieu, nous avons fait un peu de ménage et préparé les deux autres chambres car comme convenu, le frère de Mathieu devait venir passer ce dernier week-end avec nous. Ce qui en revanche n'était pas prévu, c'est le retour de Laurent .. Max m'a téléphoné ce matin pour me donner quelques nouvelles de son problème familial et m'a effectivement annoncé que Laurent viendrait cet après-midi pour le week-end. Il avait repéré un super beau mec lors de son stage d'équitation et rêvait de le revoir ce week-end... Dans la mesure où il avait participé aux frais de la location, nous ne pouvions que nous incliner. Personnellement cela ne me dérangeait pas, cela pouvait s'avérer sympa et Mathieu était curieux de voir ma "victime de la cave "... Après le déjeuner, Mathieu est retourné passer l'après-midi au golf. J'étais donc chargé d'accueillir le frérot et plus tard Laurent. David, le frérot avait promis de faire des courses donc pas de stress, Je pouvais buller tranquillement à la maison ou au bord de la piscine. Après le départ de Mathieu, j'ai fait quelques longueurs de piscine et après une douche rapide, Je me suis habillé dans l'attente du frère. Il est arrivé peu après, les bras chargés de victuailles et même d'un fagot de bois - pour le BBQ de ce soir - ma t'il dit.
Après l'embrassade d'usage,  nous sommes allés à la cuisine pour ranger les courses. 
Je ne le connaissais pas bien. Depuis que j'étais avec Mathieu,  leurs relations s'étaient quelque peu distancées.  ; Mathieu avait toujours été très proche de son "grand frère " et l'idée que celui-ci puisse ne pas approuver notre relation, le chagrinait.  Ce week-end ensemble était une première à  l'initiative de David  et Mathieu en attendait beaucoup 
Il était plutôt beau mec,  grand, bien bâti,  un regard net et franc,  sexy quoi.  Il avait l'air très à l'aise avec moi,  discutant du menu de ce soir,  de la maison,  bref voulant faire en sorte que cela se passe bien. 
Malgré cela,  j'étais un peu crispé et je faisais des efforts pour que cela ne se voit pas trop.  Surtout qu'il me regardait un peu bizarrement.. et sa conversation glissait doucement sur un angle plus "personnel " ; la chance pour Mathieu d'avoir un beau mec comme moi.. et puis bien entendu il était hétéro mais ça l'avait titillé longtemps de le faire avec un mec.. oui... terrain glissant...
Moi, Je restais plutôt intimidé,  gêné,  sans trop relever..et lui comme si de rien était,  d'en rajouter,  de se faire plus précis.  Genre - je me suis souvent demandé ce que ça faisait de se faire bouffer le cul,  tu vois les filles ne font pas ça  - et de me regarder avec un regard de braise..
Et toi tu aimes ça ? 
Sans comprendre ce que je faisais, sans réfléchir aux éventuelles conséquences,  je me suis approché de lui,  je l'ai embrassé et très vite conscient de l'énormité je me suis reculé en demandant pardon. Pour toute réponse il m'a pris dans ses bras et m'a embrassé.  Dans un élan de désir incontrôlé,  je l'ai retourné contre le frigo américain,  J'ai baissé son short et son boxer .
Son cul musclé,  légèrement poilu, bombé , juste devant moi,  Je lui demande:
- c'est ça que tu veux ? Écarte bien les cuisses!
Ma question qui n'en était pas une, restée sans réponse, j'ai écarté ses deux fesses pour découvrir un sillon profond, broussailleux et humide.  J'ai humé ces effluves intimes, celles qui me font à chaque fois basculer dans l'insondable territoire du désir et je m'y suis plongé,  cherchant de la langue, sa corolle.  Il était plaqué contre la froide paroi de l'énorme frigo américain,  et gémissait déjà. Je voulais voir sa queue, je le voulais nu.  Je lui fait signe de se retourner dos contre le frigo.  Il s'est débarrassé de son short qui pendouillait sur ses chevilles et l'empêchait de bien écarter les jambes et  a ôté son tee-shirt qu'il a jeté au loin. Je découvre un torse légèrement velu, une belle ligne de poils courant vers son nombril et s'épaississant sur le bas ventre. Une longue et fine tige ben à angle droit pointée vers moi surplombant de belles couilles bien fermes. 
Ses couilles en mains,  je gobe sa bite toute entière, lèche son gland,  mordille son prépuce,  son méat. 
- enlève ton tee-shirt toi aussi,  dit-il entre deux halètements et il m'aide à l'ôter.
Sa queue  coulisse dans ma gorge et je tire fortement sur ses couilles, lui arrachant de petits gémissements de plaisir. Sa verge se rigidifie de plus en plus,  les veines se gonflent de sang et roulent sous la pression de mes lèvres. Elle est carmin, tuméfiée. 
Maintenant c'est lui qui à coups de reins, baise ma bouche. 
- hmmm, j'aime voir ma bite coulisser toute entière dans ta gorge,  j'avoue que ma copine ne fait pas si bien...
Puis après un moment, 
- mon cul,  s'il te plait,  bouffe moi le cul comme tout à heure!
Et il se retourne, jambes bien écartées,  torse collé au frigo. 
Je glisse ma langue dans fente,  lèche sa rondelle qui s'ouvre à ma grande surprise.  Déjà ma langue caresse ses sphincters ce qui le fait littéralement couiner de plaisir. De lui-même,  il se cambre,  écarte ses fesses pour me faciliter le travail. Le bougre devait attendre ça depuis longtemps car maintenant il pousse de la main mon crâne.  Son anus est bien ouvert et ses parois réagissent bien à mes attaques ; je crache,  humecte, lubrifie abondamment car je suis sûr maintenant que ce qu'il attend au fond de lui même,  c'est de se faire enculer..
J'ai préparé son cul longtemps, adorant  baffer ses fesses musclées; j'ai glissé un doigt tout doucement et il m'a laissé faire,  gémissant plus fort quand j'ai commencé à le remuer en lui. Puis un second et il s'est alors cambré encore plus,  comme un appel. 
- tu veux? C'est la première fois ?
Et il se cambre encore plus pour toute réponse. 
Je le relève alors,  frotte ma queue bandée contre son sillon,
- tu es sûr ?
Pour toute réponse,  il écarte alors largement ses fesses de ses mains .
Je suis tout contre lui,  mes mains caressent ses hanches,  Je lui mordille le cou tandis que ma verge épousant parfaitement la courbure de son sillon, le gland excité par ses poils , mouille abondamment et durcit encore plus .
Il est inquiet c'est sûr, Je l'apaise par mes caresses,  mes baisers sur la nuque,  le dos, les épaules.  Je prends mon temps. 
Enfin,  Je frotte mon gland trempé de mouille pour le lubrifier une dernière fois ,crache abondamment sur ma queue,  approche mon gland de sa rondelle et doucement,  fermement force le passage..
- Le plus dur est passé,  respire, détend-toi.
Et je pousse jusqu'à sentir ses fesses tout contre mon pubis.  Je le laisse respirer un peu,  le cajole un peu,  me retire et reviens tout contre lui. 
J'entame en douceur mes va-et-vient puis tout en mordillant l'épaule,  accélère le mouvement. Peu à peu,  Je sens la tension baisser, son corps se relâcher,  lâcher prise.  Le plaisir monter. Bientôt il vient d'une main,  yeux mi-clos m'inciter à  pousser davantage,. J'obéis. 
Je me retire un instant,  juste pour voir sa rosace,  juste pour le pénétrer à nouveau ; il  m'accepte maintenant sans résistance,  il en veut encore. J'accélère, ma bite  fouille chaque recoin de son cul.  Il gémit,  il découvre ce que le plaisir masculin peut être. 
Au bord de l'orgasme,  Je lui propose de continuer au salon.
Je m'assois , en tenant mon vit bien droit,
- viens t'empaler sur moi. 
Il me chevauche,  prend ma verge en mains et tente de l'introduire . Il s'y prend maladroitement et je le guide.  C'est plus difficile que prévu,  il grimace de douleur,  Je le rassure,  l'embrasse, le caresse,  et bientôt ses cuisses se trouvent contre les miennes.  Je suis tout entier en lui. 
- à toi maintenant,  
Doucement puis plus rapidement il soulève et baisse son bassin faisant coulisser ma queue en lui. Plusieurs fois,  Je me retrouve au bord de la jouissance et je résiste le plus possible.  C'est son plaisir qui prime,  c'est lui qui donne le tempo. 
Fatigué,  il me demande de prendre le relais et je le pilonne à grands coups de reins. 
Soudain,  Je ne sais pas ce qui me prends,  Je le lève toujours ancré en lui qui s'accroche péniblement à mon cou et debout je le défonce avant de le poser  sur le canapé et le marteler pour le grand final. Sa queue se dresse enfin contre son ventre et sentant mon plaisir proche il se branle au rythme de mes coups de butoir. Enfin,  dans un ultime et profond coup de reins,  j'inonde son cul de mon foutre. 
Je reste en lui le temps pour lui de couvrir son ventre de sperme.  Je me retire,  laisse mon foutre couler de son cul.  J'en recueille au bout de ma langue les premières gouttes puis je lèche son ventre et sa semence et l'embrasse enfin pour lui donner le goût de l'homme. 
Nous sommes restés un moment silencieux, l'un sur l'autre.  Heureux mais déjà inquiets du moment d'après..
Enfin, Je l'ai embrassé,  regardé dans les yeux. 
- et maintenant ? On dit quoi à Mathieu ? 
Après un long silence, 
- la vérité.  Et c'est moi qui le dirais.  Je lui demanderai pardon pour avoir été désagréable avec lui,  pour avoir fait croire que j'étais opposé à son homosexualité et ensuite à votre couple. En fait je me cachais la vérité , que les mecs m'attiraient aussi.. et pire encore.. que je fantasmait sur vous,  que je rêvais de faire l'amour avec vous deux.. et donc avec lui aussi.  Lui mon frère.. et si vous le vouliez et bien,  Je suis prêt..
- et bien après ça,  Je crois qu'une bonne douche s'impose et peut-être aussi un alcool fort. 
- allez à la douche,  Je ne voudrais pas que Mathieu nous trouve à poil et couverts de foutre. 
De plus il y a un autre invité surprise qui doit arriver ce soir...

 
 
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