05 avril 2022

Le village de vacances (6), journée avec mon pote


Au retour de mon après-midi dans la maison de Max,  après mon expérience vaguement bondage avec son pote Laurent et la super séance de massage,  j'étais,  J'avoue plutôt épuisé... pour couronner le tout,  mon mec était déjà rentré de son après-midi de golf  et plutôt furibard.  Il me connais par coeur et avait compris au premier coup d'oeil que j'avais fait des rencontres... sa seule remarque fut glaciale mais nous avions un accord depuis le début : libres  même si on évite de trop déconner et surtout on ne se cache rien. 
- tu pue le sexe à plein nez... raconte !.
- Ok, je te raconte, promis mais avant, Je file prendre une douche pour me débarrasser de ce que tu appelles fort élégamment "cette odeur de sexe " qui est en fait de l'huile essentielle de ylang ylang.. mais promis je te raconte..
Bien sûr,  J ai tout raconté,  pas avec tous les détails mais bon l'essentiel depuis le premier jour à la salle de sport..
Bon, il a naturellement fait un peu la gueule mais un contrat c'est un contrat et on a finit d'en discuter par un diplomatique 
- j'espère que tu vas me le présenter ce Max!
Et la promesse de passer la journée de demain ensemble...
Soudainement mon téléphone a vibré ; c'était Max qui me demandait de le t'appeler dès que possible..
Regard courroucé de Mathieu qui s'occupait du BBQ....
Max avait une urgence familiale grave et devait dès ce soir répartir vers Paris,  les deux crevettes suivaient.  Il me proposait de venir occuper la grande maison car il ny avait pas de possibilité de remboursement.  Si on était ok, il fallait dans l'heure passer prendre les clés et éventuellement amener nos affaires.. 
- si tu veux faire la connaissance de Max, c'est maintenant ou jamais, Mathieu.  Il a un gros problème familial t rentre à Paris ce soir.  Si on veut il nous laisse la maison car elle est payée jusqu'à la fin de la semaine ; c'est super,  non? La baraque est immense,  elle est sur les hauteurs,  isolée sans vis à vis,  une vue trop top et une piscine..
L ne s'est pas trop fait prier.. on a fait un petit sac de quelques affaires  pour passer la nuit,  on prendrait le reste demain  et in est monté chez eux.  Son envie de voir Max et les crevettes - surtout Laurent- mont vite fait taire ses éventuelles réticences.
 La rencontre fut très courte. Max finissait de charger la voiture avec les crevettes.  Le temps de nous passer les consignes  pour la maison,  de changer quelques mots et ils étaient partis. Max avait l'air bouleversé mais n'avait visiblement pas envie de parler.  Nous nous sommes  embrassé  et rapidement quittés sur un laconique " je t'appelle ".
Malgré le léger malaise causé par le problème de Max,  Mathieu et moi avons passé une belle soirée à nous baigner nus dans la piscine éclairée ,  à descendre quelques bières en regardant la baie illuminée. 
Malgré le merveilleux de la soirée,  Mathieu et moi n'avons pas fait l'amour.  Il devait considérer ça comme une sorte de punition et moi j'avoue n'avoir pas insisté,  j'avais eu ma dose!
Le matin, quel bonheur de prendre un petit déjeuner sur la terrasse.  Max n'avait pas pris le temps de vider le frigo ce qui nous permis de nous faire un copieux petit dej avec fruits,  yaourts,  jus,  etc...
Après cela nous avons décidé de nous dépenser un peu avant les grandes chaleurs et d'explorer les collines environnantes en courant. 
Après près de deux heures à petit rythme- mais ça monte par ici - nous sommes arrivés à la maison trempés de sueur,  épuisés,  haletants mais contents de l'effort intense fourni. 
- une bonne douche enfin ! Et après poisson grillé salade,  Je meurs de faim, s'est écrié Mathieu en ôtant péniblement son tee-shirt trempé à tordre.
- et si on faisaient plutôt un beau plongeon,  la piscine nous tend les bras !
Et sans attendre sa réponse,  j'ai ôté mes chaussures,  mon tee-shirt,  mon short que j'ai jeté au visage de Mathieu 
- prems à l'eau ! Ai-je crié 
- tu crois que l'on peut se baigner à poil ?
- bien sûr,  il n'y aucun voisin et personne ne vient par ici..et puis on est chez nous, merde et je cours me jeter à l'eau en hurlant,  rejoint très vite par un Mathieu rigolard et bien sûr à poil aussi. 
- je vais me venger, tu m'as jeté ton short dégueulasse à la gueule,  tu vas périr noyé !
Et dans un grand plouf,  il m'a rejoint dans l'eau. Il a bien entendu essayé de me couler,  faire boire la tasse et s'en est suivi un combat mémorable et aquatique.  C'était vraiment amusant de se bagarrer dans l'eau, de tenter de faire basculer, valser le corps glissant de l'autre,  de passer le bras ou les mains entre ses cuisses, de sentir ses couilles glisser entre mes mains..
Épuisé,  Mathieu a crié " pouce" et est remonté s'asseoir sur le rebord de la piscine.  Bien entendu,  le jeu suivant a été de tenter de le remettre à l'eau en tirant sur ses jambes.. raté et toujours raté !
Comme il est beau,  là un peu à contre jour,  tout mouillé,  tout nu.  Cette lumière accentuant encore plus le mat de sa peau,  la marque de son maillot.  Ses cuisses écartées m'offraient un paysage connu de moi mais qui soudain prenait un relief particulier.  J'avais envie de lui. De goûter à ce sexe bien connu. Je me suis glissé entre ses cuisses pour caresser son pubis rasé de frais,  prendre ses couilles devenues riquiqui par le bain et enfin baiser sa verge avant de la gober tandis que déjà elle réagissait...
Tandis que sa queue coulisse dans ma gorge,  il m'encourage en caressant ma tête et en me disant tout le bien qu'il éprouve dans ce moment de grâce.  J'aime voir le fort contraste de couleurs de nos corps ainsi mêlés,  ma blancheur opaline et sa couleur miel . Sans parler de la blancheur de son cul et ses  cuisses car il m'aime pas le naturisme ou plutôt il aime et il sait que je l'aime ainsi,  voir à la fin de l'été la marque du maillot,  la " tan line" comme disent les anglo-saxons. 
C'est marrant,  sa queue qui  glisse dans ma gorge a un goût de chlore et mouille mêlés.  Je le regarde, basculer la tête pour bien se concentrer sur le plaisir qu'il reçoit;  ses abdominaux se  contractent et  ses petites couilles remontent à chacune de mes aspirations. 
- si on montait dans la chambre,  me glisse t'il à l'oreille. 
Je le suis vers l'intérieur de la maison et le voir nu, la queue à l'horizontale,   bronzé avec son beau cul bombé et blanc me met en joie . Je le rattrape un instant pour l'embrasser,  caresser ses fesses,  passer ma paume de la main dans son sillon. On rit , on bande grave. J'attrape au passage un drap de bain pour m'essuyer vite fait. Arrivé dans la chambre,  Mathieu  m'arrache le drap,  m'enlace, m'embrasse avec passion. Nos vit dressés s'entrechoquent délicieusement.  Il me jette sur le lit,  écarte mes cuisses et vient lécher mon sexe,  attrape en bouche mes couilles l'une après l'autre petite fulgurance douloureuses et me font gémir de douleur. Puis il me soulève haut les jambes pour mieux accéder à mon entrejambe. Voir ce corps puissant couleur miel contraster avec ma peau laiteuse m'excite encore plus.  Voir ma bite coulisser dans sa gorge,  sentir sa bouche caresser mon pubis, sa langue titiller mon prépuce,  mon méat me rend fou de plaisir et je m'accroche au couvre lit comme pour ne pas me précipiter sur lui. 
- je veux ton cul,  dis-je  d'une voix rauque,  viens. 
A califourchon sur moi,  il a posé ses fesses contre mon visage.  J'ai écarté ses fesses et envoyé la pointe de la langue à l'assaut de sa rosace.  

Il s'est alors couché sur moi pour reprendre mon vit en bouche m'offrant une vue splendide sur sa raie et sur sa fente. La voir réagir à mes coups de langue m'émeut toujours autant  bien que je la connaisse si bien. Je lèche,  pointe,  mordille son périnée, le délicieux entame de ses couilles. Il aime tellement ça que par les subtils mouvements de son bassin,  il vient chercher ma langue pour caresser ses sphincters ou la laisser le pénétrer.  Sa queue aux veines gonflées  frotte  contre mon torse au rythme des mouvements de son cul et laisse une longue trainée de mouille.  Ma verge en bouche, il grogne et gémit.
 - viens,  assied-toi sur ma gueule et il se couche sur le dos.   Accroché à la tête de lit,  Je le chevauche et les cuisses bien écartées,  Je pose ma raie contre sa bouche.  De lui même,  les mains sur mes fesses,  imprime mon va-et-vient au dessus de sa langue.  Je sens ma corolle s'ouvrir, la pointe de sa langue,  caresser ses parois...Ma verge se branle contre son front et son crâne.  Je voudrais tellement que sa langue soit plus longue,  qu'elle vienne encore plus profondément en moi..
Derrière moi,  j'entends le clapotis de sa verge branlée et j'ai de plus en plus envie d'elle...

- baise-moi , dis-je soudain. 

Il se tourne alors,  me tend son braquemart dressé et moi toujours agrippé à la tête du lit,  Je m'empale sur lui et entame mes va-et-vient sous ses encouragements.. 
Quand je commence à fatiguer,  il prend le relais et m'envoie sa tige à grands coups de reins.
Aujourd'hui,  c'est son jour,  Je ne veux que son plaisir et plusieurs fois il a été proche de l'orgasme. Au bout d'un long moment à me pilonner ainsi, épuisé,  il m'a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit et il m'a à nouveau transpercé debout. 
Il m'a longuement embroché,  fouillant du bout de sa verge chaque recoin de mon cul,  me fessant régulièrement.. Je gémissait,  hurlait de plaisir.

Puis à nouveau,  nous avons changé de position et c'est couché, les cuisses sur ses épaules que  j'ai encaissé ses coups de butoir accroché à mes couilles.
Quand il a compris qu'il ne pouvait tenir bien longtemps encore,  il a pris ma queue en main et m'a branlé au rythme de ses mouvements . C'est moi qui ai joui le premier couvrant mon ventre de foutre. Je l'ai précédé de peu .. Il s'est séparé de moi et a mémé son sperme au mien.
Nous nous sommes enlacés et après un long moment de repos,  la faim nous a tiré du lit. 
Nous avons préparé le repas sans prendre la peine d'enfiler ne serait-ce qu'un short et sans prendre une douche.. j'aimais garder le sperme séché sur mon ventre..










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