01 juillet 2022

borderline, edging expérience (2)

   Quelques semaines après 

Le film a été mis en ligne peu de temps après le tournage et d'après Dylan,  il a marché sur la toile porn.. du coup,  la boîte a élaboré son plan de travail,  mon pote a été embauché pour le numéro deux,  Christian est ok pour deux films (et j'en serai ) et pour, et c'est à sa demande,  une séance de edging en public.  Il est vraiment exhib  ce Wilde!
Mon pote Jeff , Il était tellement  angoissé et inquiet, qu'il a  tenu à ce que je l'accompagne . Il craignait tellement que le trac foute tout en l'air en ne bandant pas qu'il m'a finalement demandé de remplacer David et d'être ainsi l'espace du tournage,  son " souffre douleur "
Le scénario encore une fois,  simplissime..

Jeff est chez lui et fait sa séance de muscu tandis que les "méchants pervers " pénètrent chez lui... on ne sait pas pourquoi mais on s'en fout..
J'ai vraiment insisté pour que Jeff ait l'occasion de s'exhiber avec ses superbes "boules de Noël" ..... Après sont entraînement,  la caméra le suit dans la salle de bain , sous la douche et dans une séquence de séchage face caméra.. top,  (j'espère que les spectateurs apprécient ses merveilleuses couilles bien pendues... rien que d'y penser... je pourrais passer des heures à jouer avec).
Peu après il se glisse dans un short et décide de faire sa lessive au sous-sol; c'est là que tout commence.. 

Les liens, le bâillon,  les yeux bandés,  le short ôté,  le boxer découpé par mes soins et déjà mon Jeff bande sous le tissu du boxer que sa verge soulève peu à peu pour se déployer toute gonflée. J'aime sa queue,  de mon point de vue parfaite ; longue, épaisse, veineuse, lourde, un gland proéminent.  Je la caresse du bout des doigts, Je frôle ses cuisses, ses boules parfaites,   elle réagit au quart de tour et se soulève à chaque contact; j'adore. 
Je le branle,  il halète, son ventre se soulève et ses abdos se contractent au rythme de ma main. Ma queue me fait mal comprimée dans mon jean,  Je rêve de me foutre à poil. Dylan vient lui poser des aspire tétons et les excitent tandis que ses coups de reins poussent sa longue queue dans ma gorge. 
Dylan me regarde fâché, il voit bien que nous dévions de l'objectif,  on baise et on y prend plaisir,  on est loin du edging mâtiné  bdsm. Mais j'entends dans mon oreillette le cameraman qui le rassure :
- le braquemart de Jeff est parfait et ses va-et-vient dans la gorge de Bastien donnent de belles images ; en outre,  Jeff monte bien en pression,  ses gémissements étouffés par le bâillon donnent bien et les mouvements de son bassin sont top... faut juste que Bastien soit...moins passionné !
Dylan est sorti un moment pour revenir avec un masturbateur translucide qu'il a connecté à un système électrique permettant d'automatiser la masturbation..
L'appareil posé sur la tige de Jeff a commencé ses mouvements sous les cris de Jeff qui visiblement est au bord de l'orgasme.. Dylan le retire immédiatement  et lui offre ainsi quelques minutes de répit  avant de le remettre en route... c'est vraiment jouissif de voir Jeff s'agiter ligoté sur sa chaise, ses abdos se contracter, ses couilles parfaites monter et descendre. A plusieurs reprises,  Dylan doit stopper la machine car Jeff est à bout et très proche de l'éjaculation. 
Puis il a fallu tricher un peu.  Jeff avait visiblement besoin d'un break, ses montées orgasmiques se rapprochaient et il ne tiendrait pas sur la durée du film. De
toutes les façons c'était à cause de moins plus un film de boules classique qu'un estampillé edging.
On a détaché Jeff hors caméra et on a préparé la scène finale dans une grande chambre au lit King size. Jeff attaché aux barreaux du lit avec de beaux liens rouge contrastant parfaitement avec sa peau si blanche  cuisses écartées et braquemart fièrement levé,  le tournage a repris. Dylan a convenu que notre histoire pouvait finalement être un plus à son scénario et m'a donné carte Blanche. Je me suis déshabillé et c'est en slip que je suis apparu quand il a crié  "moteur ".
J'ai fait le job,  interrompant mes mouvements sur sa verge, à chaque fois qu'il atteignait la limite par de douces et amoureuses caresses. J'ai enfin ôté mon slip pour lui donner quelques compensations et étouffer ses gémissements et ma queue a baisé sa bouche au rythme des va-et-vient sur sa queue.  Mais l'envie irrépressible qui montait en moi était de le chevaucher,  sentir cette somptueuse pine me forer le cul. C'était risqué car il me fallait être attentif,  il devait jouir devant la caméra. 
Dylan est venu pimenter la scène avec un dildo vibrant ; gros plans sur son oeillet ouvert,  pénétration vibrante, gémissements. 
Puis, j'ai pris le risque,  Je me suis empalé sur son dard, j'ai serré le plus possible tout en swinguant mon bassin . 
- ça y'est je vais jouir,  enfin à soupiré Jeff prenant son rôle au sérieux... Je me suis vite levé pour réitérer quelques secondes après tout en me branlant 
- j'en peux plus, mec. Je vais jouir,  Je veux jouir,  laisse moi aller au bout  mec!
J'ai stoppé,  juste le temps de couvrir son ventre de sperme et de lui donner ma bite à essuyer.
Enfin,  Je l'ai libéré et il a jouit mêlant son foutre au mien sur son ventre. 
- donne lui un bon coup de polish à crié Dylan derrière la caméra.  Je le suis exécuté ; avec la langue tout d'abord pour bien nettoyer sa verge et son gland du foutre restant puis avec la paume de la main,  le faisant hurler 
-arrête,  arrête,  c'est trop sensible,  j'en peux plus !
On a fini dans un grand moment de rigolade et de chatouilles.
Coupez ! Voilà restait à le libérer et à faire l'interview d'usage pour prouver qu'il était  bien consentant. 
À la douche...









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