30 juin 2022

borderline, edging expérience (1)




Quelle surprise l'autre jour en recevant  un appel de Dylan,  le boss du borderline... ça faisait longtemps que j'avais perdu le contact. 
Après les politesses d'usage " comment ça va depuis,  les études,  t'as un petit copain,  etc..." il m'exposa très enthousiaste son nouveau projet. Cette fois-ci pas de spectateurs,  pas de soirée spéciale,   Il s'agissait de faire un film avec un scénario genre bdsm mais axé sur le edging et il voulait expérimenter ça avec moi..
- c'est quoi le edging,  fut ma première question. 
- il s'agit d'amener plusieurs fois quelqu'un au bord de l'orgasme et d'arrêter au dernier moment pour l'empêcher de jouir.. le mec très vite te supplie de le laisser éjaculer!
- et t'as pensé à moi ! Qui te dit que je serais capable de tenir longtemps comme ça,  Je ne suis pas des plus endurant!....
- t'inquiète pas,  on va te préparer,  on connait un masseur spécialisé,  il va t'entraîner avant. Tu vas voir il est magique.. il masse comme un dieu et tu vas t'éclater .. 
Tiens je t'envoie quelques vidéos...




 



 
Après avoir résisté un bon moment,  quand tu lâches la sauce, c'est énorme l'orgasme! Je te le garantie,  j'ai essayé !  Deux ou trois séances et tu seras au top. C'est moi qui paye la facture toi t'as qu'à te régaler !
J'hésitais un peu mais après avoir discuté un moment sur la rémunération,  l'idée de plusieurs séances d'entraînement avec ce fameux masseur et la perspective d'améliorer sensiblement mon endurance,  l'emportèrent , j'acceptai. 

Les séances avec le masseur furent des moments de grande découverte.  Outre l'intense sensualité de ses massages, particulièrement sur la verge , le gland et les couilles entravés par des liens,  les montées du plaisir fulgurantes ou progressives m'amenaient à chaque fois aux portes de l'orgasme.. Plus prosaïquement, j'appris quelques techniques pour durer et ralentir l'arrivée du point de non retour.. 
Maintenant j'avais hâte de montrer à Dylan et David ce que je savais faire.  Et savoir que c'était eux qui allaient jouer avec moi, ajoutait à mon impatience ; surtout David pour qui j'avais un petit faible... le rendez-vous était fixé à aujourd'hui et j'avais largement eu le temps de parcourir le scénario qui bien sûr tenait en une page.. 
Le rendez-vous était fixé ce matin,  dans une usine désaffectée de la banlieue sud de la ville. 

Je devais m'habiller genre "étudiant banal " car l'action était supposée se dérouler dans une université.. ce matin donc j'ai revêtu un banal boxer gris en coton,  un jean noir classique et une chemise bleue passe-partout..
David et Dylan avait installé le matériel de tournage dans une énorme toilettes pour hommes à l'ancienne mais propres et encore en bon état ; l'usine venant de fermer. Un long mur occupé par de nombreux cabinets aux parois en bois et deux murs occupés par des dizaines d'urinoirs en faïence blanche sans aucune séparation.
Une seule scène à tourner : David et Dylan habillés en hommes de ménage me repèrent tandis que je suis occupé à uriner et décident de m'enlever pour,  on peut le supposer, me faire subir les pires sévices...
- moteur !
Je rentre donc dans la salle,  un classeur sous le bras,  me dirige vers un urinoir, pose sur un rebord mon classeur, deboutonne mon jean quand soudain,  ils m'agrippent violemment, m'attirent vers le centre de la pièce et me couvrent la tête d'un sac de toile. Je me débats pour tenter de me libérer mais ils sont deux et tandis que l'un me mantient de force,  l'autre me lie les mains derrière le dos. 
Ligoté,  bâillonné, la tête dans le sac, Je suis bel et bien prisonnier.  Une main se glisse dans ma braguette restée ouverte,  agrippe durement mon sexe
- espèce de salope,  tu vas déguster,  tu es notre esclave maintenant,  notre jouet.
- t'as quoi là dedans, hurle l'autre à mon oreille,  tout en triturant violemment ma verge dans le boxer,  j'espère que ça vaut le coup !
Et ils m'entrainent hors champ de la caméra. 


- coupez!  tu t'es pas trop débattu me dit Dylan après m'avoir détaché et libéré du sac de toile.  On la refait ?
- non, répond le  cameraman,  c'était bien, crédible  et puis après tout,  c'est pas pour un film de Cronenberg!
-ok, maintenant on rentre.. Tu vas voir,  on va tourner dans la salle de classe utilisée il y a des années pour un film de Jeff Stricker..  considère ça comme un grand honneur,  dit-il en plaisantant. 
Effectivement,  le studio était équipé comme une vraie salle de classe comme en en fait plus.  Des bureaux en bois pour deux tout griffonnés de vrais ou faux graffitis, un tableau,  des livres, des cartes de géographie...

- super ! Ça donne envie de travailler ! Dis-je bêtement en découvrant l'endroit..
- oui,  on a juste enlevé le lustre central car on va avoir le plaisir de t'y suspendre mon  cher Bastien... ,  me répond facétieux Dylan. 
On se prépare,  on me lie à nouveau et c'est entièrement ligoté et recouvert du sac de toile que je pénètre dans la pièce, poussé sans ménagement par les deux acolytes juste après le "moteur" du cameraman. 
Ils me suspendent au plafond et enfin on m'enlève le sac.  Mes pieds ne reposent plus sur le sol mais difficilement sur deux piles de livres... j'ai un peu peur de perdre pied en bougeant trop car les piles de livres sont instables.
David me crie des insanités tout en ouvrant grand mon pantalon. Il se saisit de nouveau de mon boxer et de mon sexe,  je crie de douleur et il m'ordonne de me taire tout en pressant encore plus fort,  comme pour mieux me punir, mes couilles dans sa main.  Je sens ma verge enfler légèrement et une tache de mouille apparaît sur le coton gris.  
- mais c'est qu'il aime ça le salaud hurle David tout en approchant le nez de la petite tache, il mouille déjà le cochon! et tandis que Dylan s'affaire à découper ma chemise à coups de ciseaux,  David me mordille le gland à travers le tissu du boxer. 
Me voilà torse nu,  Dylan caresse puis titille mes tétons tout en sniffant mes aisselles avant de les lécher. 
David lui frotte son visage contre le tissu du boxer, excitant ainsi ma queue qui sans conteste est déjà bien ferme. 

À ce stade je trouve le scénario plutôt plaisant; je suis caressé,  excité et je prends du plaisir à voir ces deux simili violeurs s'occuper qui de mon torse qui de mon bas-ventre ; plutôt sexy pour l'instant. Le cameraman filme en gros plans la bouche de David mordiller mon boxer,  la bosse de ma queue,  la langue de Dylan dans ma légère toison d'aisselle, ses mains sur mon torse et mon ventre..
Dylan reprend ses ciseaux et découpe en lambeaux mon jean !  Puis les passe à David qui découpe le flanc gauche de mon boxer et me branle sans découvrir encore ma queue, la tache humide s'étend,  la caméra n'en perd pas une miette. Enfin, l'espèce de serpillière qu'est devenu mon boxer m'est ôté et je vois, ma verge bien droite se dresser fièrement contre la bouche de David qui la gobe avec délectation tout en me tirant sur les boules comme pour mieux les étirer. 

Pendant ce temps Dylan me rajoute des liens autour de la poitrine qui viennent savamment enserrer fermement  ma verge et mes couilles.  Ma  queue prend très vite une couleur violacée. Les veines saillent et mon gland gonfle comme je ne l'ai jamais encore vu.  Avec deux engins vibrants,  ils viennent exciter tour à tour mon prépuce,  ma verge,  mes couilles,  mon entrejambe,  Je gémis de plaisir puis David vient l'exciter encore plus à coups de langue et avec force claques qui m'arrachent de petits cris de douleur.. qui les réjouissent !
Il me branle,  me suce en alternance et  déjà le plaisir monte,  inexorablement.  Je mouille abondamment et ils s'en délectent et quand ils sentent que la sève monte, que je suis au bord du précipice prêt à l'orgasme,  ils stoppent un instant,  Je hurlerai presque " continuez,  laissez-moi jouir!" Mais à ce stade J'ai encore la force de résister et je sais que c'est le jeu, je ne serai pas écouté.  Et en mon fort intérieur,  Je sais après mes séances de edging que je peux aller plus haut,  atteindre plusieurs orgasmes sans éjaculer. 

Dylan me bâillonne avec une grosse pomme dans laquelle je suis obligé de mordre ; impossible maintenant de hurler,  de dire quoi que ce soit,  impossible de prier,  supplier que l'on me laisse jouir enfin. 
Ma queue écarlate subit tantôt  les claques,  tantôt les caresses de David . Me sachant aux limites, Dylan demande à David de stopper et vient armé d'un appareil photo me mitraille ligoté,  en équilibre précaire sur mes piles de livres,  une pomme énorme rouge entravant ma bouche et la verge entravée de liens, turgescente et tuméfiée. Il se moque de moi,  me traite de tous les noms "souillure,  chien, grosse merde " tout un florilège d'insultes..
Puis ils viennent me poser des aspire tétons. Immédiatement la succion se fait et ils jouent avec,  un plaisir nouveau m'envahit et David reprend ma verge en mains et me branle,  mon second orgasme approche, je voudrais crier mais mes gémissements s'arrêtent contre la pomme que je mord à rompre.  Je mouille abondamment et Dylan approche de mon gland une sorte de bonnet d'âne pour recueillir le précieux nectar puis e le pose sur la tête.
Une nouvelle phase commence.  Le bâillon pomme m'est enfin ôté,  mes liens autour du sexe également. 




Mais Dylan entreprend de me ligoter différemment.  Mes bras derrière le dos,  mes jambes au dessus de mon torse,  mon sexe entre les cuisses,  comme un dard. Voilà qu'ils me hissent vers le plafond.  Ainsi pendu,  mon trou du cul  est accessible et à hauteur de visage et je sens un courant d'air me caresser la rondelle. David caresse d'un doigt mon sillon,  s'arrête en insistant tout contre mon œillet avant d'y introduire son index tout entier puis deux doigts qui fouillent mon cul et caressent ma prostate. 
Dylan arrive muni d'un manche de balai dont l'un des bouts est recouvert d'un long gode.  Il me pénètre sans ménagement avec tandis que David me branle,  je hurle , une nouvelle fois je suis au bord de l'orgasme,  Je supplie que l'on abrège "mes souffrances " que l'on me laisse éjaculer enfin mais à chaque fois,  David arrête de toucher ma verge,  un vrai supplice. 

Après quelques secondes de répit tandis que le gode laboure mes entrailles,  David masse de ses doigts huilés mon gland tuméfié,  c'est insoutenable,  j'en pleurerais!     Les salauds, pour me punir de mes suppliques me bâillonnent à nouveau avec la satanée pomme. Et de nouveau le pal, de nouveau les caresses le long de ma verge. De nouveau proche d'un nouvel orgasme,  ils m'offrent quelques secondes de répit le temps pour Dylan d'ôter le bâillon et de revenir avec un second manche de balai équipé lui aussi d'un gode qu'il vient me glisser dans la bouche.  Maintenant je suis baisé en rythme des deux côtés !
Changement de programme! Enfin ils me décrochent mais c'est pour mieux me ligoter à quatre pattes sur le bureau,  cuisses écartées et rondelle ouverte à tous vents. 
À tour de rôle ils me fessent,  écartent mes sphincters,  m'ordonnant de bien ouvrir mon oeillet ; à tour de rôle ils introduisent leur index tout en branlant ma queue par derrière. Dylan tend à David le gode qui maintenant chapote une sorte d'engin vibrant. les vibrations se répercutent partout en moi et particulièrement sur ma prostate ; 
- regarde comme il mouille le salaud ! S'exclame Dylan . Petit con,  tu salis le parquet ! 
Ma verge se contracte de plus en plus,  Je suis prêt à jouir mais ce salaud de David le sent et stoppe une nouvelle fois sa traite. Ils me retournent alors sur le dos et posent sur ma verge un anneau translucide qu'ils équipent du vibreur. Je n'en peux plus,  Je veux en finir,  cracher des tonnes de foutre en hurlant,  me libérer de tout ce plaisir contenu depuis trop longtemps maintenant,. Je supplie qu'on en finisse !

Mais ils ne m'écoutent pas,  et c'est au tour d'un stimulateur vibrant prostatique qu'ils insèrent et déclenchent dans mon cul.  Les vibrations excitent ma prostate et mon périnée et David reprend sa traite s'arrêtant à chaque fois que ma verge a ses contractions.
Enfin,  j'ai compris à sa façon de me branler qu'il allait enfin me libérer.  Mes halètements se font plus intenses au fur et à mesure que les vibrations font monter en moi un orgasme prostatique,  et bientôt je hurle de plaisir et libère de belles salves de foutre qui viennent s'écraser contre mon ventre mais à peine je reprends conscience que David engouffre ma verge endolorie dans sa bouche,  que sa langue vient lécher mon gland hyper sensible m'arrachant de nouveaux hurlements puis avec sa main il vient violemment entourer et tourner autour de mon gland . Je le  supplie d'arrêter mais il enfonce son poing dans ma bouche et reprend ma verge en bouche et la nettoie de tout le sperme restant. Dylan m'achève en me chatouillant tout le corps !
Enfin,  ils me laissent sans même me détacher...
- coupez !
- David me détache et me donne une serviette pour m'essuyer. 
- t'as été super Bastien,  les séances chez  Max ont été profitables ! T'as eu au moins quatre orgasmes et ton plaisir réel va crever l'écran. 
- va prendre une douche,  et il me tend un survêtement,  un slip et un tee-shirt.  Dès que tu es prêt on va fêter ça et après si tu veux te voir on visionne l'enregistrement. 
Après avoir passé une excellente soirée à manger,  boire et rigoler,  nous sommes tous allé chez Dylan visionner le film. Si au début j'étais un peu réticent à me regarder,  nu, humilié,  branlé,  empalé et surtout en fait me voir jouir, je dois dire que ça m'a vite plu et de sentir ma bande s'exciter en visionnant le film, me faisait bander à nouveau.  Le cameraman me caressait gentiment l"entrejambe tandis que David ayant sorti sa queue du pantalon, le branlait doucement.  Il ne m'étais pas venu à l'idee que le cameraman puisse être gay lui aussi et  n'avais encore jamais vu sa queue qu'il avait bien belle !
Quand est arrivée la scène ou, pendu au plafond,  mon trou du cul apparaît en gros plans,  le cameraman à glissé sa main sous mon survêtement et mon slip, 
- - ton cul m"a fait bander grave...
Sans mot dire,  j'ai soulevé légèrement les fesses pour qu'il puisse mettre son index tout entier en moi. 
Au bout d'un moment   David m'a dit,  
- regarde,  comme sa bite est dure et grosse,  Je l'ai préparée pour toi,  viens t'assoir dessus 
J'ai baissé mon froque,  craché sur cette verge  qui m'attendait et je me suis empalé dessus.
David est venu devant et a gobé mon vit.  J'ai baisé sa bouche au rythme des va-et-vient sur le braquemart du cameraman. 
Nous avons tous jouit à peu près en même temps,  Dylan avait tout filmé !
Nous avons passé la nuit tous ensemble dans un joyeux mélange..
Au matin, au petit déjeuner,  David a déclaré, 
- j'ai très envie de m'y coller la prochaine fois.. on pourrait faire un scénario du genre,  la victime se retourne contre le bourreau,  moi donc et me fait ce que je lui ait fait ou allait faire...
- bonne idée Dave mais Bastien a un pote qui aurait bien envie de s'y coller.. Bastien dit qu'il est super mignon et bien foutu avec des couilles qui pendent jusqu'au sol!
- ok mieux vaut avoir trop d'idée que pas assez,  on va déjà terminer celui-ci,  le mettre en ligne et si ça marche, on se lance. 
- ouais,  et moi j'aimerais bien me venger sur Christian.. 
-Wilde?
Oui, d'abord il est super beau et je voudrais me venger de ce qu'il ma fait lors de ma première séance sur le comptoir du bar.
- pourquoi pas,  mais on ne l'a pas vu depuis longtemps..je peux l'appeler pour voir si un tournage l'intéresse. 






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