08 septembre 2022

LE COPAIN DE FAC

Nous nous sommes rencontrés sur les bancs de la fac.  On a vite sympathisé et on commencé à travailler ensemble de plus en plus souvent.  Même s'il nous arrivait quelques rares fois de nous faire un ciné après les révisions,  on n'a jamais déjeuné,  dîné ni même pris un verre ensemble.  Nous n'avions qu'un seul lien les études pour réussir notre première année de fac.

Je ne savais rien de lui ni lui de moi mais on étaient bien ensemble et je dois dire que les soirées où nous étions chacun de notre côté,  Je pensais un peu à lui ; il me manquait et je sentais bien que c'était réciproque. 

C'est pourquoi,  pour les vacances de printemps,  Je m'étais décidé à l'inviter dans notre appartement de bord de mer pour un weekend. 

J'avais demandé les clés à mes parents qui avaient accepté volontiers avec en bonus la twingo de ma mère. 

L'appartement dispose de deux chambres et je lui ai attribué celle de mes parents avec vue sur la mer. La salle de bain est à partager mais cela ne nous posait pas un problème. 


- Maxime,  je te propose de  nous installer,  prendre une douche si on veut et on va faire quelque courses en ville... ce soir pasta a la carbonara et vin italien au menu!

J'ai pris possession de ma chambre,  défait rapidement mes valises et n'ayant pas envie de prendre une douche,  je me suis changé.

Je n'avais plus que mes affaires de toilette à disposer dans la salle de bain qui est attenante à la chambre de mes parents. 

En entrouvrant la porte,  j'ai surpris Maxime qui, très concentré,  se contemplait dans le grand miroir accroché au mur.  Il semblait vérifier que son jean mettait bien en valeur ses attributs,  il soulevait son tee-shirt et tâtait ses abdos... comme s'il voulait s'assurer de son "sex appeal" mais auprès de qui ? Cette petite station balnéaire n'est vraiment pas connue pour ses activités nocturnes et on avait quand même prévu de travailler un peu... était-ce à mon attention ?

De fait  gêné mais aussi excité,  Je n'osais pas entrer et je suis resté sur le pas de la porte à mater.


Il a continué son inspection en dégrafant son jean, en palpant la bosse de son boxer noir. 

Ouahou! Ça devenait chaud ! Ce qui dépassait du jean semblait imposant, bandait-il?

Il a ensuite ôté son tee-shirt découvrant un torse délicatement musclé et de beaux abdos.. Je ne sais pas s'il bande mais moi,  ça se tend bien dans mon boxer !

Surtout que maintenant il baisse son boxer,  palpant ses fesses et sa queue qui rapidement se raidit.

Entièrement nu devant le miroir,  il se mate, se caresse,  astique sa tige,  soulève ses couilles.  Je brûle....

Il se retourne,  se cambre  écarte ses fesses comme pour bien mater son oeillet. Va t'il se branler,  se donner du plaisir ?

Soudain il me voit mais sans que ça le gêné.

- ça fait longtemps que tu me mates? 

- un moment oui, Je voulais aller à la salle de bain poser mes affaires et je n'ai pas osé te déranger...

- ça t'as plu ? Approche toi,  m'a t'il dit sans attendre ma réponse évidente..

Je me suis installé sur un fauteuil à quelques centimètres de lui et il continué à se caresser.. sa verge dressée était à portée de mains .

- tu bandes en me matant ? Ça te plait  ce que je fais ?

- oui  ,ai-je répondu timidement..

il a alors pris ma main pour la poser sur sa queue brûlante.  A mon contact il a poussé un profond gémissement. 


- enfin... A t'il simplement ajouté 

J'ai commencé à le branler maladroitement- je n'étais pas des plus expérimentés à cette époque - et à lui caresser les couilles qu'il avait bien fermes. 

Toujours intimidé par cette situation inédite,  Je lui demandé si je pouvais le sucer !

Oui, vas-y, s'il te plait. 

J'ai enfourné sa tige tout en caressant ses couilles. Elle était plutôt épaisse et longue et il m'a fallu un moment pour bien la gober complètement et accompagner les mouvements de son bassin. Il s'est baissé vers moi pour m'ôter mon tee-shirt. 

Je/ nous naviguions dans des contrées inconnues.  J'avais bien sûr très envie de lui et d'aller au bout de l'aventure mais je craignais que cela marque la fin de notre amitié en tous cas sous la forme que nous partagions. 

Il semblait plus expérimenté que moi,  torse nu il m'a titillé fermement les tétons ce qui était une sensation nouvelle pour moi. 

J'ai repris sa verge en bouche le laissant la gober à coups de reins.  Ma queue allait exploser à l'étroit dans mon jean,  il était temps de la libérer.

Maintenant c'était à lui de découvrir mon corps,  d'engloutir jusqu'au fond de sa gorge ma pine..et il savait y faire.  Sa langue faisait des merveilles sur mon gland,  mon prépuce, ....

Après un moment à nous caresser,  nous embrasser,  à la découverte de nos corps,  

- si tu veux,  Je te baise... 

Il a tout de suite vu dans mes yeux que j'en avais très envie. 

Je me suis retourné,  il a fouillé dans son sac pour chercher un flacon de gel et une capote. 

J'ai écarté les cuisses,  son gland est venu tout contre ma rosace et s'est frayé un passage en moi.  Il est resté un instant son ventre contre mes fesses,  sa verge entièrement en moi puis ses va-et-vient ont commencé ; doucement d'abord puis intenses après.


Le bruit de son ventre cognant contre mes fesses me rendait dingue,  Je me caressait la queue,  les couilles,  j'avais une terrible envie de voir son braquemart me défoncer le cul . 

- allons sur le lit,  Je veux te voir me ramoner. 

Je me suis mis sur le dos,  jambes bien écartées et il m'a de nouveau empalé.

 Ses halètements de plus en plus intenses,  le flip-flop de sa verge transperçant mes muqueuses,  le mouvement de son bassin,  ses abdos se contractant à chaque coup de reins,  la tension sur ses fesses , J'étais au bord de l'extase, il a lord commencé à me branler et j'ai très vite jouis de copieuses giclées de foutre sur mon torse.  Très vite après dans un spasme profond,  il a mélange sa semence à la mienne.

Enfin il a léché mon ventre et dans un long baiser nous avons partagé nos spermes. 

Demain il fera jour....






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