Ses
doigts fouillent sa raie, titillent son petit trou… massant bien autour avec ses doigts. L'index
entrer lentement et lui caresse la prostate. Deux puis trois viennent , entrent, sortent, tournent, dilatant ses sphincters. Après cet exercice qui lui laisse la rosace béante, Maxime sent derrière lui, la longue bite, qu'il a eu le temps d'entrevoir, qui masse son petit
trou et ça l’excite comme jamais; maintenant, il n'a qu’une envie, c’est que le gars le laboure profondIl se sait ouvert,
offert . Il cambre encore plus son cul, signe d'attente, d'offrande. L'autre cependant recommence à lui bouffer le cul comme un dieu et Maxime ne peut s'empêcher de se mordre la lèvre pour ne pas gémir trop fort, c’est trop bon !
Très vite, il lui fais signe qu'il n’en peut plus et qu'il veut qu’il le baise. le gars comprend le message cinq sur cinq, se relève et vient se coller derrière lui, approche son visage de son oreille et chuchote : « Are you ready? ». Bien sûr qu'il est ready et plus encore ! Maxime hoche la tête ,
- look at my hole!
et lui tend sa bouche pour qu’il l’embrasse. Il lui fourre sa langue entre les lèvres et commence des
mouvements de bassin contre son cul. Sa queue coulisse sur son petit
trou qui palpite, Que c’est bon! Il réintroduit un doigt qui lui titille le cul pendant encore quelques secondes puis, constatant qu'il est bien ouvert, présente son gland à l’entrée de son oeillet et commence à
pousser lentement.
Les chairs s’écartent peu à peu et son gros gland passe la porte et se fraie un passage. C’est très légèrement douloureux, mais il a bien
pris son temps pour le préparer ! Une fois le
gland passé, il fait coulisser sa bite centimètre par centimètre,
mais le plus dur est fait : le reste rentre comme dans du beurre et Maxime ne peut plus s'empêcher de couiner sans retenue.
Le gars s’accroche à ses hanches et fait des mouvements amples et
langoureux pour bien démarrer et élargir le passage; la chatte de Maxime palpite de plaisir
sous ces coups de boutoirs lents et méthodiques. Son cul chauffe et sa
bite gonfle encore plus. À chaque passage, sa prostate est agréablement
stimulée. il halète, la tête légèrement en arrière, le dos cambré, le cul offert. Tout en le pilonnant, le gars lui mordille l'oreille , puis lui roule un bon patin pendant quelques secondes tout en continuant à le labourer de plus en plus profondément.
Il ondule en rythme et tortille un peu le cul pour lui dire à
quel point il prend son pied. Le gars semble prendre ça pour un signal
d’accélérer et commence à aller plus vite, faisant des va-et-vient plus
rapides et plus secs. Il prend alors une cadence soutenue et on entend, outre les couinements et on l'oubliait celui-là, les encouragements du black voyeur, le clapotis excitant d'un pubis claquer contre des
fesses,
il tend un bras en arrière pour palper le cul qui s’active
contre le sien, malaxe ses fesses et y enfonce les ongles. Le gars affiche un petit sourire pervers et complice, et il passe sa langue
sur ses lèvres pour me montrer à quel point il kiffe son trou. alors ll resserre son anus et le gars, la bite enserrée subitement dans la gangue des sphincters , murmure
- oh fuck… !
Apparemment,
il semble apprécier. Une de ses mains continue de lui agripper la hanche,
l’autre vient enfoncer deux doigts dans sa bouche, comme p6ur le remplir sans ménagement par tous les trous.
Le gars le pilonne encore une bonne dizaine de minutes sans
ralentir puis on l’entends dire doucement « I’m coming ! ». Soudain, il
se raidit et donne plusieurs grands coups violents jusqu’au plus
profond de son cul. Lui s’est penché sur moi, sa bite toujours en dedans, et il reste ainsi immobile ,planant ainsi quelques secondes avant
de redescendre.
Le gars décule lentement, et il a ainsi l’impression que son trou est vide
pendant quelques secondes; le foutre coule doucement entre ses fesses ouvertes tandis que sans un mot le gars se rhabille et s'en va.
Maxime, les jambes raides à force d’être cambré dans la même position, fixe maintenant le gros black qui sans un mot non plus se lève le mandrin bien raide et gonflé en mains. Celui-ci fixe avidement son cul explosé, … Sans préambule quant à lui, il enfonce presque d'un coup son obus. Le gros gland passé, il reste encore la partie médiane , la plus large qu'il pousse d'un coup sec. Le long ramonage de l'autre gars a fait son effet et bientôt Maxime sent le pubis gras de son partenaire cogner contre ses fesses. Un long et pesant va-et-vient commence, le vit le martèle profondément et bientôt le plaisir arrive comme une puissante vague de fond qui l'envahit entièrement. De temps en temps le mec se retire complètement comme pour admirer son oeuvre: sa rondelle maintenant largement béante ou l'air frais s'engouffre et rafraichit quelques secondes ses chairs écartelées.Malgré le coté bourrin de ses coups de boutoir, le mec sait y faire, Maxime se trouve bientôt au bord de l'orgasme, d'un abime de plaisir sa queue commence à se raidir sur son ventre et à s'agiter au rythme des coups de reins et, dans un dernier instant de lucidité, il parvient à murmurer entre deux gémissements
- je vais jouir mec, je vais jouiiiir! et, sans avoir eu besoin de se toucher, de longues et puissante salves de spermes viennent s'écraser contre son torse et son visage. Le partenaire, lui aussi au bout du bout, dans un long spasme s'enfonce encore plus dans son cul. Maxime, les sphincters bien serrés sent les contractions du vit cracher le foutre en lui.
Tous deux ont besoin de quelques secondes de répits , puis sans un mot non plus le black se relève se rhabille et quitte l'appartement.
Maxime peut enfin baisser les cuisses endolories , le sperme coule encore de son cul , sa queue encore toute humide repose mollement sur son ventre. Il a mérité une bonne douche.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire