18 avril 2024

soirée de dingue, épilogue , un week-end à la montagne







Je suis rentré chez moi,  épuisé,  épuisé mais repus.  Mes rencontre de la nuit avaient calmé mes ardeurs.  Trop fatigué pour prendre une douche.  Je puais le sexe et le foutre et j'aimais ça.  J'avais sur la peau l'odeur des autres et j'aimais ça. Pas question de me laver. Je voulais m'endormir avec ces souvenirs de la nuit,  souvenirs de plaisirs,  d'orgasmes, souvenirs d'autres.  Mais la nuit se devait d'être courte,  j'avais promis à mon oncle de le rejoindre dans son antre au fin fond de la forêt.  Je ne connais pas bien mon oncle. Je ne l'ai vu que peu de fois.  De fait je crois que mes parents ont longtemps voulu me tenir éloigné de lui.  Je sais pourquoi maintenant.. je le sais depuis que je l'ai croisé dans un sauna,  une bite lui ramonant le cul.
Il habite un coin isolé et dans une maison qui l'est plus encore.  J'y suis arrivé en milieu de l'après-midi après deux heures de route depuis New-York. 
Il y avait un mot sur la porte m'indiquant qu'il était en ville pour faire quelques courses, où trouver la clé et me proposant en attendant de m'installer dans la chambre sous les combles. 
La maison était dans le style rustique.  Bois,  cheminée,  tapis épais, bibliothèque,... on s'y sentait bien rapidement 
J'ai posé mon sac dans la pièce qui allait être ma chambre pour le week-end.  Chaleureuse, lumineuse avec un  velux surplombant le grand lit confortable et plein de couvertures bien chaudes. 
Il y avait aussi une étagère avec quelques bouquins,  essentiellement des policiers et aussi curieusement de vielles cassettes vhs de films de cul gays bien sûr. 
 Les photos des pochettes fleuraient bon les années 80. Blonds musclés en slips kangourous blancs déformés par une trique prometteuse,  poses subjectives et titres accrocheurs.  Jeff stryker nous affirmant que ce qui compte c'est la taille. 
En les regardant, les plaisirs de la nuit sont remontés à la surface.. mon cul, mon bas-ventre se sont souvenus des caresses reçues, ma queue a brusquement poussé sous mon jean. 
J'ai défait ma braguette, caressé mon sexe à travers mon slip déformé par mon érection.  J'avais subitement chaud. J'ai caressé mon torse d'une main tout en continuant à flatter ma queue encore prisonnière de mon ck. 
Elle était là devant moi toute droite.  J'en connaissais bien sûr chaque détail. Chaque veine m'était familière et ma main en connaisait tous les secrets.  En la regardant ainsi,  en recueillant la première perle de mouille,  les sensations de la nuit sont remontés à la surface ; c'était comme si les langues de mes partenaires de la nuit étaient là. Elles en léchaient chaque millimètre,  appuyant sur les veines gonflées,  elles écartaient les fragiles parois du méat comme pour le pénétrer.  
Le plaisir m'a envahit. Ma rosace frémissant au souvenir des charges reçus; langues amoureuses, braquemarts turgescents....je me suis déshabillé ; yeux mi-clos, cuisses écartées, j'ai caressé ma rondelle du bout d'un doigt tout en me branlant. Mon sphincter était encore sensible après les assauts répétés de la nuit. Je gémissais déjà et j'étais certain que je n'allais pas tarder à jouir. 
Soudain, en ouvrant les yeux, j'ai vu que j'étais observé! un mec, un inconnu me matait à travers le velux qui donnait juste sur mon lit. 
Un peu effrayé tout d'abord, j'ai vite compris que le mec était plus qu'intéressé par ce que je faisais... Alors n'écoutant que mes hormones et sans aucune prudence, je lui ai fait signe de rentrer.
C'était un mec plutôt massif, barbu; ses vêtements devaient cacher un corps plutôt musclé et sans doute à en juger par sa barbe fournie, velu de partout... Hmmm!
- euh, je suis vraiment désolé... a t-il dit en entrant dans ma chambre. je me promenais dans la forêt quand j'ai aperçu votre jolie maison et j'ai simplement voulu voir comment c'était à l'intérieur... Désolé vraiment, je suis confus....
Je voyais bien néanmoins que ses yeux allaient de mon visage vers ma queue que je continuais à caresser. 
Petit moment de silence et de gêne puis il s'est lancé..
- en fait je suis hétéro mais je dois avouer et à ma plus grande surprise, je suis plutôt excité .....
Un coup d'oeil à sa braguette suffisait pour le prouver.
A mon tour je me suis lancé; "on verra bien "me suis-je dit.
je me suis approché de lui et sans le quitter des yeux, j'ai défait sa ceinture, déboutonné son jean que j'ai baissé jusqu'à découvrir un slip blanc déformé par une trique prometteuse... toujours les yeux dans les yeux, j'ai caressé cette belle bosse qui se présentait à moi; c'était très dur et même à travers le tissu, je sentais des veines bien gonflées et palpitantes.. l'engin n'attendait que d'être libéré! j'ai cherché dans son regard comme un assentiment et je me suis lancé; j'ai baissé le CK et sa teub s'est élancée devant mon visage; épaisse et pas très longue; une goutte de mouille perlait déjà au dessus du méat. tout en le regardant à nouveau, j'ai recueilli du bout de la langue cette petite goutte. Il a fermé les yeux, courbé la tête en arrière et j'ai su à cet instant qu'il était vaincu.
j'ai pris sa verge en bouche tout en caressant ses boules et son entrejambe et j'ai commencé des va-et-vient de plus en plus profonds. 
- Putain mec! j'ai jamais été sucé comme ça; il a dit ça dans un grognement entre deux halètements. Il a alors ôté sa chemise découvrant un torse puissant avec des pecs très travaillés et velus. 
- j'ai continué un long moment à le gâter à coups de gorge profonde, le nez dans sa toison pubienne, à titiller sa rondelle bien cachée au fond d'une broussaille humide. Tout en poussant ma tête contre sa queue, il gémissait d'une voix rauque, ce qui m'excitait grave et me faisait redoubler d'ardeur.
- A toi maintenant, si t'as jamais goutté à une bite, c'est le moment! dis-je en lui tendant ma belle queue bien drue et courbe.
il s'est penché vers mon pubis et, sans même une seconde d'hésitation, la prise en bouche illico. Le bougre apprenait vite! fort des plaisirs que j'avais su lui prodiguer, Il a commencé à gober mon gros gland qui est entré dans sa gorge, la bouchant complètement, il a fermé les yeux, et respiré à fond par le nez, pour ensuite avaler ma queue toute entière , quand le gland a touché sa luette, il a senti les larmes venir, ça l'a fait tousser! mais sans sortir ma tige, il a dégluti, avalant la mouille abondante.  j'ai ensuite donné de petits coups de bassin enfonçant ainsi mon vit bien au fond de sa gorge; à lui maintenant d'avoir les narines titillées par ma toison !
Après cela, je me suis ensuite relevé et à genoux sur le lit, corps contre corps, nous nous sommes enlacés et nous nous sommes mangés les lèvres mutuellement, les yeux fermés et d'un seul coup les langues se sont touchées déclenchant comme un orage interne. Nos bouches avaient le goût de nos bites et c'était délicieux! Les mains du mec se sont plaquées sur mes fesses et il a frotté son sexe contre le sien avant de nous caresser mutuellement nos verges dressées. 
- N'hésite pas, lui ai-je murmuré à l'oreille, caresse ma raie, glisse un doigt dedans.... Alors il obéit,  son doigt se glisse et vient caresser mon trou du cul.
- hmmm! c'est top, vas-y enfonce-le ! et là encore il s'est exécuté; son doigt a  écarté doucement mes sphincters et m'a pénétré facilement. visiblement ça l'a beaucoup excité car sa queue est venue battre violemment contre son ventre.
- viens, baise-moi! dis-je doucement. 

Aussitôt, je me mets à quatre pattes, dos cambré, cuisses écartées
-Mais avant, tu me bouffe le cul; tu verras, c'est le meilleur!

En disant cela, j'écarte mes fesses imberbes, et recommence mes gémissements quand je sens sa langue toucher mon anus et l'inonder!  c'était une première pour lui bien sûr! mais là encore, comme par instant, il a su très vite quoi et comment faire avec sa langue même si je le guidais un tant soit peu. 

 j'avais les jambes bien écartées, le cul bien cambré et sa langue magique a continué son travail! très vite, son enthousiasme à lécher ma rondelle, a enflammé mon cul palpitant et  ouvert, comme s'il réclamait d'être comblé!
Il n'a pas eu beaucoup d'effort pour me pénétrer, car quand il a frotté son gland humide contre mon oeillet, c'est lui  qui est allé à sa rencontre, comme s'il était affamé! Un coup de reins et sa queue est arrivée au fond, d'un coup, d'un seul ses poils pubien sont venus chatouiller mes fesses.
 il m'a pris par les hanches et a commencé à me baiser lentement; je faisais tout pour que cela reste un souvenir inoubliable pour lui. 
Les va-et-vient s'accentuent, visiblement il adorait ce cul bien serré, peut-être mieux qu'une chatte; il devait sentir sa queue frotter contre le conduit qui la pétrissait! , c'est lui qui gémit maintenant et de me voir mordre dans le couvre-lit, l'excite visiblement!
Son pubis claque de plus en plus souvent sur mes fesses offertes 
Comme pour calmer le jeu, on se redresse, enlacés l'un contre l'autre, sa queue profondément ancrée en moi, je m'empare de la mienne et me branle frénétiquement, je voudrais jouir en même temps que lui; lentement, il reprend ses coups de reins et je branle mon vit à l'unisson. Il accélère,  il sent la sauce monter, monter, monter plus vite et quand il hurle, la première giclée se répand avec force en moi.
Quand les giclées cessent,  sa queue toujours au fond de mon anus, il prend ma queue et me branle énergiquement en m'embrassant dans le cou! Trois allers-retours et je crie de plaisir envoyant sur le couvre-lit de belles giclées de foutre!
On s'est laissé tomber sur le lit, épuisés, sans rien dire. Il était toujours en moi et je sentais sa queue se rétracter doucement. les yeux fermés, je savourais cet instant.... éphémère, 
- et ben! on s'emmerde pas!
j'ai ouvert les yeux subitement ; mon oncle était bras croisés à la porte de la chambre! depuis combien de temps était il là? qu'avait-il vu? je le saurais bien assez tôt, je me suis subitement redressé, me séparant de mon mec. Penaud, devant mon oncle, je sentais le sperme s'écouler le long de ma cuisse...
- bon, je crois que vous avez besoin d'une douche.. je vous laisse, dit-il enfin en me faisant un clin d'oeil





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