Cet après-midi là, ma voiture a refusé de démarrer et j'ai dû me résoudre à appeler un dépanneur.A peine une heure après mon appel, j'ai vu arriver une magnifique dépanneuse genre années 50. Quand le dépanneur est sorti de son engin pour venir vers moi, j'ai failli avoir une attaque. Un jeune gars blond, buriné par le soleil, habillé d'une combinaison kaki assortie à son engin. La fermeture éclair était en partie baissée laissant apparaître un torse couleur miel, légèrement velu aux poils presque transparents tellement ils avaient pris le soleil..
Son regard était à la fois perçant et doux et j'ai tout de suite eu l'impression qu'il me déshabillait des yeux mais... j'en faisais de même, alors ?!
Il a réparé très rapidement la voiture ; de fait il suffisait de changer de batterie.
Je lui ai proposé de venir se rafraîchir quelques instants à la maison; il m'a répondu avec une certaine malice,
- une bonne bière, si vous avez, avec plaisir, j'ai un peu de temps, c'était ma dernière mission.
Nous nous sommes installés dans le salon, papoté quelques minutes en sirotant nos verres. Moi, je lorgnais sa combinaison entrouverte et rêvais de lécher ces pectoraux blonds et cramés par le soleil. Et puis je me suis lancé...
- elle est super votre combinaison, un peu vintage, non ? On dirait une combinaison d'avion de la seconde guerre mondiale...
Et avec un clin d'œil, et on ne risque pas de se coincer les poils avec cette fermeture éclair ?
- ça peut arriver, vous voulez essayer ?
Après quelques secondes de surprise et d'hésitation, je me suis approché, et j'ai commencé à descendre doucement la fermeture éclair en prenant soin bien sûr de ne pas coincer un poil.
Doucement, son torse d'une délicieuse couleur miel se révélait à moi. Son ventre très blanc presque rose, un nombril duquel une mince traîne de poils descendait vers son pubis. Il n'avait pas de sous-vêtement non plus.. quand la fermeture éclair a buté contre son sexe, je l'ai regardé avant d'aller plus loin,
- oui, tu peux,
Alors j'ai libéré une belle et épaisse verge qui a commencé immédiatement à s'épanouir sur son ventre. Ses couilles étaient lourdes et pendantes.
J'ai posé mes lèvres sur sa hampe que j'ai léchée de haut en bas sans oublier ses boules puis j'ai pris sa queue en bouche, jusqu'à chatouiller mes narines sur sa couronne blonde. Tout en lui massant ses lourdes couilles.. et petit à petit, ma main descend le long de son périnée et atterrit dans sa raie broussailleuse et humide et je me mets à jouer d'un doigt avec son anus avant de le porter à ma bouche pour le goûter. Il gémit de plaisir et me regarde pomper son vit, recueillir sa mouille, jouer avec son gland, lécher les boules.
Enfin il m'attire vers lui m'embrasse puis déboutonne ma chemise, caresse mon torse avant de me jeter sur le canapé pour me défaire le pantalon et libérer ma teub Il se penche sur moi et lèche mon gland alors que sa main continue à courir sur ma tige.
Il a décalotté ma verge, et ses lèvres se sont posées sur mon frein et l'on pressé de plus en plus fort tout en faisant tournoyer sa langue autour de mon gland. Visiblement il aimait bien les bites non circoncises! Une de ses mains me serrait les couilles .
Je me suis mis à gémir fort et je voulais qu’il m’avale le plus possible. Quand il a repris sa respiration je l'ai fais replonger sur mon sexe. Il m'a sucé goulument un moment et de lui-même m'a refait visiter sa gorge. Je ne puis expliquer ce qu’il me faisait mais c’était grandiose. Il me soulève les cuisses et A genoux devant mes fesses qu’il écarte pour y plonger sa tête. Sa langue entre immédiatement dans mon anus et elle se met à tournoyer en moi, m’arrachant de profonds gémissements. Pendant ce temps, il me masse le cul et me broute le trou durant de bonnes minutes avant de me doigter délicatement tout en m'embrassant tendrement. Son doigt fouille mes entrailles, pousse mes sphincters avant d'en pousser un second caressant ma prostate et m'arrachant des couinements de plaisir.
Il se redresse enfin, se met à genoux sur le canapé et me présente son cul en se penchant en avant, les jambes bien ouvertes et j'ai une des meilleures vues que je peux avoir sur un beau mec. Ses fesses bien ouvertes sur une raie poilue... un peu la forêt vierge dans laquelle il faut se frayer un chemin pour atteindre le graal du bonheur. A grands coups de langue humide, j'ai ouvert le passage, bloquant les poils et l'anus marron tout plissé est apparu. J'ai durci la langue et commencé le forage. J'étais encouragé par ses grognements, ses râles et sa main qui appuyait sur ma tête pour que j'aille plus loin.
L'anus s'ouvrait docilement et j'ai pu glisser un doigt pour l'entendre crier un peu plus fort. Le sphincter serrait mon doigt qui caressait son intérieur doux et humide. Deux doigts et il criait encore. Je l'ai doigté comme un malade sans jamais qu'il cherche à se retirer, bien au contraire il s'enfonçait sur mes doigts autant qu'il pouvait. De l'autre main, je caressais sa longue tige humide de mouille et ses lourdes couilles, le faisant littéralement frémir de plaisir.
Je me suis collé contre lui, ma verge calée dans son sillon ; je lui ai caressé, baisé le dos avant de lui susurrer, "tu veux ".
Il a juste dit oui d'un coup de tête. Et cet assentiment a fait redoubler mon désir de lui, ma queue semble encore plus grosse que d'habitude tellement j'ai envie de lui. Je la frotte doucement sur ses fesses, puis je glisse sur sa raie. Il gémit et me tend les fesses. Je place mon gland sur sa rondelle. Pas besoin d'ajouter de lubrifiant, je mouille déjà. Je pousse un peu. Il gémit de plaisir, ça m'excite. Je rentre alors tout le gland. Presque sans effort, il est super ouvert, super accueillant, super bon. Je mets un peu de salive sur ma bite et je rentre complètement en lui. Il pousse un petit cri de plaisir. Il n'a même pas eu mal, ça passe tout seul, et puis... Il me serre la bite. C'est trop bon, je me retire un peu. Il se détend, alors je rentre à nouveau à fond et il me serre à nouveau. Putain c'est géant ! c'est tellement rare qu'un mec sache serrer son trou pour pomper avec son cul. Quand ça arrive, c'est vraiment le pied. Son cul est vivant ! il serre et desserre en cadence. C'est rare d'avoir un cul comme ça. Pas seulement un beau cul, un cul qui réagit, qui me fait trop jouir... Sans m'en rendre compte, j'ai failli tout lâcher en lui. Je me retire juste à temps.

- viens lui dis-je, allons dans la chambre nous serons mieux et c'est toi qui va me posséder....
Couché sur le dos il me tend son mandrin. Je le chevauche tandis qu'il me regarde m’empaler sur sa teub. Quand la moitié de son pieu est entrée en moi, j'ai arrêté sa progression, il a alors posé ses mains sur mes hanches et donné de légers coups de queue massant doucement mais fermement ma prostate ; c'était trop bon, je ne savais plus ce que je ressentais. douleur, plaisir, je gémissais et en redemandais. Ses mains puissantes m'ont agrippé les hanches et il s'est mis à accélérer le rythme. Sa teub progressait lentement en moi, son gland forant tel un marteau piqueur mes entrailles. J'ai alors pris la suite. J'ai fais ressortir sa queue avant de replonger dessus, jusqu'à écraser mes fesses contre son ventre. Dans mes mouvements de bassin, je me retirais parfois complètement, faisant entièrement sortir sa teub avant de me la planter à nouveau dans le cul. Je sentais alors l'air frais s'engouffrer dans mon anus béant. Reprenant l'initiative, ses mains fermement ancrées sur mes hanches, il a entamé un pilonnage intense et violent. Ses couilles frottaient contre mes cuisses ainsi que ses poils de pubis contre ma raie.
Après quelques minutes, il m'a fait mettre sur le dos, jambes écartées et levées. Il s'est agrippé à mes jambes et j'ai regardé son mandrin s’enfoncer sans difficulté lentement en moi. Les coups de reins ont repris ; rapides, intenses, sans retenue. Je couinais en regardant tour à tour, ce corps superbe s'activer, son regard concentré et empli de plaisir, et sa queue pénétrer en moi. Mon trou écartelé engloutissant cette imposante bite marron. Je gueulais fort. Je ne pouvais pas faire autrement, j'étais en permanence au bord de l'orgasme!
Je n'étais plus qu’un pantin entre ses mains qui me maintenaient pendant que sa queue me perforait l’intérieur. Ses grosses couilles frappant lourdement et bruyamment mes fesses. Épuisé, comme pour prendre un peu de répit, Il s'est penché alors au-dessus de moi pour me rouler une grosse pelle tout en laissant sa lourde queue toute entière en moi. J’avais mes mains sur ses fesses musclées. Ses couilles reposant contre les miennes. C'était bon. Ragaillardi, il a repris ses coups de butoir. Ses couilles claquant contre mes fesses, sa queue déchirant mes entrailles.
Je l'ai chevauché de nouveau.
Très vite, il s’est emparé de mes hanches et il m'a fait monter et descendre sur sa verge augmentant ainsi toujours plus la cadence, ses grosses boules me fouettant le cul car elles se balançaient de haut en bas au rythme de ses coups de queue. Parfois, dans un mouvement puissant, il me faisait m’empaler entièrement sur sa queue et je gueulais sans retenue. Sa queue qui me distendait l’anus au maximum coulissait rapidement dedans, allant et venant à une cadence démente. Mon trou désormais grand ouvert, il en profitait pour se faire plaisir. Après cet exercice épuisant, il m'a laissé reprendre les commandes. J'ai pris appui sur son torse pour monter et descendre sur son énorme mandrin. Ma queue dressée se balançant au rythme de mes mouvements, battait contre mon ventre, laissant à chaque fois une trainée de mouille.
Après quelques minutes, j'ai fait sortir sa teub de mes entrailles et je me suis à nouveau précipité dessus pour la sucer.
- baise-moi maintenant, et il se met sur le dos jambes levées, s'agrippant au dos du lit me permettant ainsi de me rapprocher et de coller contre son sillon mon braquemart faisant glisser le gland humide entre ses globes, au plus près de sa rondelle.
Il m'a alors sauvagement agrippé les couilles, comme pour se forcer à s'empaler de lui-même sur mon vit.
Il gémit de plaisir /douleur, le gland se pose sur sa rosette si bien préparée et s’introduisit en douceur, sans effort et sans douleur. Celui-ci passé, ses muscles se sont refermés sur ma verge pour enfin buter contre sa prostate, les veines gonflées frottant sur ses parois, centimètre par centimètre, ma queue pénètre son intimité jusqu'à ce que mon pubis se presse contre son cul. Il lâche enfin mes couilles pour me laisser me lancer pour un va-et-vient intense.
Un plaisir inouï s’empara de lui, vite accentué par les mouvements de ce membre chaud, gonflé et rigide dans son rectum. Il avait la sensation de ne plus faire qu’un corps avec son amant, grâce à cette verge pleine de sang et palpitante, glissant et roulant en lui, partageant ainsi sa vie, son souffle, sa jouissance. Le mouvement s’accélérant,
J'étais au bord de l’abîme, un abîme de plaisir. Mon mandrin était tout entier, comme prisonnier, dans ce cul serré maximisant les sensations. Gémissant de plaisir, il serrait et desserrait son conduit sur ma queue au fur et à mesure de mes va-et-vient comme si une main invisible me branlait dans son cul! Je n'en revenait pas de ce qu'il me faisait, je respirais de plus en plus vite, et ma queue était de plus en plus dure dans son cul.
-Putain mec, ton cul c'est un vrai piège à bite, dis-je haletant, j'ai mal à la queue tellement tu serres ! Tu vas me faire jouir grave là !
Nos corps trempés de sueur mêlées ne faisaient plus qu’un.
Je m'appliquais à lui donner du plaisir , en reprenant mes va-et-vient pour son plaisir et son plus grand bonheur. Il m'offrait tout son corps, son cul bien ouvert laissait glisser ma queue partout où elle voulait aller!
D'une main j'ai commencé à le branler lentement, j'ai aimé sentir sa queue dans ma main, vivre, mouiller durcir, gonfler encore et encore.
On en étaient à un point où il n’en aurait pas fallu longtemps avant d'être emportés par l'orgasme ... il râlait en levant la tête pour m'observer et ne pas rater mon orgasme et mon rictus de plaisir. Je le branlais à son rythme, serrant et desserrant comme il savait y faire, son conduit sur ma verge, il ne fallut pas longtemps pour que dans un terrible gémissement, presque une lamentation, je jouisse en hurlant comme un malade, la verge comme prisonnière de ses sphincters.
Mes gémissements, firent qu'il jouisse lui aussi. Il avait tellement résisté, il s'était tellement retenu pour jouir en même temps que son amant, que cette première giclée lui fit presque mal en sortant du méat .
Ma queue bien ancrée continuait de tressauter et à lui inonder le tréfonds. Il sentait les salves remonter dans son conduit et le réchauffer avant l'arrivée des suivantes ! six giclées et tout s'arrêta d'un coup, je me suis écroulé sur lui, en nage, épuisé.
Nous sommes restés un long moment comme ça, sans rien dire. Je ne savais toujours pas son nom ni lui non plus d'ailleurs
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