L’amitié, c’est entre l’indifférence courtoise et l’amour. La gradation des sentiments est très large. Du bon copain à l’ami intime. Du copain de virées à l’homme à qui l’on dit tout, toutes les situations existent. Toi, c’était entre les deux. En tous cas tout dans notre relation aurait du m’interdire d’aller plus loin ce soir là. D’abord, nous ne sommes pas intimes, mais est-ce là une condition suspensive ou encourageante ? Nous sommes collègue de bureau, pas dans le même service, mais dans la même entreprise ! Là, tout le monde s’accorde à dire que c’est LA condition suspensive ! Et puis, je t’ai connu par ta copine qui, de fait, travaille dans mon service et là, là, pour le coup, c’est très suspensif.
Pouvions-nous encore ce soir là, arrêter le mouvement, tout oublier?
On travaillait dur ces jours là pour répondre à un important appel d'offres. Et, ce soir là, date limite pour la remise du dossier, on avait dépassé largement l'heure du dernier RER. Je te proposai de rester dormir chez moi. Épuisés mais heureux du travail accompli, tu avais souhaité, pour me faire plaisir disais-tu "aller dans le marais, dans les bars de garçons… pour voir". j’aurais du être plus alerte à ce moment là, me douter de quelque chose
Rentrés à la maison, Je t'ai invité à prendre mon lit et je me contenterai du canapé. On s'est dévêtus " je dors à poil, m'a tu déclaré d'une voix rauque qui aurais dû m'alerter. Je gardai timidement, bêtement mon slip....
Tu étais nu devant moi, ton sexe posé là devant mon nez et déjà turgescent. Que pouvais-je faire, te demander de retourner te coucher ? Te foutre mon poing sur la gueule ? Te prier maladroitement, mollement de ne pas aller plus loin ? .
Alors, timidement, tremblotant, j’ai caressé ta verge du dos de la main, j’ai posé un léger bisou à la naissance des poils ; j’aurais pu tout arrêter là, avec une sorte de dignité qui plus est ; mais non, je me suis levé, t’ai pris par la main sans un mot, j'ai cédé. Tu ne riais plus, tu comprenais que ta plaisanterie, ta provocation n’en était plus une. Tu voulais et tu auras ce que tu étais venu chercher. Tu n’en menais donc pas large et moi non plus d’ailleurs. Nos cerveaux étaient assaillis d’alertes de toutes sortes : sur le lendemain, sur Carine, ta copine, sur le bureau, sur comment allions-nous gérer cela. Mais ces flux étaient immédiatement censurés et rejetés avec armes et fracas. Nous étions dans l’action et il nous fallait terminer, demain serait un autre jour. Couché sur le lit, nu, tremblotant de plus en plus, un sourire terrorisé sur les lèvres, tu me regardais ôter doucement devant toi, mon Marcel puis mon slip, te dévoilant mon sexe dressé par le désir de toi. Je t’ai rejoins sur le lit, nous nous sommes regardés longuement, nos mains respectivement posées sur le visage de l’autre.
On ne riait plus, on allait au devant du désir. Je me suis approché de tes yeux, tes yeux qui me brûlaient du regard et, comme pour éteindre l’incendie, j’ai posé sur chacun d’eux, un tendre baiser. Nous avons ensuite échangé notre premier baiser d’amour, profond, long. Tu embrassais bien, finalement tu t’y prenais assez bien, tout en douceur, sans timidité exagérée. Je pensais que ton inexpérience en la matière te laisserais aller à une certaine passivité, mais non, ta main déjà explorait mon corps et sans crainte aucune cherchait ma bite. Tu n’as pas été long à te pencher et à la prendre dans ta bouche. Je te caressais le dos, tandis que tu t’affairais sur mon engin. Mes mains cherchaient ton cul, ma bouche parcourait ton dos. J’étais abasourdi, toute crainte, tout doute s’étaient éloigné de moi. Ta queue ne mentait pas, ma queue ne mentais pas; par moment, je prenais ton visage et je scrutait longuement ton regard pour chercher toute trace d’imposture ; je n’y voyais que de la sincérité et le désir d’aller plus loin.
Tu n’avais reculé devant rien, tu t’étais laissé bouffer le cul et tu avais gémi. Tu as fait de même avec moi, avec beaucoup de délicatesse au début et de la fougue très vite ensuite. Ma queue très longue, très droite semblait te passionner : tu la regardais, l’embrassais, l’engloutissais tandis que ta main me malaxait les couilles. C’était de longs moments sans échange de mots hormis nos gémissements mêlés. Alors que nous étions tout deux accroupis face à face sur le lit, que nous nous embrassions, et alors que je te faisais découvrir un nouveau plaisir en te triturant les tétons, nous avons marqué un moment d’arrêt et nous nous sommes regardés; j’avais envie de te pénétrer, si intensément que l’idée a du te parvenir. Tu ne savais pas quoi en penser, tu avais peur ; le voulais-tu ? Tu as regardé ma queue là encore toute droite, là juste devant toi ; tu tremblais. Sans un mot, je me suis levé pour chercher le gel et la capote. Une dernière fois comme pour un long adieu, je t’ai pris le visage dans mes mains, t’ai regardé comme pour être sûr que tu le voulais vraiment. Je t’ai tendu la capote et t’ai demandé de me la mettre, tandis que je préparais ton cul. Doucement, tout doucement, tandis que tu me léchais et mordillais les épaules et le cou, mes doigts ont calmé et apprivoisé ta rondelle.
Le moment venu, je t’ai rapproché de moi et, avec infiniment de tendresse et de précaution, je t’ai pénétré sans jamais quitter tes yeux des miens, suspendu à ta douleur ou à ton plaisir. Puis, lentement, à ton rythme, je t’ai baisé, doucement tout d’abord, puis avec fougue ; c’est toi qui menait le bal, ton corps maintenant couvert de sueur se soulevait régulièrement ; nous avions toujours les yeux rivés l’un sur l’autre et quand tu levais la tête comme pour mieux profiter seul de ton plaisir, je ne tardais pas à ramener ton regard sur le mien, je voulais profiter de tous tes instants de plaisir, ne pas en perdre une miette. Tu bandais bien, je te branlais tandis que tu t’activais sur moi. J’étais très attentif à accompagner ton plaisir, je voulais qu’il soit partagé avec le mien, en aucun cas je n’aurais voulu que pour cette première fois nous eussions à jouir en décalé.
Tes va-et-vient sur ma verge se faisaient plus rapides plus pressants ; à chaque pénétration tu pesais plus fort sur moi et sur ma queue, comme pour me sentir en toi encore plus profond. Ta queue très dure dans ma main, s’agita soudain et dans un long spasme tu couvris mon torse de sperme ; je n’ai pu ni voulu résister à cette violente émotion et quelques instants après dans un long hurlement, j’ai joui en toi. Tu t’es endormi dans mes bras. demain c’est samedi, Corinne te cherchera sûrement. Ne pensons pas au lendemain
On ne riait plus, on allait au devant du désir. Je me suis approché de tes yeux, tes yeux qui me brûlaient du regard et, comme pour éteindre l’incendie, j’ai posé sur chacun d’eux, un tendre baiser. Nous avons ensuite échangé notre premier baiser d’amour, profond, long. Tu embrassais bien, finalement tu t’y prenais assez bien, tout en douceur, sans timidité exagérée. Je pensais que ton inexpérience en la matière te laisserais aller à une certaine passivité, mais non, ta main déjà explorait mon corps et sans crainte aucune cherchait ma bite. Tu n’as pas été long à te pencher et à la prendre dans ta bouche. Je te caressais le dos, tandis que tu t’affairais sur mon engin. Mes mains cherchaient ton cul, ma bouche parcourait ton dos. J’étais abasourdi, toute crainte, tout doute s’étaient éloigné de moi. Ta queue ne mentait pas, ma queue ne mentais pas; par moment, je prenais ton visage et je scrutait longuement ton regard pour chercher toute trace d’imposture ; je n’y voyais que de la sincérité et le désir d’aller plus loin.
Tu n’avais reculé devant rien, tu t’étais laissé bouffer le cul et tu avais gémi. Tu as fait de même avec moi, avec beaucoup de délicatesse au début et de la fougue très vite ensuite. Ma queue très longue, très droite semblait te passionner : tu la regardais, l’embrassais, l’engloutissais tandis que ta main me malaxait les couilles. C’était de longs moments sans échange de mots hormis nos gémissements mêlés. Alors que nous étions tout deux accroupis face à face sur le lit, que nous nous embrassions, et alors que je te faisais découvrir un nouveau plaisir en te triturant les tétons, nous avons marqué un moment d’arrêt et nous nous sommes regardés; j’avais envie de te pénétrer, si intensément que l’idée a du te parvenir. Tu ne savais pas quoi en penser, tu avais peur ; le voulais-tu ? Tu as regardé ma queue là encore toute droite, là juste devant toi ; tu tremblais. Sans un mot, je me suis levé pour chercher le gel et la capote. Une dernière fois comme pour un long adieu, je t’ai pris le visage dans mes mains, t’ai regardé comme pour être sûr que tu le voulais vraiment. Je t’ai tendu la capote et t’ai demandé de me la mettre, tandis que je préparais ton cul. Doucement, tout doucement, tandis que tu me léchais et mordillais les épaules et le cou, mes doigts ont calmé et apprivoisé ta rondelle.
Le moment venu, je t’ai rapproché de moi et, avec infiniment de tendresse et de précaution, je t’ai pénétré sans jamais quitter tes yeux des miens, suspendu à ta douleur ou à ton plaisir. Puis, lentement, à ton rythme, je t’ai baisé, doucement tout d’abord, puis avec fougue ; c’est toi qui menait le bal, ton corps maintenant couvert de sueur se soulevait régulièrement ; nous avions toujours les yeux rivés l’un sur l’autre et quand tu levais la tête comme pour mieux profiter seul de ton plaisir, je ne tardais pas à ramener ton regard sur le mien, je voulais profiter de tous tes instants de plaisir, ne pas en perdre une miette. Tu bandais bien, je te branlais tandis que tu t’activais sur moi. J’étais très attentif à accompagner ton plaisir, je voulais qu’il soit partagé avec le mien, en aucun cas je n’aurais voulu que pour cette première fois nous eussions à jouir en décalé.
Tes va-et-vient sur ma verge se faisaient plus rapides plus pressants ; à chaque pénétration tu pesais plus fort sur moi et sur ma queue, comme pour me sentir en toi encore plus profond. Ta queue très dure dans ma main, s’agita soudain et dans un long spasme tu couvris mon torse de sperme ; je n’ai pu ni voulu résister à cette violente émotion et quelques instants après dans un long hurlement, j’ai joui en toi. Tu t’es endormi dans mes bras. demain c’est samedi, Corinne te cherchera sûrement. Ne pensons pas au lendemain
Ce texte! Cette image - la première.
RépondreSupprimerJ'ai aimé. J'aurais aimé être lui.
Et lundi?