Une soirée "rien de prévu ", Une invitation sur un appli, quelques images subjectives, une adresse pas trop loin. Un hôtel, sans doute quelqu'un de passage, un étranger?
Un long couloir, moquette épaisse, un défilé de portes. Un mec sort subitement d'une des chambres, le regarde bizarrement, sourit et me claque en souriant les fesses et s'éloigne, laissant la porte de la chambre entrouverte, c'est celle de mon rendez-vous...
la pièce est plongée dans une pénombre seulement rompu par l'éclairage de la rue et les phares des voitures passant sur la chaussée. Il est nu, il m'attend couché sur son lit. Il semble petit, plus petit que moi. Des Dreadlocks. Pas rasé depuis deux-trois jours, mais imberbe. Sans un mot la première chose qu’il m’offre, à quatre pattes, les jambes écartées : son cul. Lisse, glabre, blanc presque translucide, comme je n’en avais pas souvent vu. Comme je n’en avais pas souvent goûté…
Une rosace bien rose, entrouverte déjà. Du foutre s'en écoule, je comprends que je succède au gars croisé dans le couloir.
Un grain de beauté sur l’intérieur de la fesse gauche. Je m'approche, pas un mot n'a encore été prononcé. Je me débarrasse de mon falze, de mon slip, fait de même avec mon tee-shirt. je lui caresse la raie, doucement, mais avec insistance. De l’autre main, je caresse sa queue, ses couilles. Je commence à lui lécher le haut du dos, la nuque. Je descends le long de sa colonne vertébrale, jusqu'au haut de ses petites fesses, bien rebondies que j’embrasse et mordille.
Il gémit. Il se cambre un peu plus, j’écarte bien ses fesses et je lui lèche la rondelle avec application. Ma langue la titille, puis s’enfonce, se retire, s’enfonce encore.
Je bave sur cette raie si généreusement offerte. Je la caresse avec un doigt, puis deux. Je m’introduis dans son cul. Je me retire. Reprends le mouvement de ma langue. Recommence à le caresser. Il gémit. Je me lève. C’est, cette fois, ma queue qui parcourt sa raie. Elle glisse de haut en bas. Elle remonte avec aisance. Plusieurs fois ainsi. Il gémit. Je reprends ma salivation. Je le retourne et le suce. Une petite goutte perle au bout de son gland. je l'ai essuyée par mon visage. Il m'allonge.
Il s’est assis sur ma bouche, de nouveau de dos, et m’arme d’un préservatif. La chose faite, il se retrouve face à moi et s’empale sur ma verge. La pénétration est lente, puis, tout d’un coup, radicale. Il gémit. Je le renverse sur le dos. Les jambes écartées, au niveau de mes épaules, j’agis. Je fais claquer ses fesses contre mon bassin. Il gémit. Il se caresse les couilles. La queue. Il se branle. Il gémit. Il se raidit. Il éjacule. J’étale son sperme sur son torse. Je vais et je viens. Encore… Je lui caresse les tétons et, doucement, me retire. Mes deux mains sont pleines de son sperme. Je me masturbe au-dessus de lui. De son torse. Mon sexe est lubrifié par son jus.
J’éjacule, mêle mon foutre au sien, l'empale de nouveau, je sue, ma sueur gicle sur son torse, son ventre luit de no foutres, de sueur. Exténué, toujours profondément ancré en lui, je colle mon torse au sien, attrape son visage, colle mes yeux aux siens, vais-je mieux le connaître, ne serait-ce qu'un instant ? Donner une âme à ce corps transpercé ?
Il gémit. Il se cambre un peu plus, j’écarte bien ses fesses et je lui lèche la rondelle avec application. Ma langue la titille, puis s’enfonce, se retire, s’enfonce encore.
Je bave sur cette raie si généreusement offerte. Je la caresse avec un doigt, puis deux. Je m’introduis dans son cul. Je me retire. Reprends le mouvement de ma langue. Recommence à le caresser. Il gémit. Je me lève. C’est, cette fois, ma queue qui parcourt sa raie. Elle glisse de haut en bas. Elle remonte avec aisance. Plusieurs fois ainsi. Il gémit. Je reprends ma salivation. Je le retourne et le suce. Une petite goutte perle au bout de son gland. je l'ai essuyée par mon visage. Il m'allonge.
Il s’est assis sur ma bouche, de nouveau de dos, et m’arme d’un préservatif. La chose faite, il se retrouve face à moi et s’empale sur ma verge. La pénétration est lente, puis, tout d’un coup, radicale. Il gémit. Je le renverse sur le dos. Les jambes écartées, au niveau de mes épaules, j’agis. Je fais claquer ses fesses contre mon bassin. Il gémit. Il se caresse les couilles. La queue. Il se branle. Il gémit. Il se raidit. Il éjacule. J’étale son sperme sur son torse. Je vais et je viens. Encore… Je lui caresse les tétons et, doucement, me retire. Mes deux mains sont pleines de son sperme. Je me masturbe au-dessus de lui. De son torse. Mon sexe est lubrifié par son jus.
J’éjacule, mêle mon foutre au sien, l'empale de nouveau, je sue, ma sueur gicle sur son torse, son ventre luit de no foutres, de sueur. Exténué, toujours profondément ancré en lui, je colle mon torse au sien, attrape son visage, colle mes yeux aux siens, vais-je mieux le connaître, ne serait-ce qu'un instant ? Donner une âme à ce corps transpercé ?
Je me retire, nos spermes mêlés collent déjà contre ma peau.
Sans le quitter des yeux, j'enfile mon slip, y glisse tant bien que mal, mon sexe humide et collant, encore gonflé., mon pantalon mon tee-shirt, mes baskets et sort de la chambre sans même refermer derrière moi. Je réalise que je l'ai baisé sans même même refermer la porte palière... je réalise enfin que pas un mot ne fut prononcé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire