14 janvier 2016

Drôle de rencontre. **



Nous nous sommes retrouvés dans ton petit appartement en désordre. Pas de passion, juste l’envie de passer encore un peu plus de temps, ensemble, avec nos corps.
Tu t’es approché de moi, je n’ai eu qu’à t’enlever ton marcel et déboutonner ton short pour libérer tes senteurs musquées, retrouver ton corps et ce slip porté si haut. Je me suis agenouillé contre toi, j’ai posé mon visage contre le tissu, ma bouche contre ta queue, ta queue derrière le tissu. Il n’a pas fallu longtemps pour que je la sente durcir contre ma joue. Alors, j’ai doucement soulevé le tissu et je t’ai libéré. Ta longue verge si vite aimée il y a peu, s’offrait enfin à moi, en majesté, en liberté.
Gestes simples.
Tu m’as emmené vers le canapé, là juste devant nous. Tu t’es calé confortablement, les jambes légèrement écartées. Tu m’as tendu ta bite bien droite
  –viens-
J’ai enlevé ma chemise, mon short, mon slip, lentement, les yeux rivés sur cette longue tige tant attendue, tendue, juste pour moi.
Je me suis approché, ma queue toute fière, toute droite.

Tu m’as tendu une capote, que j’ai posée sur ta queue ; tu m’as tendu, un pot de lubrifiant, j’ai préparé mon cul pour toi. J’ai préparé ta verge, pour moi.
Enfin, je t’ai chevauché, doucement je t’ai laissé pénétrer en moi, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que mes fesses reposent de tout le poids de mon corps sur toi.
Je suis resté un moment sans bouger comme pour laisser le temps à chaque atome de mes entrailles de fusionner avec toi; ma queue battant furieusement contre mon ventre.
Tu as posé tes mains sur mes fesses, m’incitant à aller et venir; m’incitant à prendre le bon rythme, ton rythme.

Accomplissement

Et puis j’ai voulu que tu prennes le dessus. Je me suis couché sur le sol et je t’ai attendu. Tu as alors soulevé mes jambes et tu m’as cloué littéralement au sol faisant peser tout ton corps en ce point unique ta bite en moi. Alors, longuement, tes coups de reins ont extrait de moi de longs et profonds gémissements. Tu étais en sueur, les yeux grands ouverts, les yeux rivés aux miens, jusqu’à l’accomplissement jusqu’à ce long gémissement, cette plainte comme un cri d’enfant.


Accomplissement (2)
Ton pieu, doucement a quitté mes entrailles; Tu m’as libéré ; ma queue était gonflée à bloc, au bord de l’implosion.
Je me suis rapproché de toi. Tu m’as tendu ton visage ; quelques instants, quelques mouvements seulement et j’ai envoyé tout mon plaisir, tout mon plaisir si longtemps contenu sur ton visage. Un long spasme. L'écroulement. Le repos.



1 commentaire:

  1. A chaque fois que tu te livre comme ça, imaginaire ou réel, peut importe, je retire toujours le même sentiment, la même impression...la même envie, celle de faire l'amour.

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