08 octobre 2021

le fils de, The river with no return



L'année d'après, Il est revenu.


Il est revenu. Encore plus aguicheur et maintenant, qui plus est, sûr de lui, d'une assurance orgueilleuse.

Nous l'avons installé dans la chambre qui lui est maintenant familière. Bien entendu, j'ai eu droit à un regard complice et ... Coquin. Bref rappel de nos expériences passées. Bref signal de connivence? 

Dès les premiers instants, je me suis efforcé d'être désagréable avec lui. Lui signifier qu'il n'était pas en terrain conquis, que son assurance post-ado m'irritait plus qu'autre chose et que je ne comprenais que difficilement comment un garçon de son âge, adulte maintenant continuait à suivre ses parents en congés. N'a t'il pas de copains de son âge, de projets? Que faisait-il de ses jours mis à part de vagues études de géo à la fac de Bordeaux...

Grande nouvelle, cette année il s'est lancé dans le triathlon. Il s'entraîne donc beaucoup: piscine, course, vélo,.... Il m'annonce donc qu'il va profiter de ces quelques jours chez nous pour nager tous les matins dans notre piscine, courir dans la campagne environnante et parcourir à vélo ces paysages " si parfaitement vallonnés".  j'en acceptai l'augure.

De fait dès le premier matin, je fus réveillé par le bruit de l'eau. Effectivement, levé à 7h, il avait commencé son entrainement. Un kilomètre dans notre bassin de 10m de long, c'est déjà un bel effort!

La maisonnée encore endormie, Je me levai, me préparai un café et me posai ostensiblement sur le fauteuil de la terrasse pour le regarder aller et venir dans l'eau. Bientôt, il sortit. Il portait... rien. Nu, il me jeta un coup d'œil espiègle tout en s'essuyant  un tantinet aguicheur, le corps. 
Il avait bien changé. Avait-il encore grandi? En tous cas il s'était asséché, délicatement musclé. Sans doute l'effet de l'entraînement. Comme son bronzage de cycliste! Hormis ses mollets, ses bras et son cou, il était d'une blancheur émouvante, translucide.  peut être  pour m'offrir l'espace d'un instant, la vue de son long sexe pale couronné d'une délicate couronne de poils rasée avec soin, je frémis. Tout cela me rappelait nos instants de plaisir de l'année passée. Plaisirs troubles, volés, secrets.

Tout cela m'excitait violemment de nouveau. 

Il enfila enfin sa combinaison de cyclisme et sans un mot mais sans aucun doute conscient de son effet sur moi, enfourcha son vélo et s'en alla. Un peu de tranquillité, du calme hormonal!...


Hier matin, il m'a proposé de l'accompagner dans sa virée cycliste. Après les préventions de rigueur -je ne suis pas entrainé, mon vélo est merdique, pas question de faire des bornes et des bornes,....- j'ai accepté la proposition sans trop savoir où cela allait nous mener mais ne pouvant résister à passer un peu de temps avec lui. 
Je suis monté en selle, non sans un léger fourmillement à l'entrejambe. Ce con m'attirait, c'était maintenant manifeste. 

Le soleil du matin était bien haut, après avoir parcouru quelques kilomètres à travers la campagne périgourdine, nous longions les berges de l'Auvézère, le long d'un petit chemin ombragé.

J'étais à vrai dire exténué. Je n'avais bien entendu pas l'habitude de rouler autant et j'avoue que l'idée de courir après ce "jeunot" n'était pas une motivation suffisante pour un tel effort. Je criai "grâce! - je suis en nage, la rivière nous tend les bras, baignons-nous!".


Nous avons laissé nos vélos contre un arbre. L'épaisse frondaison donnait une ombre délicieuse, à peine troublée par une légère brise. L'eau était tentante, nous n'avons pas hésité pas un instant - allez, on s'y jette!!- je l'aidai à s'enlever la combinaison, pour la première fois depuis l'année passée, mes mains frôlaient sa peau, mes lèvres se trouvaient si proche de sa nuque.

A peine dénudé il s'est précipité dans l'eau. Tant mieux, cela me laissait le temps de reprendre mes esprits et de laisser, le temps de me dévêtir, mon sexe se détendre un peu.

J'ai moi aussi sauté dans l'eau fraîche, magnifiée par les rayons de soleil traversant au grès du vent la frondaison. Un vrai bonheur!

Bien sûr nous nous sommes aspergés, coulés. Bien sûr, nous nous sommes retrouvés plus d'une fois l'un sur l'autre, riant et hurlant comme des gosses. Et puis, j'en ai eu marre, excité comme un pou, de sentir sa longue queue me caresser le cou, ses délicieuses couilles écrasées sur ma nuque. Je me suis approché de lui, j'ai caressé  son dos, sa nuque, ses fesses sous l'eau. Je l'ai pris dans mes bras, ma bouche sur sa nuque, mes mains caressant son torse, son ventre et enfin son sexe déjà dressé. Le silence. Le vent dans les branchages, le clapotis de l'eau. Les oiseaux. Nos soupirs. Temps suspendu. Le rite pouvait commencer.



Je l'ai pris par la main pour le ramener sur la berge et l'appuyer sur un arbre. Son corps fin et sec s'étirait de tout son long et épousait voluptueusement le tronc de l'arbre. De fines gouttelettes d'eau brillaient dans la légère toison de ses aisselles ou filaient doucement le long de son ventre glabre.

Je me suis approché et, m'agenouillant devant tant de merveilles, j'ai enfouis mon visage tout entier 




au creux de son entrejambe. Longtemps j'ai honoré son vit, ses couilles, son cul, lui arrachant de petits cris de plaisir. Jusqu'à ce que le moment de la "communion" soit venu; écartant mon visage, il a pris sa bite entre les mains, s'est branlé violemment jusqu'à inonder mon visage de sa semence dans de longs et profonds spasmes.


Enfin, il s'est approché de mon visage, a déposé les dernières gouttes de sa précieuse semence sur ma langue avant de me l'enfoncer toute entière jusqu'au fond de la gorge.

Bien sûr il fallait se rendre à l'évidence, une nouvelle fois, j'étais conquis. Il me fallait l'assumer. 

Je l' aidai à enfiler de nouveau sa combinaison. Prenant un malin plaisir à bien placer son sexe contre sa cuisse avant de fermer délicatement la fermeture éclair. Nous avons pris  la route du retour sans échanger un mot jusqu'à notre arrivée. Je gardais quant à moi, le goût salé de son sperme sur la langue.







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