06 octobre 2021

Fils de (encore)

Tu es revenu ; cette année encore, tu es venu avec tes parents passer quelques jours chez nous. Mon dieu comme tu as grandi ! 19 ans, 1m90 ; pour un peu, je me sentirais petit avec mes 186cm !
Tu es revenu donc car, m’expliques-tu, tu as largué ta copine Julie et sans projet de vacances, cela te faisait plaisir de venir nous voir.
J’étais donc rassuré, ton homosexualité déclarée de l’année passée n’était plus qu’un souvenir. Comme souvent les adolescents, il t’as suffit de rencontrer une fille à ton goût pour oublier.
Tant mieux ; car tu es vraiment beau. Beau à se damner !
Au grand désespoir de ta mère, qui aurait voulu te voir étudier, comme l'année passée, tu balades paresseusement ton grand corps longiligne et glabre; du lit au canapé du salon, au transat au bord de la piscine ; À ce rythme tu auras lu toutes nos collections de BD avant votre départ ! Tu ne prends même pas la peine de t’habiller.
Un simple pantalon blanc en toile posé à même le corps qui laisse entrevoir une émouvante raie des fesses derrière et un pubis sculptural devant. Petit salaud, je suis sûr que tu le fais exprès. Tu sais que je ne puis décoller mes yeux de toi quand tu passes près de moi. Ta mère a beau te demander de t’habiller, tu n’en fais rien.
Aujourd’hui, tu paresses au bord de la piscine dans un joli slip de bain. La chaleur est forte et nous alternons bain et farniente. Toute la maisonnée est partie en excursion et j’ai souhaité rester car j’avais un texte à préparer. Toi aussi. –tu allais lire un livre sur la tragédie grecque –Ce livre ne sera jamais ouvert dans notre maison….., Bien entendu, dès tes parents partis, tu as refermé le bouquin et plongé dans la piscine.
- tu viens ? Elle est si fraîche !
Prétendument absorbé par mon travail,  je ne réponds pas..
Après quelques minutes de bain, le corps dégoulinant, tu t'es calé en face de moi. En contre-jour  je distinguais à peine ton corps et ton regard mais l'air  était soudain devenu électrique; que voulais-tu?
- ôte-toi de mon soleil,  dis-je comme pour détendre la tension soudaine.  Sans un mot, tu es venu te mettre à califourchon sur moi, pris mon laptop pour le poser sur le sol.
- fait chier ! Tu dégoulines , c'est froid! Hurlai-je.
Toujours silencieux, tu as mis une main dans mon maillot de bain ;
- tu croyais m’échapper une fois encore !... Et déjà tu m’enlèves mon maillot ; je ne me débat pas ; à quoi bon, je bande déjà et ça on ne peut pas le cacher. Tu as posé tes lèvres sur les miennes, léché mon visage tout en me branlant d’une main. Alors, sûr de toi, sûr de m’avoir vaincu, tu t’es relevé et tu as ôté ton slip. Quelle merveille ! Tu es nu face à moi, majestueux, triomphant. Un sexe fin et long dressé contre ton ventre, couronnée d’une fine toison savamment rasée et surplombant d’émouvantes « couilles-noisettes ».
Conquis, vaincu, je t’ai pris par la main en t’indiquant le chemin de ma chambre. Mon Dieu, maintenant que tu me devançais, tu me donnais à admirer une délicieuse cambrure et ton petit cul bombé.
Au lit, je t’ai couvert de caresses ; parcouru ton corps ; chaque parcelle, de mes mains et ma langue, avides. Toi vainqueur, tu te laissais aimer. Bien sûr, je m’attarde sur ta longue queue que je me plais à engloutir complètement ; bien sûr je m’attarde sur tes fesses, sur ta rondelle, que je parcours de la langue, avidement, à m’étouffer, le visage à moitié glissé entre tes fesses. Tu es en fusion, tu t’abandonnes, tu te donnes. C’est alors que, tentant d’un doigt de pénétrer dans un lieu vierge encore de toute intrusion, je te sens soudain te raidir.
Je comprends  ; ton corps qui jusque là se prêtait passivement certes mais lascivement à mes caresses, s’alourdit. Le charme s’est rompu, c’est fini.
Ta queue mollissait, ton regard s’éteignait. Tu avais compris que tu ne pouvais/voulais dépasser les limites de ce qui finalement pour toi, n’était qu’un exercice de style, une bravade encore adolescente.
Alors, moi aussi par bravade, je me fais un point d’honneur à te faire jouir, à te démontrer que, oui tu pouvais recevoir du plaisir d’un garçon, que tu pouvais dépasser tes barrières.
Je me glisse entre tes cuisses écartées, prends ton sexe dans ma bouche et, avec une certaine fermeté, glisse un doigt dans ton cul. Tandis que ma bouche va et vient sur ta queue, l’engloutissant jusqu’à la glotte, mon doigt bien ancré en toi, te caresse les entrailles.
- Sache-le, aucune fille ne te fera jamais cela ! –
J'enfouis alors ma tête entre tes fesses que j'écarte; ma langue se fraye un passage  au fond de ta rondelle. c'est délicieusement humide, musqué; c'est étonnamment ouvert. Tu aimes, pour sûr il aimait , pour sûr tu aimes !
Ta longue verge emplit de nouveau ma gorge; tu gémis. 
Conquis tu me laisse explorer ton cul d'un doigt puis deux tandis que ma bouche et ma langue s'acharnent sur ta queue et tes merveilleuses couilles...
Enfin, de nouveau tu te laissais aller ; ton bassin accompagnait mes mouvements, tes mains posées sur ma tête m’encourageaient ; tu étais à moi, vaincu à ton tour. 
- Je vais te faire crier, tu vas jouir comme jamais encore-. 
J’accélère le mouvement, ta queue se gonflé encore,   intuitivement tes jambes s’écartent, tu lèves le bassin, tes fesses se détendent, tes mains s’accrochent à mes cheveux, un long flux de sève remonte alors le long de ta bite et m’inonde le palais. Un cri ; profond, du fond de toi. 
De nombreux spasmes m’abreuvent, j’avale sans crainte ta semence juvénile.
C’est fini. Je m’approches de ton visage, mes yeux rivés dans les tiens, je te cherche et te trouve. Sans doute, cela aura été ta première et dernière expérience avec un mec. Mais, toi et moi aurons ces moments inscrits à jamais dans nos mémoires. Tu ne seras plus jamais le même.


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