12 mars 2018

welcome home



La douche est brûlante apaisante. La journée a été particulièrement pénible et l’eau qui dégouline sur mon corps me ramène doucement à la vie. La chaleur envahit peu à peu mon corps. Je me savonne le corps m’attardant un peu plus sur mes couilles et ma queue que je sensibilisée par la douceur du moment. Je ne t’ai pas entendu venir, j’ai senti simplement ton sexe bien raide effleurer mon cul puis ton corps tout entier se coller au mien. Tes mains se sont jointes aux miennes et m’ont accompagnée dans ma toilette qui n’en est plus une ; ma queue maintenant est bien droite et attend avec impatience que ta main vienne s’occuper d’elle ; mais c’est mon dos qui occupe toute ton attention ; ta bouche, ta langue me baise les épaules et, lentement parcours mon dos. Ta main explore mes fesses et sûrement les écartes pour glisser tendrement un doigt bien profond au fond de mon cul. J’écarte les jambes, ferme les yeux et ne me retourne surtout pas. Ta langue a maintenant remplacé ton doigt, laissant à ta main le loisir de me branler vigoureusement j’imagine ton visage enfoui dans mes fesses, tes cheveux dégoulinant de l’eau brûlante de la douche. La salle de bain est maintenant une vraie étuve envahie par la vapeur. Tu t’affaire avec passion sur mon cul, cet endroit que tu connais si bien ; je ne te vois pas mais j’imagine chacun de tes gestes, je sens ta langue explorant les moindres recoins, ton doigt et quelques fois deux, puis ton souffle et la force de ton regard plus pénétrant et presque plus excitant que ton doigt, me donnant une envie irrésistible d’ouvrir mon cul, dilaté à mort, prêt à te recevoir tout entier ; alors entièrement subjugué par ces pensées, ma queue vigoureusement branlée par ta main, j’ai joui, hurlé, accroché au rideau, les yeux fermés
Tu m’as dit « bonsoir, welcome home » les soucis de la journée sont maintenant vraiment loin ;




06 mars 2018

dilatation

Il y des matins comme cela. Je dis des matins mais moi cela peut m'arriver n'importe quand dans la journée et bien souvent, trop souvent. voilà, j'ai envie, très envie. Tout mon corps semble se concentrer, là au creux de mes fesses, là, oui tout au fond, là ou tout commence. "cela" devient le cœur de toutes mes émotions, de toutes mes sensations. j'ai soudain l'impression que "cela" s'entrouvre. Je sens la fraicheur de l'air, la moiteur des lieux. C'était ainsi ce matin. Dès le réveil, cette étrange sensation, cet étrange besoin. Je me vois encore me lover contre mon mec, me cambrer outrageusement telle une chatte en chaleur tout en frottant contre les draps mon sexe raide et déjà à l'étroit dans mon caleçon. Bien entendu cela ne te laissa pas indifférent. Très vite ta main vigoureuse s'est emparé de mes fesses, me caressant fermement, accompagnant mes mouvements. Dieu! je n'avais alors qu'une seule envie, qu'une seule idée en tête : sentir le tissu de mon caleçon glisser sur ma peau, sentir l'air frais de la chambre se mêler à tes caresses, et s'engouffrer très vite dans cette vallée brûlante et ouverte. Déjà tes doigts experts se glissent sans difficultés entre mes fesses et cherchent ce qui sera bientôt "mon, notre centre du monde". Je halète, gémis. Mon corps entier se cambre vers toi. et soudain, je me rends sans concession aucune. tu explores sans contraintes ces chairs conquises sans lutte, tu prépares cette vallée à ta conquête finale. Je meurs de désir, assoiffé de plaisir. mon corps béant maintenant n'attends plus que ta majestueuse et conquérante estocade. je te veux tout entier en moi, au plus profond de moi. je veux sentir ta queue épaisse et turgescente se frayer un passage entre mes parois les plus intimes. je veux sentir tes veines gonflées de sang mes muqueuses incendiées et enfin, bientôt, ta semence venir en un jet vigoureux éteindre cet incendie matinal. have a nice day!