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Un doux après midi d'automne comme Barcelone sait les offrir. Un soleil radieux qui donne alors à cette belle ville cette ambiance unique à la fois bon enfant, paisible et industrieuse.
Après une longue ballade en ville je ne souhaitais rien de plus que me relaxer. La plage était là, accueillante. Peu de monde en ce milieu d'après midi surtout dans la partie Mar bella où le maillot de bain n'est pas obligatoire. Des mecs en grande partie, seuls ou en groupe. La plupart nus.
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Je lisais tranquillement le journal quand un gaillard s'interposa entre moi et le soleil. "Je parie que tu es français" (je lisais pourtant un canard espagnol). Je levai les yeux vers cet énergumène mais le soleil m'empêchait de bien voir à qui j'avais affaire.
"Et à quoi tu vois cela, hein, " rétorquai-je.
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"Oh, élémentaire mon cher Watson, juste à la marque de ton boxer!, t'es seul? Moi aussi, je peux me mettre à côté de toi?" Ce qu'il fit sans attendre de réponse!
C'était je dois le dire, maintenant que je pouvais le voir se déshabiller près de moi, un beau gars. Une petite trentaine, et je pouvais voir au fur et à mesure qu'il se découvrait qu'il était bien bâti et.... généreusement doté!
Je dois dire aussi qu'il était de plaisante compagnie. Curieux, à l'écoute et drôle.
"On va se baigner? " Barcelone a aussi cela de merveilleux: la mer est encore bonne en cette fin octobre.
J'ôtai mon boxer et couru avec lui vers les vagues. On riait, s'éclaboussait, on faisait mine de se noyer, un vrai bonheur d'adolescence. Quand la chair de poule vînt, nous allâmes en courant vers les douches, "hmmm, jolies fesses" m'entendis-je dire. Je rougissais, j'en étais sûr, je rougissais.
Sous la douche, sans que je lui demande, il me frotta le dos et.... les fesses. " humm, et bien fermes avec ça. Et pleines de sable aussi" dit-il en passant sans façon la tranche de sa main entre elles.
"A toi maintenant".
Je m'exécutai. Son dos était musclé et d'une délicieuse cambrure qui accentuait encore plus les formes généreuses de son arrière train.
Je sentais de légers picotements au bas ventre et abrégeai la séance avant que de bander vraiment.
J'allais comme à mon habitude enfiler de nouveau mon boxer avant de m'étendre quand il me proposa d'un air malicieux
- oh! c'est vraiment dommage! ok tu aimes bien les marques de bronzage, mais pour une fois, laisse-moi profiter de tes formes....
Mon cœur battait à rompre. Je devais être rouge comme une pivoine tandis que je m'installai sur ma serviette!
Nous restâmes un moment ainsi côte à côte sans rien dire vraiment, juste quelques banalités sur les passants, un peu de gossip, quoi!
puis tout en papotant, il posa sa main sur mon dos; la surprise passée, je ne fis aucun commentaire, ce qui l'encouragea sans doute à descendre sa main le long de mon dos, d'une manière plutôt "caressante" jusqu'à atteindre mes fesses qu'il caressa de manière de plus en plus ferme; il tourna son regard vers moi, comme pour chercher un assentiment à .. aller plus loin... sans doute.
De ses doigts, il écarta mes fesses pour se glisser au plus près de ma rondelle.
Je me laissais aller vaincu par la volupté du moment, sans trop réfléchir à ce qui pourrait suivre alors que les picotements de mon bas ventre se faisaient plus évidents et que déjà un doigt se frayait un passage; j'émis un léger râle et ne trouvai rien de mieux que de soulever instinctivement le bassin. Doucement il se redressa et posa ses lèvres sur mon troufignon, son souffle fut comme un sésame ouvrant en grand les vannes de mes désirs.
"Allez, retourne-toi maintenant, tu es crispé comme un string, tu as besoin d'un bon massage! dit-il d'un air malicieux, s'attendant bien entendu à me voir érigé comme un mât.
"Je préfère pas" dis-je un peu tremblant, "je crois que je bande", fis-je un peu gêné.
"Qu'importe, moi aussi et personne ne regarde"
Effectivement, je découvris en me retournant son sexe turgescent, épais à moitié dressé et il s'amusa en voyant ma longue verge dressée. Il y avait pas mal de monde sur la plage et des gens allaient et venaient autour de nous. Je posai alors une serviette sur mon bas-ventre et sur ses cuisses et je m'étendis pour mon massage. Nous étions maintenant tout deux très excités. Sa queue pointait sous la serviette et son "massage" se concentrait maintenant sous la serviette sur ma verge et mes couilles.
Je n'en pouvais plus. Si cela continuait encore, je me sentais capable de me lâcher complètement et de provoquer un incident sur la plage.
"Allons à mon hôtel, c'est tout près". Dis-je à bout de souffle.
Nous nous rhabillâmes précipitamment sans même prendre le temps de remettre nos sous-vêtements.
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Le trajet vers l'hôtel nous sembla une éternité. On riait comme des fous, on s'embrassait goulûment à chaque feu, étroitement enlacés une main agrippée aux fesses de l'autre. Je sentais à chaque pas, le mouvement de ses muscles et cela m'excitait encore plus.
L'hôtel enfin, un sourire idiot au concierge, un ascenseur qui tarde à descendre et enfin les portes qui se ferment sur nos corps qui déjà combattent et s'entrechoquent.
J'eus
un mal fou à ouvrir la porte de ma chambre; collé contre moi, me
mordillant la nuque, il me déboutonnait déjà la chemise et c'est
pratiquement torse nu que je poussai la porte!
Frénétiquement défroqués, envoyant nos fringues valdinguer dans tous les coins de la pièce. collés au mur, je subissais ses assauts de caresses et de baisers. Je baisai ses cheveux tandis qu'il collait son visage contre mon aisselle, humant, se délectant de mes effluves.
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Je
le retournai alors dos au mur, j'avais enfin l'initiative. Son corps
était enfin pour moi. Mes mains en exploraient chaque pouce. Je
mordillais ses tétons, Ma bouche
parcourait son torse, se délectait du dessin de ses muscles, de la
forme complexe de son nombril, de cette délicieuse ligne duveteuse qui
me menait à sa verge dressée.
A
genou à ses pieds, je la laissais battre fièrement contre mon visage.
Je l'avalai, je l'engloutis. Il m'encourageais de ses mains fermement
posées sur mon crâne. Mes mains agrippaient ses fesses et sentaient ses
muscles frémir à chaque coup de rein poussant sa verger massive et
quelque peu tordue jusqu'au fond de ma gorge. Puis, je voulus son cul.
Les mains contre le mur, bien cambré, les cuisses écartées,
il me
l'offrit. j'en caressais la géographie délicatement galbée, et déjà au
creux de ses délicieuses et glabre demi-lunes, j'entrevoyais déjà le
Saint des saints, la sublime porte. J'y glissai mon visage, ma langue
explorant cette plaie ouverte, se détectait de mille saveurs intimes.
Il gémissait. Il gémit encore tandis que ma langue caressait ses
muqueuses humides ou quand je soufflai un peu de fraîcheur après que ma
barbe de trois jours eut excité sa rosace.
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Ma
queue l'empala jusqu'à la garde. Mon Aine contre son cul, je restai
ainsi un long moment sans bouger. Juste ressentir sa chair frémir
contre les veines gonflées de sang de ma verge, juste ne faire qu'un. Et
puis tout s’accéléra; son bassin se mit en mouvement. Une danse
envoûtante autour de ma queue enserrée par ses sphincters exercés. Je
défaillais, le plaisir m'envahissait et je n'allais pas tenir bien
longtemps.
"C'est trop bon, mec. Je vais jouir très vite; c'est trop délirant! "
" viens allons vers le lit".
Nous
nous séparâmes. Il me prit par la main et me conduisit vers le lit. Ce
fut un délicieux petit intermède. Comme un rêve d'un instant de nous
voir tous deux nus et bandants dans cette chambre d'hôtel. De voir ses
fesses magnifiques se mouvoir devant moi.
Je cherchai dans mon sac des capotes et du lubrifiant et me couchai impatient de le retrouver.
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" Branle-toi, mec pendant que je te saute. Je veux que tu te jouisse sur le visage; allez Branle-toi"
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"Je vais jouir, mec; je vais décharger, mec; viens avec moi, jute-toi la gueule".
Ses
paroles m'excitaient terriblement et je sentais le plaisir monter
inexorablement tandis que je me branlais frénétiquement maintenant.
"J'arrive,
ça vient, ......" et dans un long et superbe spasme, JE reçu en pleine
poire ma semence. Agrippé à moi, cambré au maximum, il jouit en
criant de plaisir. Nous nous séparâmes comme à regret. Il se coucha sur
moi avec un sourire magnifique et nous partîmes alors tous deux dans un
grand fou rire. Puis avec une tendresse inouïe il me baisa le visage en
recueillant ma semence du bout de la langue. Nous la partageâmes dans
un long et ultime baiser avant de nous endormir malgré nous.
il
faisait déjà nuit quand je me réveillai. Je vis ce corps nu près de moi
encore endormi dans le lit. Tout le souvenir de ces merveilleux
moments passés me revenait en mémoire et chaque parcelle de mon corps
retrouvait les sensations des caresses reçues. J'étais heureux.
L'automne... les feuilles tombent et les queues montent, cette saison nous inspire : http://drawingwithmyfrienddick.blogspot.fr/2015/11/comic-grocalin-zigounette-le-rhume-de.html
RépondreSupprimerBravo pour le texte.