26 mars 2020

Barcelona (11) autre séjour à hotel axel



A Barcelone pour un de mes nombreux déplacements professionnels . Je m'y rends habituellement en automne; d'une part, il y à moins (un peu moins) de touristes, le temps est souvent très beau et je peux courir les bibliothèques comme je veux.


Un doux après midi d'automne comme Barcelone sait les offrir.  Un soleil radieux qui donne alors à cette belle ville cette ambiance unique à la fois bon enfant, paisible et industrieuse.
Après une longue ballade en ville je ne souhaitais rien de plus que me relaxer. La plage était là,  accueillante.  Peu de monde en ce milieu d'après midi surtout dans la partie Mar bella où le maillot de bain n'est pas obligatoire.  Des mecs en grande partie, seuls ou en groupe.  La plupart nus.

J'ai choisi mon coin de sable. Pas trop loin de l'eau et pas trop loin des douches.  Je me suis dévêtu tout en gardant mon boxer.  Mas par timidité ou pudeur,  non; simplement parce que j'aime bien garder la marque du maillot!  Bon, j'avoue,  c'est aussi parce que je n'aime pas quand je suis seul sur une plage rester à poil.  J'ai toujours l'impression d'être venu pour chasser et au moins aujourd'hui ce n'était pas le cas.  Par contre je me baigne sans,  ce qui est quand même super agréable.
Je lisais tranquillement le journal quand un gaillard s'interposa entre moi et le soleil.  "Je parie que tu es français" (je lisais pourtant un canard espagnol). Je levai les yeux vers cet énergumène mais le soleil m'empêchait de bien voir à qui j'avais affaire. 


"Et à quoi tu vois cela,  hein, " rétorquai-je. 



"Oh, élémentaire  mon cher Watson, juste à la marque de ton boxer!, t'es seul?  Moi aussi,  je peux me mettre à côté de toi?" Ce qu'il fit sans attendre de réponse!
C'était je dois le dire,  maintenant que je pouvais le voir se déshabiller près de moi, un beau gars.  Une petite trentaine,  et je pouvais voir au fur et à mesure qu'il se découvrait qu'il était bien bâti et.... généreusement doté!
Je dois dire aussi qu'il était de plaisante compagnie.  Curieux,  à l'écoute et drôle. 
"On va se baigner? " Barcelone a aussi cela de merveilleux: la mer est encore bonne en cette fin octobre.



J'ôtai mon boxer et couru avec lui vers les vagues.  On riait,  s'éclaboussait, on faisait mine de se noyer,  un vrai bonheur d'adolescence.  Quand la chair de poule vînt,  nous allâmes en courant vers les douches,  "hmmm, jolies fesses" m'entendis-je dire.  Je rougissais, j'en étais sûr,  je rougissais. 
Sous la douche,  sans que je lui demande,   il me frotta le dos et.... les fesses.  " humm,  et bien fermes avec ça.  Et pleines de sable aussi" dit-il en passant sans façon la tranche de sa main entre elles.
"A toi maintenant".  
Je m'exécutai. Son dos était musclé et d'une délicieuse cambrure qui accentuait encore plus les formes généreuses de son arrière train.
Je sentais de légers picotements au bas ventre et abrégeai la séance avant que de bander vraiment.  
 


En retournant vers nos serviettes, je surpris son regard furtif vers mon sexe. Et le léger sourire qui s'en suivit.
J'allais comme à mon habitude enfiler de nouveau mon boxer avant de m'étendre quand il me proposa d'un air malicieux 


- oh! c'est vraiment dommage! ok tu aimes bien les marques de bronzage, mais pour une fois, laisse-moi profiter de tes formes....
Mon cœur battait à rompre.  J
e devais être rouge comme une pivoine tandis que je m'installai sur ma serviette!
Nous restâmes un moment ainsi côte à côte sans rien dire vraiment, juste quelques banalités sur les passants, un peu de gossip, quoi!
puis tout en papotant, il posa sa main sur mon dos; la surprise passée, je ne fis aucun commentaire, ce qui l'encouragea sans doute à descendre sa main le long de mon dos, d'une manière plutôt "caressante" jusqu'à atteindre mes fesses qu'il caressa de manière de plus en plus ferme; il tourna son regard vers moi, comme pour chercher un assentiment à .. aller plus loin... sans doute.
De ses doigts, il écarta mes fesses pour se glisser au plus près de ma rondelle.
 Je me laissais aller vaincu par la volupté du moment,  sans trop réfléchir à ce qui pourrait suivre alors que les picotements de mon bas ventre se faisaient plus évidents et que déjà un doigt se frayait un passage; j'émis un léger râle et ne trouvai rien de mieux que de soulever instinctivement le bassin. Doucement il se redressa et posa ses lèvres sur mon troufignon,  son souffle fut comme un sésame ouvrant en grand les vannes de mes désirs.
"Allez,  retourne-toi maintenant, tu es crispé comme un string, tu as besoin d'un bon massage! dit-il d'un air malicieux, s'attendant bien entendu à me voir érigé comme un mât.



"Je préfère pas" dis-je un peu tremblant,  "je crois que je bande", fis-je un peu gêné.
"Qu'importe,  moi aussi et personne ne regarde"
Effectivement,  je découvris en me retournant son sexe turgescent, épais à moitié dressé et il s'amusa en voyant ma longue verge dressée.  Il y avait pas mal de monde sur la plage et des gens allaient et venaient autour de nous.  Je posai alors une serviette sur mon bas-ventre et sur ses cuisses et je m'étendis pour mon massage. Nous étions maintenant tout deux très excités. Sa queue pointait sous la serviette et son "massage" se concentrait maintenant sous la serviette sur ma verge et mes couilles. 
Je n'en pouvais plus.  Si cela continuait encore,  je me sentais capable de me lâcher complètement et de provoquer un incident sur la plage.
"Allons à mon hôtel, c'est tout près". Dis-je à bout de souffle.
Nous nous rhabillâmes précipitamment sans même prendre le temps de remettre nos sous-vêtements.

Le trajet vers l'hôtel nous sembla une éternité.  On riait comme des fous,  on s'embrassait goulûment à chaque feu, étroitement enlacés une main agrippée aux fesses de l'autre. Je sentais à chaque pas, le mouvement de ses muscles et cela m'excitait encore plus.
L'hôtel enfin,  un sourire idiot au concierge,  un ascenseur qui tarde à descendre et enfin les portes qui se ferment sur nos corps qui déjà combattent et s'entrechoquent.
J'eus un mal fou à ouvrir la porte de ma chambre; collé contre moi, me mordillant la nuque, il me déboutonnait déjà la chemise et c'est pratiquement torse nu que je poussai la porte!

Frénétiquement défroqués, envoyant nos fringues valdinguer dans tous les coins de la pièce. collés au mur, je subissais ses assauts de caresses et de baisers. Je baisai ses cheveux tandis qu'il collait son visage contre mon aisselle, humant, se délectant de mes effluves.
Je le retournai alors dos au mur, j'avais enfin l'initiative.  Son corps était enfin pour moi. Mes mains en exploraient chaque pouce. Je mordillais ses tétons, Ma bouche  parcourait son torse, se délectait du dessin de ses muscles,  de la forme complexe de son nombril,  de cette délicieuse ligne duveteuse qui me menait à sa verge dressée. 
A genou à ses pieds,  je la laissais battre fièrement contre mon visage. Je l'avalai, je l'engloutis. Il m'encourageais de ses mains fermement posées sur mon crâne. Mes mains agrippaient ses fesses et sentaient ses muscles frémir à chaque coup de rein poussant sa verger massive et quelque peu tordue jusqu'au fond de ma gorge.  Puis, je voulus son cul.  Les mains contre le mur, bien cambré, les cuisses écartées,
 il me l'offrit. j'en caressais la géographie délicatement galbée, et déjà au creux de ses délicieuses et glabre demi-lunes, j'entrevoyais déjà le Saint des saints, la sublime porte.  J'y glissai mon visage,  ma langue explorant cette plaie ouverte, se détectait de mille saveurs intimes.  Il gémissait.  Il gémit encore tandis que ma langue caressait ses muqueuses humides ou quand je soufflai un peu de fraîcheur après que ma barbe de trois jours eut excité sa rosace. 
Je le pénétrai d'un doigt puis de deux. Il se tortillait, se cambrait tandis que j'allais et venait en lui préparant ainsi l'inéluctable union. 
Ma queue l'empala jusqu'à la garde. Mon Aine contre son cul, je restai ainsi un long moment sans bouger.  Juste ressentir sa chair frémir contre les veines gonflées de sang de ma verge, juste ne faire qu'un. Et puis tout s’accéléra; son bassin se mit en mouvement.  Une danse envoûtante autour de ma queue enserrée par ses sphincters exercés.  Je défaillais, le plaisir m'envahissait et je n'allais pas tenir bien longtemps. 
"C'est trop bon, mec. Je vais jouir très vite;  c'est trop délirant! "
" viens allons vers le lit".
Nous nous séparâmes. Il me prit par la main et me conduisit vers le lit. Ce fut un délicieux petit intermède. Comme un rêve d'un instant de nous voir tous deux nus et bandants dans cette chambre d'hôtel.  De voir ses fesses magnifiques se mouvoir devant moi. 
Je cherchai dans mon sac des capotes et du lubrifiant et me couchai impatient de le retrouver.  
"Viens, tourne-toi,  tend-moi ton beau petit cul" dit-il en me rejoignant.  Je me mis sur les genoux,  les cuisses bien écartées.  
Il me bouffa longuement la rondelle et je faisais en sorte de caler mon cul contre son visage;  je voulais sa langue au plus profond de moi. Il enfila bientôt une capote et après avoir exploré mes chairs de ses longs doigts,  je sentis enfin sa verge se faire un chemin m'arrachant un long gémissement.  Ses couilles battaient contre moi à chacun de ses coups de reins,  puissants, profonds. Je criais de plaisir.  "Putain,  t'es du genre bruyant toi! "

Il se retira un instant pour me retourner les jambes contre le torse et m'empala de nouveau ainsi.  J'avais ma queue dressée vers mon visage.  
" Branle-toi, mec pendant que je te saute.  Je veux que tu te jouisse sur le visage; allez Branle-toi"
Il allait et venait pesant ainsi de tout son poids sur sa verge.  De temps en temps il marquait de petits arrêts,  juste pour se délecter de la vue de ma rosace dilatée qu'il transperçait de nouveau,  d'un coup de rein. Une fois même,  il me pénétra avec trois et quatre doigts; "c'est trop bon mec, ce cul, ton cul mec ça me rend dingue".

Et il redoubla d'efforts.  La cadence bientôt s'accéléra. Je vis sur son visage en sueur,  dans son regard la montée en puissance de l'orgasme.  
 "Je vais jouir,  mec; je vais décharger,  mec; viens avec moi, jute-toi la gueule".
Ses paroles m'excitaient terriblement et je sentais le plaisir monter inexorablement tandis que je me branlais frénétiquement maintenant.


"J'arrive,  ça vient, ......" et dans un long et superbe spasme, JE reçu en pleine poire ma semence.  Agrippé à moi,  cambré au maximum,  il jouit en criant de plaisir. Nous nous séparâmes comme à regret.  Il se coucha sur moi avec un sourire magnifique et nous partîmes alors tous deux dans un grand fou rire. Puis avec une tendresse inouïe il me baisa le visage en recueillant ma semence du bout de la langue.  Nous la partageâmes dans un long et ultime baiser avant de nous endormir malgré nous.
 il faisait déjà nuit quand je me réveillai. Je vis ce corps nu près de moi encore endormi dans le lit.  Tout le souvenir de ces merveilleux moments passés me revenait en mémoire et chaque parcelle de mon corps retrouvait les sensations des caresses reçues.  J'étais heureux.
 

1 commentaire:

  1. L'automne... les feuilles tombent et les queues montent, cette saison nous inspire : http://drawingwithmyfrienddick.blogspot.fr/2015/11/comic-grocalin-zigounette-le-rhume-de.html
    Bravo pour le texte.

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