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J’étais là pour quelques jours : faire quelques recherches dans différentes librairies spécialisées, les archives des journaux, bref, rassembler de la matière pour mon projet de bouquin. Mais la douceur ambiante, me poussa à remettre à demain mes travaux et à profiter de cette première journée presque estivale ; J’avais quitté la veille au soir Paris sous la pluie et je n'avais vraiment pas imaginé pouvoir aller à la plage et encore moins me baigner ! Et c’est exactement ce que je m’apprêtais à faire !
Dès que j’arrive à Barcelone, mon premier plaisir est de faire un tour dans la vieille ville, descendre les ramblas, prendre un café plaça reial et m’attabler enfin pour déjeuner à une terrasse de la Barceloneta.
Et en ce début d'après midi, après mon pèlerinage traditionnel, je longeais la longue promenade qui parcourt le front de mer.
Je m'étais résolu à passer un peu de temps à me prélasser au soleil de cette fin octobre et ce n'est pas l'oubli de maillot de bain qui allait m'en dissuader. A vrai dire cela me donnait un "mauvais prétexte" pour me "résoudre" à rejoindre le coin naturiste, la plage de Mar bella ; Curiosité atavique bien sûr.
Aux premiers culs nus, je quittai mes baskets et bifurquai vers la plage. Première constatation, il y avait principalement des garçons, pas tous nus par ailleurs. Seconde constatation, il n'y avait pas vraiment de séparation entre la plage textile et la plage sans. Et, contrairement à beaucoup d'autres lieux, pas besoin de faire des kilomètres, c'était en pleine ville. Dernière constatation, plus croustillante celle là, la commune avait créé de toutes pièces une. ..dune! Oh pas bien grande ni haute mais une vraie dune. ..
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Je m’affalai sur le ventre contre ma serviette et me livrai donc à mon passe temps favori ici ; je regardais passer près de moi des garçons de tous types qui, sortant de l'eau, allaient se doucher
Après un bon moment de doux farniente, je décidai de bouger et d'aller tâter l'eau.
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Nos corps s'entrechoquaient, se bousculaient, s’agrippaient .
On tentait de se noyer mutuellement dans de bruyants fous rires qui nous faisaient boire la tasse bien trop souvent. Enfin, épuisés nous sortîmes de l'eau et après une douche, nous nous écroulâmes sur le sable en riant encore.
-va chercher tes affaires et vient avec nous, me dit l’un deux ; ce que je fis bien sûr.
Ils étaient allemands et séjournaient à Barcelone dans le cadre des échanges Erasmus. Ils parlaient un peu espagnol et anglais. Ils étaient visiblement ensemble, les regards et la tendresse de certains gestes ne trompaient pas. Corps délicatement musclés bronzés, de cette couleur miel que seuls les blonds savent prendre. Avec mes cheveux noirs et ma peau très matte, je contrastais!
Leurs doigts se nouaient et se dénouaient, ils s'échangeaient des bisous, des câlins, des regards complices, enamourés. Moi, un peu gêné quand même, je faisais celui qui ne voit rien. Dieter, s'en rendit compte et avec tact et humour dit - je crois que notre ami a besoin d'une protection solaire! Je vais te mettre de la crème-
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Aussitôt dit aussitôt fait, il se plaça à califourchon sur mes fesses et entrepris avec force commentaires un tartinage généreux de mon dos. Même si je faisais mine de vouloir l'éjecter par de vaines cambrures,
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Que faire ?! « ne fait pas ta timide me dis-je, c’est naturel et c’est la vie ; advienne que pourra ! Je me retournai donc en faisant un bête « oups » qui les fit rire de concert. – Hmmm, bel engin firent-ils en cœur !
Et retartinage, Dieter de nouveau à califourchon , sur mon torse cette fois, sa verge était effectivement dans un état second et reposait sur mon ventre avec de légers tressautements, comme des tentatives de durcissement…La mienne était fort opportunément sous ses fesses…
Il me libéra enfin, non sans avoir posé un délicat bisou sur ma bite qui reposait rigide et grasse (il n’avait rien laissé sans crème – tu comprends sur ces plages naturistes on peut prendre un coup de soleil là aussi !-)
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Une douce lumière de fin du jour teintait d'orangé le ciel et l'horizon, nous nous étions endormis et je me retrouvai main dans la main avec Dieter. ..
Il n'était bien entendu plus question de nous séparer, après une douche pleine de fous rires à se frotter collectivement, nous nous rhabillâmes rapidement dans l'idée de boire une bonne bière bien fraîche à la terrasse du chiringito de la plage et de réfléchir à comment passer la soirée.
Difficile de décoller de la magie du moment. On parlait de tout et de rien. Du monde et de nous, les bières se succédaient et bientôt la lueur des bougies posées sur les tables mettaient une lueur étrange dans nos regards. Nous nous nous régalâmes de tapas dans la fraîcheur du soir, bercés par la sono et le bruit des vagues.
Mon hôtel n'était pas loin, je déclarai que les mojitos valaient le déplacement et que cela serait une bonne façon de terminer cette bonne journée. Le proposer c’est l’adopter et nous nous y rendîmes de bon cœur.
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Arrivés dans le hall, Hans, décréta qu’il avait envie de se rafraîchir en prenant une douche et nous proposa de monter dans ma chambre qui , par ailleurs disposait d’un minibar. Ensuite on irait chez eux, avant de rejoindre un lieu pour y passer la soirée.
Quelques minutes de silence à siroter nos bières dans la semi-pénombre de ma chambre. On entendait juste l'eau de la douche couler et Hans chantonner. Dieter posa sa main sur ma cuisse en me regardant fixement.
Mes quelques seconde d'hésitation lui suffirent, il s'approcha de moi, posa ses lèvres sur les miennes et entrepris de m’ôter mon t-shirt. Les choses alors allèrent très vite. En moins de temps qu'il en faut pour le dire, nous nous retrouvâmes nus et bandant l'un contre l'autre. Mes mains découvraient la peau douce de son torse, de ses fesses, de son entrecuisses. Un grand moment de bonheur et de volupté. Sa queue était salée et je l’engloutissais avec délectation au plus profond de ma gorge tandis qu'il explorait de sa langue entre mes fesses.
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Puis sans même avoir besoin de me toucher, je jouis intensément, une extase profonde et immense; mi cri, mi pleurs accompagné par Dieter qui vint en même temps. De longs et intenses jets de sperme abreuvèrent Hans qui, la source enfin tarie, s’approcha de moi et me gratifia d’ un fougueux baiser au délicieux goût de foutre et salive mêlés. Enfin et tandis qu’il se branlait furieusement, je lui baisais les yeux jusqu’au spasme final qui couvrit nos ventres mêlant nos foutres.
Je me dégageai lentement du sexe encore bien dur de Dieter ; ses doigts alors remplacèrent sa verge pour recueillir de mon cul encore bien ouvert sa semence que nous goutèrent tous avant de la mélanger aux autres sur nos ventres trempés de sueur
Nous restâmes comme cela enlacés tous les trois longtemps.
Retiens la nuit!
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