26 mars 2020

Barcelona (5) Mar bella plage


Barcelone,  ville magique. Méditerranéenne, accueillante, cosmopolite,  gaie, … et gay. Barcelone ville de bord de mer,  aux longues et belles plages.

Nous étions fin octobre mais il faisait étonnamment beau et doux ce jour là.  J'étais arrivé la veille au soir pour passer quelques jours dans cette ville qui m'a vu naître.  J'avais rempli ma valise de vêtements d'hiver mais je sentais bien que j'allais les laisser à l'hôtel et me balader en t-shirt et en short pour mon plus grand plaisir! 
J’étais là pour quelques jours : faire quelques recherches dans différentes librairies spécialisées, les archives des journaux,  bref, rassembler de la matière pour mon projet de bouquin. Mais la douceur ambiante, me poussa à remettre à demain mes travaux et à profiter de cette première journée presque estivale ;  J’avais quitté la veille au soir Paris sous la pluie et je n'avais vraiment pas imaginé pouvoir aller à la plage et encore moins me baigner ! Et c’est exactement ce que je m’apprêtais à faire !
Dès que j’arrive à Barcelone, mon premier plaisir est de faire un tour dans la vieille ville, descendre les ramblas, prendre un café plaça reial et m’attabler enfin pour déjeuner à une terrasse de la Barceloneta.
Et en ce début d'après midi,  après mon pèlerinage traditionnel, je longeais la longue promenade qui parcourt le front de mer.


Je m'étais résolu à passer un peu de temps à me prélasser au soleil de cette fin octobre et ce n'est pas l'oubli de maillot de bain qui allait m'en dissuader.  A vrai dire cela me donnait un "mauvais prétexte"  pour me "résoudre" à rejoindre le coin naturiste, la plage de Mar bella ;  Curiosité atavique bien sûr.

Aux premiers culs nus, je  quittai mes baskets et bifurquai vers la plage. Première constatation,  il y avait principalement des garçons,  pas tous nus par ailleurs. Seconde constatation,  il n'y avait pas vraiment de séparation entre la plage textile et la plage sans.  Et, contrairement à beaucoup d'autres lieux, pas besoin de faire des kilomètres,  c'était en pleine ville.  Dernière constatation,  plus croustillante celle là,  la commune avait créé de toutes pièces une. ..dune! Oh pas bien grande ni haute mais une vraie dune. ..
Après m'être dévêtu, je m'installai sur la serviette empruntée à l'hôtel  pas trop loin des douches; pour moi, la distraction privilégiée sur cette plage est de passer le temps à regarder les mecs venir se doucher. Ce qui est étonnant là encore c’est que ces douches sont fort près, à la fois d’un chiringuito (bar de plage) et de la promenade qui longe les plages de Barcelone.
Ici, les gens viennent juste après leur bain ou viennent se « dessaler » avant de se rhabiller et partir ; c’est ceux là que je préfère mater ! J’aime voir les gesticulations pour s’enlever le sable entre les couilles et surtout comment ils se cambrent pour ôter le sable entre les deux fesses ; la gymnastique pour se mette un slip, un pantalon et des chaussures sans se coller à nouveau du sable n’est pas mal non plus. . Comme souvent dans ces endroits, personne ne s'occupe de personne mais de fait tout le monde regarde tout le monde.

Hmm !debout à coté de ma serviette,  le soleil, une légère brise caressaient mon torse et agitaient délicieusement les poils de mon bas-ventre.  Un vrai régal.
Je m’affalai sur le ventre contre ma serviette et me livrai donc à mon passe temps favori ici ; je regardais passer près de moi des garçons de tous types qui, sortant de l'eau, allaient se doucher
 Après un bon moment de  doux farniente, je décidai de bouger et d'aller tâter l'eau.
Quel délice!  Pas la peine de faire des chichis,  l'eau était parfaite et on y entrait d'un coup, sans difficulté.  Près de moi deux jeunes mecs jouaient comme on peut le faire, avec bonheur; ils jouaient avec les vagues, se battaient avec force rires.  Je les regardais avec plaisir mais avec, aussi, une petite pointe de regret et de jalousie: j'avais décidé de venir seul,  ce qui était quand même mieux quand l'objectif premier est de passer un maximum de temps dans les librairies et bibliothèques,  mais là,  j'avais vraiment envie de partager ce moment de paix.  Peut être le sentirent-ils car après un bref échange de regards et quelques éclaboussures bien dirigées,  je me trouvai associé à leurs jeux. 
Nos corps s'entrechoquaient, se bousculaient, s’agrippaient .

  On tentait de se noyer mutuellement dans de bruyants fous rires qui nous faisaient boire la tasse bien trop souvent. Enfin, épuisés nous sortîmes de l'eau et  après une douche, nous  nous écroulâmes sur le sable en riant encore.
-va chercher tes affaires et vient avec nous, me dit l’un deux ; ce que je fis bien sûr.
Ils  étaient allemands et séjournaient à Barcelone dans le cadre des échanges Erasmus.  Ils parlaient un peu espagnol et anglais.  Ils étaient visiblement ensemble,  les regards et la tendresse de certains gestes ne trompaient pas. Corps  délicatement musclés bronzés, de cette couleur miel que seuls les blonds savent prendre.  Avec mes cheveux noirs et ma peau très matte, je contrastais!
 Leurs doigts se nouaient et se dénouaient, ils s'échangeaient des bisous, des câlins, des regards complices, enamourés. Moi, un peu gêné quand même, je faisais celui qui ne voit rien.  Dieter, s'en rendit compte et avec tact et humour  dit  - je crois que notre ami a besoin d'une protection solaire!  Je vais te mettre de la crème-


Aussitôt dit aussitôt fait,  il se plaça à califourchon sur mes fesses et entrepris avec force commentaires un tartinage généreux de mon dos. Même si je faisais mine de vouloir l'éjecter par de vaines cambrures,
 

cela me plaisait,  je sentais ses couilles et sa verge sur mon dos ce qui provoquais de forts picotements dans mon bas ventre ;  je sentais mon sexe durcir dans le sable chaud. Après ce qui s’apparentait plus à un doux massage,  Il se déplaça légèrement pour me masser le bas du dos et je sentis sa queue glisser le long de ma raie ; Dieu, j’aurais juré qu’il bandait légèrement ! il continua ainsi à m’enduire de crème solaire, ses mains sur mes fesses se voulaient « pénétrantes » pour la crème, bien sûr mais écartaient régulièrement mes fesses et je sentais sur ma rondelle, la brise marine ; je bandais dur…
Allez ! on se retourne, il faut en mettre sur le torse et les bras ! dit-il amusé
Que faire ?! « ne fait pas ta timide me dis-je, c’est naturel et c’est la vie ; advienne que pourra ! Je me retournai donc en faisant un bête « oups » qui les fit rire de concert. – Hmmm, bel engin firent-ils en cœur !
Et retartinage, Dieter de nouveau à califourchon , sur mon torse cette fois, sa verge était effectivement dans un état second et reposait sur mon ventre avec de légers tressautements, comme des tentatives de durcissement…La mienne était fort opportunément sous ses fesses…


Il me libéra enfin, non sans avoir posé un délicat bisou sur ma bite qui reposait rigide et grasse (il n’avait rien laissé sans crème – tu comprends sur ces plages naturistes on peut prendre un coup de soleil là aussi !-)
Nous passâmes le reste de l’après-midi à discuter, mater et nous baigner ; une après-midi de complicité tendre ; Des bisous furent échangés, des fesses caressées ; au départ pour s’enlever le sable, après pour le plaisir,…
  Une douce lumière  de fin du jour teintait d'orangé le ciel et l'horizon, nous nous étions endormis et je me retrouvai main dans la main avec Dieter. ..
Il n'était bien entendu plus question de nous séparer,  après une douche pleine de fous rires à se frotter collectivement, nous nous rhabillâmes rapidement dans l'idée de boire une bonne bière bien fraîche à la terrasse du chiringito de la plage et de réfléchir à comment passer la soirée.


Difficile de décoller de la magie du moment.  On parlait de tout et de rien.  Du monde et de nous,  les bières se succédaient et bientôt la lueur des bougies posées sur les tables mettaient une lueur étrange dans nos regards.  Nous nous nous régalâmes de tapas dans la fraîcheur du soir, bercés par la sono et le bruit des vagues.
Mon hôtel n'était pas loin, je déclarai que les mojitos valaient le déplacement et que cela serait une bonne façon de terminer cette bonne journée. Le proposer c’est l’adopter et nous nous y rendîmes de bon cœur.

 Arrivés dans le hall, Hans, décréta qu’il avait envie de se rafraîchir en prenant une douche et nous proposa de monter dans ma chambre qui , par ailleurs disposait d’un minibar. Ensuite on irait chez eux, avant de rejoindre un lieu pour y passer la soirée.
A peine arrivés dans ma chambre, Dieter s’affala immédiatement sur le grand lit, Hans se déshabillait déjà et aussitôt fait il file dans la salle de bains.  Je proposai alors une bière à Dieter et me vautrai sur l'autre versant du lit.
Quelques minutes de silence à siroter nos bières dans la semi-pénombre de ma chambre. On entendait juste l'eau de la douche couler et Hans chantonner.  Dieter posa sa main sur ma cuisse en me regardant fixement. 
Mes quelques seconde d'hésitation lui suffirent, il s'approcha de moi, posa ses lèvres sur les miennes et entrepris de m’ôter mon t-shirt. Les choses alors allèrent très vite. En moins de temps qu'il en faut pour le dire, nous nous retrouvâmes nus et bandant l'un contre l'autre. Mes mains découvraient la peau douce de son torse, de ses fesses, de son entrecuisses. Un grand moment de bonheur et de volupté. Sa queue était salée et je l’engloutissais avec délectation au plus profond de ma gorge tandis qu'il explorait de sa langue entre mes fesses. 
Visiblement il avait grande envie de me baiser; sa langue experte se forçait un passage et  m'arrachait déjà de longs soupirs tandis que sa merveilleuse bite caressant ma glotte, m'emportait les sens. Ses doigts se glissèrent en moi, sans difficulté; explorant, caressant, écartant bientôt les parois de ma rondelle; me faisant sentir encore plus nu que nu, vulnérable, à sa merci. Ni tenant plus; cédant à mon/notre désir irrépressible, je me mis à califourchon sur lui et m'empalai dans un cri de bonheur. C’est le moment que choisit Hans pour revenir de la salle de bains, nu, une serviette autour des hanches
La serviette tomba bien vite et, s’approchant de nous, ses yeux brillants rivés sur mes yeux, il me caressa tendrement le torse puis engloba mon sexe dans sa bouche en accompagnant nos mouvements à Dieter et moi.




Dieter avait une force insoupçonnée et me donnait, malgré la position plutôt inconfortable dans laquelle nous nous trouvions, des coups de reins d'une puissance incroyable. A chaque fois sa queue me transperçait, m'arrachant des cris, une jouissance inouïe me parcourait le corps et j'avais l'impression que j'allais jouir et éjaculer à chaque fois. J'en aurais pleuré de bonheur. Me voyant au borde l'extase, Dieter accéléra ses mouvements sans jamais faiblir en intensité. Hans laissait mon sexe aller et venir dans sa bouche tout en se branlant.

Puis sans même avoir besoin de me toucher, je jouis intensément, une extase profonde et immense; mi cri, mi pleurs accompagné par Dieter qui vint en même temps. De longs et intenses jets de sperme abreuvèrent Hans qui, la source enfin tarie, s’approcha de moi et me gratifia d’ un fougueux baiser au délicieux goût de foutre et salive mêlés. Enfin et tandis qu’il se branlait furieusement,  je lui baisais les yeux jusqu’au spasme final qui couvrit nos ventres mêlant nos foutres.
Je me dégageai lentement du sexe encore bien dur de Dieter ; ses doigts alors remplacèrent sa verge pour recueillir de mon cul encore bien ouvert sa semence que nous goutèrent tous avant de la mélanger aux autres sur nos ventres trempés de sueur
Nous restâmes comme cela enlacés tous les trois longtemps.
Retiens la nuit!











 




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