26 mars 2020

Barcelona (8) please do disturb (1)

je rentrai ce soir là d'une longue et exténuante journée à parcourir la ville pour faire mes photos. Des kilomètres et des kilomètres à sillonner certains quartiers de cette ville que j'aime et qui m'a vu naître. Même si je n'étais accordé un bon moment de détente pour profiter du beau soleil de cette fin octobre sur la plage naturiste MAR BELLA, j'étais encore épuisé et je n'avais nulle envie de ressortir pour courir les bars ou les boites même si la petite heure passée sur le sable de la MAR BELLA entouré de corps nus essentiellement de mecs m'avait je l'avoue mis les sens à l'envers.

J'enfilai mon maillot de bain et montai  sur la terrasse de l’hôtel pour un bon bain et pour siroter un verre en regardant le soleil se coucher sur les toits de la ville. Comme chaque soir, la terrasse était encombrée de mecs papotant bruyamment, buvant et matant soi-disant discrètement les autres mecs; chacun semblait attendre l'arrivée d'un bon coup, aucun ne semblait vraiment s’intéresser à la conversation à laquelle il participait. les mecs quoi! Moi quoi! car qu'avais-je fait d'autre que mater les torses, les slips de bains riquiqui et imaginer leur contenu?!!
je rentrai dans ma chambre avec un énorme désir de sexe. Pourquoi ne pas tenter l'inconnu, l'aventure du "please disturb" proposé par l’hôtel? Sans trop réfléchir à ce que je me préparais à faire, les hormones complètement en folie, je pris une longue douche et après seulement quelques instants d'hésitation, je plaçai le flyer sur la poignée de la porte que je laissai entrouverte et, entièrement nu, j'allai me mettre en position sur le lit : "en prière" les cuisses bien écartées, ma ceinture comme "liens symboliques", totalement offert.
Même si une partie de moi me trouvait ridicule de rester là (combien de temps, hein?! tu ferais mieux de te branler un bon coup, ça te calmera!) dans cette position, l'autre emporté par le flot hormonal hors normes fantasmait complètement imaginant les aventures les plus torrides et, oui, je bandais!
je n'eus fort heureusement pas à attendre longtemps. Sans doute les hôtes regagnaient leurs chambres pour se préparer pour le dîner après l’apéro sur la terrasse car j'entendais aller et venir dans le couloir.

Bien que tournant le dos à la porte d'entrée, j'eus soudain le sentiment que quelqu'un avait effectivement pénétré dans ma chambre; la porte était restée silencieuse et même si je ne décelais pas de bruits de pas sur la moquette épaisse, j'entendais comme une respiration retenue, comme un frémissement de l'air; je restai en place, résistant à la tentation de regarder en arrière; soudain, je me mis à trembler.
Une main effleurait mes fesses! je restai ainsi, sans un mot, juste une légère cambrure de mes fesses, comme une invite, un encouragement. La main maintenant caressait mes couilles et ma hampe bien droite.
Des bruits rompaient le silence de ma chambre: Une respiration plus haletante, des froissement de tissus, des boutons que l'on déboutonnent, une fermeture éclair qui descend.... J'avais froid soudainement, la chair de poule.




Puis, des mains qui caressaient le galbe de mes fesses, les écartaient et le souffle chaud d'une respiration tout contre ma corolle m'arrachant un premier soupir.
Une langue avide  remontait ma raie des bourses à l’anus , ma queue  se raidit alors presque douloureusement entre ses doigts lorsque IL revint darder ma petite étoile plissée;  un gémissement d’approbation confirma qu'il y prenait plaisir. Pendant de longues minutes,
IL suça mon petit trou, le pointait du bout de la langue, en faisait le tour pour mieux y revenir. Puis, un doigt s'aventura dans mon anus, m'arrachant un petit cri de surprise et de plaisir ce qui l'encouragea à en fourrer un deuxième car il sentit que je m'ouvrais avec force appétit à son exploration.
Le moment était venu, IL pouvait trouver sur le chevet, le gel et les capote. Mon entre-fesses bien humide de sa salive, mon mignon bien préparé, j'écartai un peu plus les cuisses afin de mieux l'accueillir.

Toujours sans un mot échangé, sans encore savoir comment ni qui il était, j'attendais avidement de  me faire enculer par un inconnu, par une queue de taille inconnue...
IL me caressa de nouveau les galbes de mes fesses, posa un baiser, le premier sur la gauche, un autre au creux de mes reins et approcha son gland de ma rondelle. C'était sans nul doute un beau format...., je respirai un bon coup, écartai un peu plus les cuisses et m'avançai vers lui. Son gland me perfora, me pénétrant pratiquement du premier coup. Merde , sans capote! je songeai à me retirer l'espace d'un instant en mode panique, un court instant, mais comme un couillon, je laissai le désir l'emporter sur la raison.

Attentif à mes réactions, conscient sans doute de la taille peu habituelle de son engin IL s’immobilisa une poignée de secondes avant de remettre un peu de pression. Pourtant habitué, j’avais la sensation d’être écartelé et distendu à chacune de ses poussées, mais ne comptais pas m’arrêter en si bon chemin. Après quelques minutes, je lui fis comprendre de ressortir pour qu’il crache sur mon anus, ce qui l’excita car  IL replanta son arme entre mes fesses, saisit mes hanches et entreprit son long va-et-vient.

Son gros calibre allait toujours plus avant. IL couvrait mon dos de sa poitrine. IL ne donnait aucun coup de reins, mais jouait de son bassin avec force. Ma main gauche vint étreindre sa hanche en signe d’accompagnement, d’adhésion.
IL coulissait en moi sans échauffement, sans heurts.

Lorsqu’IL posa son genou sur le lit, que ses mains se placèrent juste sous mes aisselles, je compris qu’IL allait me servir les derniers centimètres de sa verge interminable. Je me cambrai au maximum, je sentais ses couilles contre les miennes.
IL variait de rythme, reculait, revenait poser son lourd paquet contre mon scrotum, tout cela en m’arrachant des râles de plaisir. L'inconnu se révélait être un amant formidable, un Dieu de la bite disposant des clefs de ma jouissance. Sa sueur gouttait sur mon épaule et ruisselait de son pubis dans ma raie, provoquant les bruits caractéristiques d’une partie de jambes en l’air.
 Ma queue  maintenant poisseuse de sueur était prête à exploser tandis que mon amant inconnu m’enfilait de merveilleux coups de verge et mon rectum vibrait de toutes ses terminaisons nerveuses. Une énorme boule d’énergie s’accumulait sous ma vessie et je la sentis exploser de toutes parts. Je criais mon orgasme, les jambes tremblantes, le corps parcouru de frissons, l’anus palpitant autour de cette puissante verge qui m’offrait un véritable feu d’artifice.

Je jouis magistralement, lâchant presque prise avec le monde environnant. Seuls les cris de mon amant me parvenaient de ce monde extérieur. Il jouissait à son tour !  Ses bourses plaquèrent les miennes, son ventre se décolla du bas de mon dos et son gland se mit à gonfler étrangement pour m’inséminer de longs jets de sperme. Je ressentis son éjaculation comme jamais auparavant, un peu comme l’on ressent le vibreur d’un téléphone portable dans sa poche. Il déchargeait et cela me parut... long, bien plus long que nombre de mes amants précédents. Pourtant, sa jouissance s’ajoutant à la mienne et je la ressentis au plus profond de mon ventre.
Lorsqu’IL s’immobilisa, un silence que seuls nos souffles courts troublaient s’installa, puis il se rallongea sur moi, comme éteint. Nos cœurs encore emballés mirent longtemps avant de retrouver leurs cycles standards. Après quelques minutes pendant lesquelles aucun de nous n’osa parler, je sentis mon ventre se détendre, accompagné de drôle de gargouillis comme sa verge diminuait de volume. Ma poitrine glissait dans sa transpiration, IL collait à mon dos, ma verge goutait encore les restes de mon plaisir physique. Quant au plaisir cérébral, j’étais encore dans les limbes!
— Dis-moi que je ne rêve pas, s'il te plaît ? parvins-je enfin à prononcer en anglais, ne sachant pas quelle langue était la sienne.
— Tu ne rêves pas. dit-il en espagnol tout en se redressant à peine
— Que c’était bon ! Ta queue en moi... wouaahh !
Ma main vint chercher le flanc de sa fesse pour la caresser respectueusement et le tenir en moi alors qu’il se redressait.
— Reste encore en moi, j’aime te sentir débander lentement. Tu as aimé me prendre ?
— J’ai adoré, mais je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
— Tu plaisantes, j’espère. Tu es hyper endurant ! Quel baiseur tu es. dis-je en serrant les fesses sur son membre. Tu m’as fait jouir comme je n’ai plus joui depuis trèèès longtemps.
IL caressa mon dos en se disant flatté, m’assurant avoir énormément pris de plaisir et qu’il aimerait beaucoup remettre cela. Je n’en espérais pas plus. Puis, toujours avec délicatesse, IL commença à se retirer ;  je sentis alors une chaleur inhabituelle reculer en même temps. Lorsque, presque à regret tant j’appréciais de le sentir en moi, IL déboucha de mon anus distendu par le puissant orgasme que je venais de vivre, une incroyable coulée de sperme quitta mon rectum, ruisselant sur mes cuisses et mes bourses. IL m’avait inséminé une quantité de foutre impensable, jusqu’alors inédite malgré le grand nombre de partenaires rencontrés. Je réalisais instantanément l’origine de l’étrange sensation perçue alors qu’à demi conscient, je trouvais cela presque exagéré.
— Mais tu as déchargé un demi-litre ?
—  Je suis assez... expansif.
— Tu plaisantes ? Si tu jouis toujours autant, c’est génial ! dis-je en m’accroupissant devant son sexe pendant, mais pourtant encore long et large.

Son gland encore renflé retenait toujours son prépuce lorsque je l’enfournai entre mes lèvres. Je savourais ce sexe dépassant tous mes espoirs de drague, encore imprégné du goût de sa semence. Les genoux écartés, je sentais le frais pénétrer mon rectum quelque peu fiévreux de ses assauts, duquel gouttait encore du sperme tant il me l’avait ouvert et rempli. Je nettoyais ce sexe avec des mouvements amples et respectueux, un peu comme un cavalier flatte son cheval en sueur lorsqu’il vient de remporter une coupe. Bandée comme débandée, elle était tout aussi bonne et volumineuse. Ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur, il se laissait faire docilement, soufflant même un peu quand je gobais ses belles couilles poilues. Repos!

 Je le découvrais enfin; c'était finalement un bel homme, la trentaine, le corps bien charpenté et plutôt velu des hommes du sud. Un beau sourire. Ses mains étaient magnifiques, pourvues de longs doigts, d’un pouce très large, ses ongles bien coupés...  Des pectoraux bien dessinés recouverts d'une toison brune.  Son ventre plat plissait à peine et ses muscles dorsaux se bandaient au moindre mouvement de ses bras. Des cuisses fermes.
Son bronzage était intégral ; l’homme était donc un adepte du naturisme.
Nous restâmes ainsi un long moment à nous découvrir, nous sourire, nous caresser tendrement. sa grosse queue, presque noire tant elle avait doré au soleil, gisait maintenant sur sa cuisse, à demi molle, sublimée par les lumières de la ville  éclairant la chambre et nos corps en ce début de nuit.
Bien sûr j'eus à expliquer mon expérience pour le moins surprenante de ce soir. Il en rit finalement, d'un beau rire franc et tendre.
 Nous échangeâmes bientôt un premier baiser, suivi de tendres caresses; enfin je/nous découvrions nos corps!
Puis, le désir revînt, plus fort, plus intense.

je glissai mes doigts entre ses poils, caressant sa poitrine et son ventre en lui disant qu’il avait un corps de rêve, ferme, musclé, très bien entretenu. Sa main se posa sur mon dos comme je découvrais le volume de ses bourses en me penchant pour embrasser son sexe. Il sentait bon l’homme et la baise. De ma main gauche, j’attrapai la base de sa hampe épaisse pour l’orienter vers mes lèvres. Ma langue se glissa alors entre le gland et le prépuce pour décrire quelques cercles autour du méat. Son goût salé électrisa mes papilles et un flot de salive inonda ma bouche. Comme je tirai la peau fripée en arrière sur sa hampe, il décalotta naturellement et mes lèvres glissèrent sur son gros gland violet. Enfin, je suçais le sexe qui m'avait donné il y a peu autant de plaisir.
Déjà grosse, elle remplissait amplement ma bouche impatiente. Son nœud lisse avait une belle forme et ne souffrait d’aucun aspect disgracieux. Ses testicules fermes roulaient entre mes doigts cajoleurs pendant que sa hampe gonflait encore en déformant mes lèvres lorsque ma tête plongeait sur elle. Silencieux, IL semblait apprécier ma caresse et promenait sa main sur mon dos, n’hésitant pas à aller de plus en plus bas. IL bandait ferme, révélant “sa vraie grandeur”. Imposante au repos, IL en avait une belle entre les jambes une fois raide.  je comprenais enfin le plaisir reçu! Ma queue était de nouveau gonflée de sang et droite comme un I. 
Je salivais en prenant un réel plaisir à découvrir sa chair intime. ses doigts attrapèrent mon paquet en me disant que mon corps lui plaisait beaucoup. Sans plus attendre, IL se pencha et prit ma queue en bouche,  mon membre glissa entre ses lèvres. IL s’occupa de longues minutes à me sucer.
Sans chercher à bouger, je réclamai sa queue. IL se plaça devant moi, dur, gros, immense. Je remarquai son méat grand ouvert, du diamètre d’une grosse paille ; était-ce une des raisons du volume de ses éjaculations ? J’observais cette imposante quille qui me fixait de son gros œil unique d’où perlait un peu de liquide séminal. L’ourlet renflé ceinturant la base de son gland, les deux belles veines sinueuses qui se disputaient la longueur de la hampe jusqu'aux plis formant le prépuce, à cet instant fripé et ramassé par cette érection magistrale. J’allais sucer cette merveille anatomique, puis IL allait  de nouveau m’enculer. Cette seule idée affolait mon sphincter et me mettait l’eau à la bouche.


Sans plus attendre, j’enfournai son bout cramoisi avec gourmandise, le léchant, le mordillant pendant qu’il pétrissait mes fesses tendues. Mes doigts astiquaient son mât de cocagne fin prêt à faire la fête, à ouvrir le bal. La chaleur, l’ambiance, le calme... tout concordait.
— Encule-moi, s'il te plaît. implorais-je entre deux coups de langue.
— Tes ordres sont des désirs !
Je sentis couler entre mes fesses un filet de salive, puis il quitta ma bouche pour enjamber le matelas. L’instant suivant, son gros bout s’aplatissait sur ma fleur, je tendis les fesses vers lui, acceptant mon sort sans aucune résistance autre que physiologique.
IL fléchit les jambes, faisant de mon anneau une dépression, puis je forçai et l’ourlet céda. Aidé de sa salive, son dard foulait ma chair, m’arrachant un long cri, mélange de douleur, d’abandon et de satisfaction.
IL  jouait à entrer et sortir de ce boulevard qu'était devenu mon cul. Ses pouces m’écartelaient et je savais son regard planté sur ce si beau spectacle. Après un court temps d’accoutumance, son vît plongea de nouveau en une lente poussée linéaire jusqu’à ce que ses cuisses embrassent l’extérieur de mes fesses. Le souffle coupé malgré ma bouche grande ouverte, les doigts tétanisés dans le tissu de ma couche, je sentis ses lourdes couilles terminer leur course en dessous de mon anus. 
Je me cambrais et oscillais pour donner vie à notre coït. Son gland semblait encore plus gros que tantôt et il fallait m’y habituer, j’en fis un défi. Notre leitmotiv était d’en profiter un maximum. IL vint lentement me recouvrir de son buste et entreprit de me distiller de petits coups de bite en profondeur, ne reculant que de quelques centimètres. Dans cette position, je sentais ses couilles velues glisser et s’écraser sur moi  à chaque fois que son membre me perforait. IL semblait rebondir sur mes fesses en prenant à chaque trajet un angle différent. Je lui haletais le bien qu’il me faisait, lui interdisant seulement de jouir en moi. Son foutre, je voulais le boire.
Mon ventre se contractait pour comprimer ce membre arrogant qui glissait de plus en plus amplement, au point de sentir le bourrelet de son gland frotter. Nos sueurs se mêlaient le bas de mon dos collait bruyamment à son ventre. IL n’hésitait pas à jouer les sprinters quelques secondes pour revenir à un rythme plus langoureux. Je mordillais ses doigts, les suçais parfois, les yeux piquants de transpiration.

En nage, je relevai les genoux pour lui présenter ma croupe en levrette. IL me tringlait bon train, mes fesses devinrent des pare-chocs, propulsant son boulier contre le mien jusqu’à ce que je les lui agrippe. La nuit nous avait redonné des ressources, nous les exploitions. IL me sauta ainsi encore un long moment, manipulant mes jambes pour me changer de position et me pénétrer toujours plus intensément. J’adorais offrir mes fesses à ce bel étalon, mais il me fallait calmer le jeu. Nos corps étaient en feu, ma vessie se transformait en bain à remous.
Je m’éclipsai quelques minutes vider ma vessie et m’envoyer une bonne dose de gel afin de graisser la mécanique et je revins m'empaler.


IL me lamina si bien la prostate que je finis par être foudroyé par un puissant orgasme au milieu des vagues que produisaient nos ébats. Je criais mon plaisir, mordant son épaule en lâchant mon sperme contre son ventre musclé en serrant sa queue de mes multiples spasmes. IL me tint encore longtemps contre lui, me chuchotant qu’il adorait baiser avec moi. IL m’allongea lentement et je restais ainsi, encore habité par son sexe. Mon calme revenu, je me libérai de son emprise et le remerciai tout en regrettant qu'il n'ai pu jouir aussi.
Une douche s'imposait. Nous passâmes un long et délicieux moment sous le jet puissant de la douche. Rires, caresses,.. Nous nous savonnions mutuellement, flattant au passage une croupe ou une queue frémissante.
 Tu veux encore de ma queue ? demanda-t-il en prenant mes fesses à pleine main, à la façon d’un mâle sûr de son effet.
— Oh que oui ! fis-je en sentant ses doigts glisser dans la raie de mon cul.
Nous partageâmes un grand rire!
Avant tout, j'ai grand faim , commandons à manger et à boire!

Et tout cela ou presque en vidéo ..




1 commentaire:

  1. Écriture splendide et très maîtrisée dans le genre choisi, beaucoup plus troublante et grisante que les vidéos. Merci!

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