26 mars 2020

Barcelona (9) please do disturb (2)


Une bouteille de rosé bien fraîche, une salade et des grillades furent notre repas, dans la plus grande décontraction. Même si nous avions revêtu nos peignoirs pour l'arrivée du garçon d'étage, nous prenions plaisir à diner nus.
IL n'en revenait pas encore de la chance que nous avions de nous être trouvés ainsi et j’en convenais aisément. Nous parlâmes de nos vies, de nos amours, de Barcelone et de nos goûts aussi. La discussion entretenait notre excitation, le café réveilla notre envie de sieste et ma cigarette terminée, nous retournâmes au lit. Nous étions bien, l'un contre l'autre, caressant doucement nos corps encore si nouveaux à nos mains et nos regards.

Même entièrement au repos, ses organes me liquéfiaient et je ne pouvais laisser mes mains tranquilles, caressant sa verge et ses bourse. Nous nous assoupîmes ainsi; ,l'un contre l'autre, ses mais contre mes fesses, mes mains englobant ses couilles.
deux heures environ après, il faisait encore nuit noire et je ne sais qui se réveilla le premier; en tous cas, nous n'avions pratiquement pas changé de position, simplement son bras m'enlaçait et son viet offrait à ma main un superbe "morning wood"! ce qui me provoqua une érection instantanée.



En un rien de temps, nos verges plongèrent dans nos bouches respectives. Je devais reconnaître sa réelle motivation à me sucer, il s’y prenait vraiment très bien. De mon côté, je savais qu’il ne jouirait pas en quelques minutes, mais qu’il attendait de ma part plus d’entreprises. Alors que je gobais ses bourses, mon doigt inquisiteur parcourait son entre-fesses. Cette initiative ne lui déplut pas, bien au contraire, puisqu’IL replia sa jambe pour m’offrir plus d’ouverture. J’entrepris donc de remplacer mon doigt par ma langue.
 Ma verge glissait entre ses lèvres aussi facilement que ses deux doigts naviguaient dans mon anus lorsque d’une langue baveuse je remontai sa raie des bourses à l’anus. Sa queue se raidit davantage entre mes doigts lorsque je revins darder sa petite étoile plissée, m'offrant alors ses premiers gémissements.


Délaissant momentanément sa verge, j’écartai ses globes et décidai de me focaliser sur cette seule partir de son anatomie, la précieuse.  
Pendant de longues minutes, je suçai son petit trou, le pointai, en faisais le tour y revenait régulièrement du bout de ma langue. IL  lâcha un instant  ma queue pour me dire qu’il appréciait.


 Mes doigts le sondèrent et je le sentis s’ouvrir avec... appétit. Rapidement, ma langue parvint à le pénétrer. Gémissant encore,  il était fin prêt.
Je salivais en léchant son cul, soucieux de lui donner du plaisir. Sans que j’aie à prononcer le moindre désir, IL vint de lui-même se placer contre moi, son dos contre ma poitrine, en cuillère, guidant lui-même ma verge vers son anus.
Comme IL prenait  l’initiative. Je saisis sa verge dure comme de l’acier et le branlais lentement en sentant mon gland repousser sa chair. IL s’empala seul et soudain, mon nœud eut raison de lui. Je sentis un spasme parcourir son membre; je  lui dit de prendre tout son temps, que seul son plaisir m’importait. Après une bonne trentaine de secondes, IL me dit qu’il se sentait prêt. À petits coups de reins, je gagnais du terrain. Son sphincter serrait agréablement ma hampe et la chaleur de son ventre me donnait envie d’aller de plus en plus loin.


IL saisit mes couilles en me disant qu’il aimait bien me sentir en lui.
Je branlai langoureusement sa longue et grosse queue en le pénétrant en longs va-et-vient, comme j’aime être pris moi-même.

Je réussis à passer mon bras libre sous lui et lui pinçai le sein, le faisant rouler entre mon pouce et mon index.
— Tu te sens bien ? Je ne te fais pas mal ? m’inquiétais-je à son oreille.
— Oh non, mais elle est grosse, ta queue.
— Hummmm... moins que la tienne. C’est ça qui est bon. C’est de se sentir rempli, distendu... De sentir cette masse aller et venir dans son ventre.
— J’ai l’impression que tu vas ressortir par la bouche tant tu me sembles immense.
— Si tu ne peux plus, je m’arrête ! insistais-je.
— Non, je veux te sentir jouir en moi. J’en ai vraiment envie.
— Et toi, tu jouiras dans ma bouche ? J’ai très envie de goûter ton sperme aussi.
— Ouiiii ! Mais viens d’abord en moi, s'il te plaît.
Ses désirs devinrent des ordres. Je pris le temps qu’il fallait pour lui enfiler ma bite jusqu’aux couilles, ... IL serrait les fesses, les envoyait contre mon pubis, m’excitait avec des mots choisis en me cajolant les bourses. Ne cherchant pas à m’éterniser, je jouis longuement au plus profond de lui, l’entendant me répéter entre deux gémissements que c’était trop bon, que je l’avais royalement baisé et qu’il m’enculera tant que je le désirerais.
Le courant d’air glissait sur nos corps échauffés. Immobile et plongé en lui, je caressais son torse velu à souhait. Ne voulant pas être inconfortable pour lui, je laissai glisser ma verge hors de lui. IL caressa ma queue en me remerciant de ma douceur. IL me nettoya entre ses lèvres, ravissant les quelques gouttes restantes en disant  “hmmm, que bueno!”.
Sa queue me narguait toujours et même si je venais de jouir, le spectre de son éjaculation n’avait toujours pas quitté mon esprit. Je m’agenouillai entre ses jambes et lui demandai de tout me lâcher. Ses couilles dans une main, je le pris en bouche et me mis à le pomper comme un affamé. Ma main parcourait sa hampe dans un puissant mouvement hélicoïdal au rythme de ma bouche plongeant sur son vît.
— Tu veux tout mon jus ?
— Hummmm...
— Tu sais que j’en ai beaucoup !
— Hummmm...
— Oh oui, continue. Tu suces bien. Tu la trouves belle, ma queue ?
— Hummmm...
— Ooooh... je vais venir !
— Hummmm... hummmm...
— Ouiiii ! Attention, je viennnns !
Accompagné d’un puissant râle, son foutre jaillit comme le jet d’un pistolet à eau, remplissant copieusement ma bouche à chaque rasade. Je m’empressais de déglutir pour en avaler un maximum, mais IL en renvoyait autant à chaque spasme, si bien qu’il en coula un peu le long de sa longue queue et que je terminai en léchant sa hampe, les yeux brillants.
— Là, tu m’as comblé. dis-je en étreignant sa longue queue amollissante comme un trophée. D’où en sors-tu autant ?! et surtout une seconde fois!



Quelle nuit!  qu'elle s'éternise! le radio réveil sur le chevet indiquait 5h,.. nous avions encore un peu de temps devant nous.
Un petite claque su mes fesses, un bisou sur mon gland puis  IL se leva d'un bond pour boire un verre d'eau et uriner. Une nouvelle fois je regardai ce corps superbe, ce corps qui m'avait donné tant de plaisir; je le regardais tandis que la porte de la salle de bain entrouverte, IL pissait bruyamment, tout en buvant un verre d'eau, sa belle queue dans la main .

Quand il revint s'étendre auprès de moi, je posai mon visage contre sa poitrine, humant l'odeur acre de la sueur, du plaisir. Je caressai  son ventre si doux , sa verge pesante et de nouveau ses belles couilles, j'étais bien. LUI, aussi sans doute car sa main parcourait mon dos, mes fesses, mes cuisses. Je me contentais de remuer mon croupion en signe d’acquiescement tout en grognant de plaisir. 
Il s'assoupit! Repos du guerrier sans doute bien que bientôt je succombai moi aussi.



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