Une bouteille de rosé bien fraîche, une salade et des grillades furent notre repas, dans la plus grande décontraction. Même si nous avions revêtu nos peignoirs pour l'arrivée du garçon d'étage, nous prenions plaisir à diner nus.
IL n'en revenait pas encore de
la chance que nous avions de nous être trouvés ainsi et j’en convenais aisément. Nous parlâmes de nos vies, de nos amours, de Barcelone et de nos goûts aussi. La discussion entretenait notre
excitation, le café réveilla notre envie de sieste et ma cigarette
terminée, nous retournâmes au lit. Nous étions bien, l'un contre l'autre, caressant doucement nos corps encore si nouveaux à nos mains et nos regards.
Même entièrement au repos, ses organes me liquéfiaient et je ne pouvais
laisser mes mains tranquilles, caressant sa verge et ses
bourse. Nous nous assoupîmes ainsi; ,l'un contre l'autre, ses mais contre mes fesses, mes mains englobant ses couilles.
deux heures environ après, il faisait encore nuit noire et je ne sais qui se réveilla le premier; en tous cas, nous n'avions pratiquement pas changé de position, simplement son bras m'enlaçait et son viet offrait à ma main un superbe "morning wood"! ce qui me provoqua une érection instantanée.
En un rien de temps, nos verges plongèrent dans nos bouches
respectives. Je devais reconnaître sa réelle motivation à me sucer, il
s’y prenait vraiment très bien. De mon côté, je savais qu’il ne jouirait
pas en quelques minutes, mais qu’il attendait de ma part plus
d’entreprises. Alors que je gobais ses bourses, mon doigt inquisiteur
parcourait son entre-fesses. Cette initiative ne lui déplut pas, bien au
contraire, puisqu’IL replia sa jambe pour m’offrir plus d’ouverture.
J’entrepris donc de remplacer mon doigt par ma langue.
Ma verge glissait
entre ses lèvres aussi facilement que ses deux doigts naviguaient dans
mon anus lorsque d’une langue baveuse je remontai sa raie des bourses à
l’anus. Sa queue se raidit davantage entre mes doigts lorsque je
revins darder sa petite étoile plissée, m'offrant alors ses premiers gémissements.
Délaissant momentanément sa verge, j’écartai ses globes et décidai de me focaliser sur cette seule partir de son anatomie, la précieuse.
Pendant de longues minutes, je suçai son petit trou, le pointai, en faisais le tour y revenait régulièrement du bout de ma langue. IL lâcha un instant ma queue pour me dire qu’il appréciait.
Mes doigts le
sondèrent et je le sentis s’ouvrir avec... appétit. Rapidement, ma
langue parvint à le pénétrer. Gémissant encore, il était
fin prêt.
Je salivais en
léchant son cul, soucieux de lui donner du plaisir. Sans que j’aie à
prononcer le moindre désir, IL vint de lui-même se placer contre moi,
son dos contre ma poitrine, en cuillère, guidant lui-même ma verge vers
son anus.
IL saisit mes couilles en me disant qu’il aimait bien me sentir en lui.
Je branlai langoureusement sa longue et grosse
queue en le pénétrant en longs va-et-vient, comme j’aime être pris
moi-même.
Je réussis à passer mon bras libre sous lui et lui pinçai le sein, le faisant rouler entre mon pouce et mon index.
Je réussis à passer mon bras libre sous lui et lui pinçai le sein, le faisant rouler entre mon pouce et mon index.
— Tu te sens bien ? Je ne te fais pas mal ? m’inquiétais-je à son oreille.
— Hummmm... moins que la tienne. C’est ça qui est bon. C’est de se
sentir rempli, distendu... De sentir cette masse aller et venir dans son
ventre.
— J’ai l’impression que tu vas ressortir par la bouche tant tu me sembles immense.
— Si tu ne peux plus, je m’arrête ! insistais-je.
— Non, je veux te sentir jouir en moi. J’en ai vraiment envie.
— Et toi, tu jouiras dans ma bouche ? J’ai très envie de goûter ton sperme aussi.
— Ouiiii ! Mais viens d’abord en moi, s'il te plaît.
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Le courant d’air glissait sur nos corps échauffés. Immobile et plongé en
lui, je caressais son torse velu à souhait. Ne voulant pas être
inconfortable pour lui, je laissai glisser ma verge hors de lui. IL caressa ma queue en me remerciant de
ma douceur. IL me nettoya entre ses lèvres, ravissant les quelques
gouttes restantes en disant “hmmm, que bueno!”.
Sa queue me narguait toujours et même si je venais de jouir, le spectre
de son éjaculation n’avait toujours pas quitté mon esprit. Je
m’agenouillai entre ses jambes et lui demandai de tout me lâcher. Ses
couilles dans une main, je le pris en bouche et me mis à le pomper comme
un affamé. Ma main parcourait sa hampe dans un puissant mouvement
hélicoïdal au rythme de ma bouche plongeant sur son vît.
— Tu veux tout mon jus ?
— Hummmm...
— Tu sais que j’en ai beaucoup !
— Hummmm...
— Oh oui, continue. Tu suces bien. Tu la trouves belle, ma queue ?
— Hummmm...
— Ooooh... je vais venir !
— Hummmm... hummmm...
— Ouiiii ! Attention, je viennnns !
— Là, tu m’as comblé. dis-je en étreignant sa longue queue amollissante comme un trophée. D’où en sors-tu autant ?! et surtout une seconde fois!
Quelle nuit! qu'elle s'éternise! le radio réveil sur le chevet indiquait 5h,.. nous avions encore un peu de temps devant nous.
Quand il revint s'étendre auprès de moi, je posai mon visage contre sa poitrine, humant l'odeur acre de la sueur, du plaisir. Je caressai son ventre si doux , sa verge pesante et de nouveau ses belles couilles, j'étais bien. LUI, aussi sans doute car sa main
parcourait mon dos, mes fesses, mes cuisses. Je me
contentais de remuer mon croupion en signe d’acquiescement tout en
grognant de plaisir.
Il s'assoupit! Repos du guerrier sans doute bien que bientôt je succombai moi aussi.
Il s'assoupit! Repos du guerrier sans doute bien que bientôt je succombai moi aussi.
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