Au sauna, un doux massage

C'était une première pour moi. S'il m'arrive de temps en temps de fréquenter les saunas parisiens, je me contente de ceux qui sont relativement proches de mon domicile. Celui-ci se trouve à l'autre bout de Paris. Mais , j'avais l'après-midi pour moi et j'étais tenté par l'ambiance "orientale" annoncée de l'établissement.
Le hammam était plutôt vide à cette heure de l’après midi. J’eusse préféré continuer à profiter du soleil parisien et flâner dans les rues de Paris, mais le stress du retour au boulot lundi, me collait au ventre depuis notre retour de Venise. J’avais réellement envie de me relaxer, me balader à poil, me baigner, suer à grosses gouttes et.. Oui, éventuellement avoir une aventure.
J’étais comme souvent étendu sur la gradin supérieur, les yeux fermés. Comme souvent dans ces moments là quelqu’un vient, pose une main timide ou pas d’ailleurs sur une partie du corps et attend, ou n’attend pas ma réaction.

Il avait dû venir s’asseoir sur le gradin inférieur sans un bruit, très discrètement car je n’avais rien entendu. Ce n’est qu’à la première approche, très timide, que je me suis aperçu de sa présence. La timidité, la prudence de son approche me tranquillisait ; le temps qu’il se décide, je serai parti ! À frôler ainsi quelques millimètres de mon bras…


Et puis, il se ragaillardit et commença à me prendre la main, et à me la masser timidement tout d’abord, énergiquement ensuite.

Je me laissai faire ; j’avais vite compris, que le trip de ce mec était plutôt de me masser et c’était, finalement, ce dont j’avais le plus besoin. 

Ses  mains expertes massaient toutes les parties de mon corps, les unes après les autres ; cela n’avait rien de sexuel, même si ses mains avaient la délicieuse tendance à insister un peu plus quand il s'agissait de masser mes fesses,  non, c’était un vrai massage, méticuleux, doux et énergique par moment. J'en oubliais le temps, l'endroit, tout; j'étais transporté.
   
Puis, Il me retourna sur le dos et commença à s'occuper de ma "face avant".
 Bien entendu, il fallait s'y attendre dans un endroit qui est somme toute un lieu de drague et de "consommation sexuelle", tandis qu’il s’occupait de mes bras et de mon torse, quelqu’un s'est approché de nous et a voulu s’occuper de ma bite.. j’ai tout d’abord laissé faire, je trouvais que cela pouvait bien compléter le tableau ; j’ai bandé bien entendu, il a commencé à me sucer, bien entendu et puis, je l’ai stoppé d’un geste, je voulais continuer dans l’esprit du moment : relaxant, dans une intimité curieuse avec un inconnu tout dévoué.

Dans les vapeurs du hammam cela avait quelque chose de magique. Je n’avais aucune crainte que cela ne soit qu’une entrée en matière un peu curieuse car, même lorsqu’il s’est attaqué à mes cuisses, à mon ventre, à mon entrejambes, il n’eu de velléités d’attouchements plus précis. Cela me faisait tout drôle, ses mains qui passaient ainsi près de ma queue, la frôlant, frôlant aussi mes couilles ; les rendant à leur juste utilité organique, rien de plus ; rien de plus jusqu'à ce que ces frôlements répétés ne provoquent  une belle érection ce qui l'incita à entreprendre un doux et sensuel massage de ma verge et de mes couilles. cela me plaisait évidemment, j'avais une furieuse envie qu'il continue, évidemment mais, en même temps je le regrettais car une part de moi pensait, peut-être à tort que cela allait gâcher un moment de pure sensualité. Nous étions, sans parler surement en phase car il n’allât pas jusque au bout et, c'est ainsi que  quand il eut fini, à peine quelques mots  furent échangés juste pour s’assurer que j’avais aimé. Je l’ai remercié d’une caresse sur le dos de sa main et d’un sourire ; il s’est alors rassis quelques instants, le regard fixé sur le bas de mon dos, comme admirant son travail, comme si le calme retrouvé grâce à lui pouvait être perceptible sur mon corps ; puis, il est parti, me laissant ainsi reposé.