Je m’appelle Tristan, j’ai 35 ans et je suis
photographe professionnel à Brest. Je bosse pas mal au printemps et pendant
l’été pour les photos de mariage. Ce n’est pas toujours super excitant mais
bon, il faut bien vivre. Ce que j’aime en fait, ce sont les photos de nature
prises le long des côtes en me baladant. Essayez de capter les lumières
toujours changeantes de la Bretagne, pour en saisir une parcelle d’éternité. Un
samedi, c’était vers la fin du mois d’août, j’étais au magasin avec ma femme Emelyne.
Nous travaillons ensemble, mais c’est moi qui fais les
reportages. Enceinte de 6 mois, Emelyne continuait à venir me donner un coup de
main de temps en temps. Un client entra. Légèrement en retrait à m’occuper de
tirages que je devais rendre dans l’après midi, je lui jetai un rapide coup
d’œil. J’aime regarder les gens, trouver le détail qui accroche en me demandant
comment je pourrai les photographier, quel contexte pourrait les révéler.
D’allure plutôt sportive, bien bâti, brun, un visage fin, des beaux yeux bleus,
il aurait fallu être aveugle pour ne pas le remarquer. Il n’y avait rien de
prétentieux dans sa beauté. Ce n’était pas le genre d’homme à attendre que
chacun s’arrête sur son passage pour le contempler. Cette simplicité lui
donnait du charme.
Il arriva tranquillement vers ma femme en s’arrêtant parfois devant les photos accrochées au mur: photos de mariage évidemment, de bébés, mais aussi quelques souvenirs plus personnels de nos différents voyage. Une photo du désert jordanien retint un peu plus son attention, ainsi qu’un cliché du sud Marocain. Ce ne sont pas des photos très originales, mais j’aime leur luminosité, leur atmosphère. Le désert tout comme la mer m’inspirent toujours.
- Bonjour Madame, je m’appelle Yann C, je suis pompier
à la caserne du Pilier rouge, et avec des potes, nous aimerions faire une série
de photo pour notre association sportive. Ce serait possible ?
- Oui, bien sûr quel genre de photos souhaiteriez-vous
? Ce serait pour un album ?
- Non pas du tout, répondit il légèrement gêné, ce
serait plutôt pour un calendrier, dans le but de le vendre et de récolter un
peu d’argent. Tous les dimanches nous faisons du foot avec les jeunes du
quartier et comme ils ne peuvent jamais partir en vacances, nous aimerions
pouvoir les faire sortir un peu du secteur. En fait, ils rêvent d’aller voir un
match au stade de France.
Ma femme que le sport en général et le foot en particulier laissait froide se tourna vers moi.
Ma femme que le sport en général et le foot en particulier laissait froide se tourna vers moi.
- Tristan, tu peux venir s’il te plaît, Monsieur souhaiterait réaliser une séance de photos pour un calendrier. Ayant entendu la demande, je m’approchais.
Pas plus que ma femme, je n’aimais les sportifs que je classais peut être un peu vite dans la catégorie, « mecs pas très évolués ». A chacun ses préjugés !
- Bonjour Monsieur, si j’ai bien compris, vous
souhaiteriez donc réaliser un calendrier ?
- Oui, c’est bien ça, un calendrier un peu dans le
style « les dieux du stade » si vous voyez ce que je veux dire même si nous
avons moins de muscles ! J’avais envie de rire comprenant mieux pourquoi il
avait été un peu gêné tout à l’heure face à ma femme.
- Je n’ai jamais réalisé ce genre de travail, vous
savez. Vous avez des idées sur ce que vous voulez ?
- Oui, nous aimerions un cadre naturel pour les photos,
nous sommes en stage sportif en immersion au château de M. sinon, nous n’avons
pas d’idées précises pour les poses, nous vous faisons confiance. Nous sommes 6
collègues à vouloir faire ces photos.
Je ne savais trop quoi répondre à cette offre ni même
si elle était réellement sérieuse. Souhaitant y réfléchir, je proposais de lui
faire parvenir un devis la semaine suivante.
- Très bien me dit-il, je vous donne mon mail et
j’attends de vos nouvelles. Nous souhaiterions que le calendrier soit prêt pour
mi novembre. A bientôt.
Après son départ, très embarrassé, je me tournai vers ma femme pour savoir ce qu’elle en pensait.
Après son départ, très embarrassé, je me tournai vers ma femme pour savoir ce qu’elle en pensait.
- ça pourrait être amusant comme idée, ça te
changerait des reportages habituels me dit elle, en plus ces temps-ci tu n’as
pas grand-chose à faire.
Ah ah ! lui dis-je tu as envie de mater des sportifs en petite tenue ! Elle éclata de rire : « et
pourquoi pas cher ami ! Ce n’est pas parce que je suis enceinte que je n’ai
plus d’envie de femme! Tu as l’air tout gêné comme les premiers communiants de
tes photos ! Ce serait un nouveau style de photos sur les murs, et puis tant
que ce sont des hommes dévêtus que tu photographies, ça ne me dérange pas. Le
mardi suivant j’adressai donc un mail à notre client au grand cœur, qui me
répondit très vite que nous pourrions disposer du prc du château de M. , un lieu charmant entre mer et campagne, un peu
retiré propice à des clichés même dénudés. Il me prévint que les 5 autres gars
et lui-même seraient pouvaient se libérer jeudi et que nous pourrions faire une
première séance si le temps se maintenait. Rendez-vous fut donc pris pour à 9 h.
- monte avec nous, le parc est très grand et on va
aller en voiture près de la grande clairière.
Tous étaient torse-nu et uniquement vêtus d'une sorte de short de compression; cela n'avait d'ailleurs rien d'étonnant puisque il s'agissait de poser pour des photos déshabillés.
Tous étaient torse-nu et uniquement vêtus d'une sorte de short de compression; cela n'avait d'ailleurs rien d'étonnant puisque il s'agissait de poser pour des photos déshabillés.
- Les gars, je vous présente Tristan notre
photographe, il est là pour photographier vos petits oiseaux. Oh la-la ça commence bien, des blagues de
mecs à 3 balles, j’ai pas fini d’en baver avec cette équipe de simplets !
J’essayai tout de même de leur sourire. Il commença les présentations :
- Je te présente Raphaël, c’est lui qui a la plus
grosse lance de la caserne, il est pompier lui aussi ! Bertrand, Denis, Ramon et Jean.
Voilà toute l’équipe est là, on est super chauds.
Arrivés sur place, je descendis de la camionnette ainsi que Yann.
- Génial ! bon ben les gars on va y aller pendant que
la lumière est bonne. Est-ce que vous pourriez aider Tristan à porter le matos
s’il vous plaît, il faut marcher environ quelques mètres par ce chemin. Et nous voilà
partis, la « fine équipe » devant rigolant, se tapant sur l’épaule et
moi derrière me demandant encore comment j’avais pu dire oui à une telle
proposition. Ils avaient l’air d’être super potes car ils étaient très
« tactiles », ils n’arrêtaient pas de se tripoter, se bousculer, s’enlacer,
même; ça doit être ça l’amitié virile pensais-je.
- Voilà, c’est là les gars, on pose le matériel en
douceur s’il vous plaît. Nous étions dans une belle clairière face à la mer.
Quelques pommiers, des fleurs épanouies donnaient l’impression d’un jardin
d’éden.
- Pas mal, dis-je, c’est vraiment superbe comme
endroit, je ne connaissais pas, tu as très bon goût.
Je commençais à déballer, et installer les trépieds,
j’avais déjà fait mes repérages pour les cadrages. Pendant ce temps-là, deux
mecs, Denis et Ramon, je crois, continuaient à se pousser un peu, à chahuter
comme des gosses. L’ambiance était détendue. Mes premières installations
faites, j’étais prêt à démarrer la séance.
- Yann, tu peux leur demander de se déshabiller s’il te plaît ? On va faire quelques essais. 5mn plus tard, mes gars étaient nus et je dois dire que certains d’entre eux étaient plutôt bien foutus et ... bien montés !
Jusqu’à
présent, je n’avais jamais regardé les hommes ainsi, mais là toutes ces bites
devant moi j’étais troublé.
Très vite des mains se baladaient d’un sexe à l’autre et
cela très naturellement. Plutôt étonné quand même, je m’absorbai dans mon
travail faisant des essais de lumière, cherchant la meilleure prise de vue,
mais quand en me retournant, je vis
Raphaël et Jean qui se caressaient carrément. Jean tenait la grosse queue de
Raphaël à pleine main en l’astiquant doucement pendant que ce dernier laissait
courir les siennes sur les pectoraux généreux de son camarade. Les autres
regardaient, sourire complice aux lèvres, leurs sexes traduisant ce qu’ils
ressentaient.
- Ah ces deux-là ! ils perdent jamais une occasion de se tripoter, je leur ai interdit de prendre leur douche ensemble, sinon ils finiraient par se faire prendre par le Capitaine. Quelquefois faut le jet à incendie pour les séparer. T’es pas choqué au moins ? me demanda Yann.
- Ah ces deux-là ! ils perdent jamais une occasion de se tripoter, je leur ai interdit de prendre leur douche ensemble, sinon ils finiraient par se faire prendre par le Capitaine. Quelquefois faut le jet à incendie pour les séparer. T’es pas choqué au moins ? me demanda Yann.
- Ben, Non, non pas du tout, enfin juste un peu étonné quand même, vous avez de
drôles de manières ?!
En réalité, je
ne savais pas où me mettre et encore moins où regarder. Je ne voulais pas
passer pour un mec prude, mais j’étais tout de même choqué. Pourtant, je dois
avouer que je ressentais aussi une certaine excitation devant tous ces corps
nus de mecs qui se caressaient sans tabou et pourtant sans exhibitionnisme. Ils
semblaient bien se connaître et ces jeux dans ce coin de paradis n’étaient
qu’un retour à la nature, belle et accueillante.
-Ben, en fait on a un peu menti… enfin par
omission ; en fait on est une association sportive gaie qui vise à une
meilleure intégration dans les quartiers difficiles ; on s’était dit que
tu ne voudrais pas venir si on te l’avait dit ; désolé…
- ok, ok pas de soucis ! on y va !
- Au fait, ne t’étonne pas si tu vois passer des mecs
à poil, le stage en immersion est naturiste et ici au château tout le monde s'entraîne à poil, c’est la règle. D'Ailleurs si tu veux, après notre séance,
tu pourras venir déjeuner avec nous, une cantine de plein air est installée
près du terrain de volley en haut et tu rencontreras ainsi toute l’équipe.
Je proposai de commencer la séance par une photo de groupe. Ils s'alignèrent donc en face de moi tout en rigolant, chahutant, se faisant moulte caresses et chatouilles. Ce fur dur de calmer la bande quelques instants, juste le temps de la pose, mais j'avoue que les voir ainsi si heureux, me touchait et j'étais persuadé que cela donnerait aux photos, une touche tendre et spontanée.
Je proposai ensuite de continuer avec Bertrand, lui demandant de s’appuyer nonchalamment contre un arbre, un casque de moto sur la bite déjà à moitié en érection mais ça ne se verra pas sur la photo !... Sauf sur la seconde car après avoir posé avec le casque comme "cache-sexe", il me demanda "pour sa collection personnelle, une photo de lui , comment dirais-je "en majesté.
Je proposai ensuite de continuer avec Bertrand, lui demandant de s’appuyer nonchalamment contre un arbre, un casque de moto sur la bite déjà à moitié en érection mais ça ne se verra pas sur la photo !... Sauf sur la seconde car après avoir posé avec le casque comme "cache-sexe", il me demanda "pour sa collection personnelle, une photo de lui , comment dirais-je "en majesté.
Il était superbe dans le viseur de mon appareil, blond
sportif, libre. Je ne savais pas ce qui m’arrivait, mais je commençais à sentir
mon sexe s’agiter dans mon pantalon. Merde, merde, mais qu’est ce qui m’arrive,
je ne suis pas PD pourtant!
En plus ça ne va pas tarder à se voir me disais-je
intérieurement. Car, plus je me répétai cela et plus je commençai à bander dans
mon pantalon de toile légère. Et l’autre qui me faisait des clins d’œil en
jouant avec son casque !
Troublé, je me
retournai et me retrouvai face à Yann nu lui aussi en pleine érection. Quelle
bite ! J’osai à peine regarder, mais elle me semblait énorme. Il était
parfaitement épilé sur tout le corps ce qui mettait ses couilles en valeur.
Deux belles couilles bien remontées, Mon dieu qu’allais-je devenir ? qu’est-ce
que je foutais là !?
- Pourquoi t’enlèves pas tes fringues Tristan, t’es le
seul à être habillé ici, tu seras plus à l’aise, il fait super beau.
Malicieux, il rajouta : « et puis je crois que si tu
continues à bander comme ça tu vas crever la couture de ton pantalon ».
J’étais tétanisé, ne pouvant ni parler ni bouger. Je
sentais le désir grandir en moi, un désir nouveau qui me dépassait ; J’avais
envie de fuir, d’oublier toutes ces queues et tous ces mecs, mais je ne pouvais
pas. Alors Yann s’est approché de moi
- allez viens,
je vais t’aider grand nigaud, on continuera plus tard, me dit il gentiment et
puis il fait si beau, on n’a plus très envie de travailler, on veut se donner
du bon temps, allez, viens, laisse-toi aller !
Il commença par déboutonner ma chemise. Pendant ce
temps, Raphaël et Jean continuaient à s’occuper l’un de l’autre, le premier
faisant une pipe gigantesque au second. Bertrand se rapprocha de nous ainsi que
Denis et Ramon. J’étais affolé mais aussi très, très excité. Que m’arrivais-t-il
? Je commençai à perdre la tête.
Yann s’agenouilla devant moi, et déboutonna mon
pantalon, sortit ma bite qui n’attendait que ça et m'aida à me débarrasser de mon falzard; voilà, j'étais nu comme un ver, la queue dressée...;
- Beau morceau me dit-il avant de l’emboucher
goulûment. J’aurais voulu réagir, mais je ne pouvais pas. L’air me semblait
lourd, rempli d’odeurs de mâles en chaleur, le soleil nous dardait de ses
rayons, l’ambiance était surréaliste.
- Laisse toi faire mec, c’est le meilleur suceur que
je connaisse me susurra Ramon à l’oreille. Debout derrière moi, il passait ses mains sur mon
corps en s’arrêtant sur le début de mes fesses. Denis lui vint m’embrasser. Il
entrouvrit mes lèvres et introduisit sa langue.
Je la sentais m’explorer dans un long et tendre
baiser. Tout doucement je me laissais aller à ces caresses masculines. Yann me
suçait toujours s’attardant sur mon gland, léchant mes couilles, engouffrant ma
bite jusqu’à la glotte. Jamais une femme ne m’avait sucé ainsi et pourtant
j’avais eu pas mal d’expériences. Je ne pensais même pas que l’on pouvait avoir
autant de plaisir juste avec une bouche et une langue.
- Tu aimes mec ? me demanda Ramon
- Oui lui répondis-je, c’est bon.
Je n’avais pas envie de parler, juste de m’ouvrir
encore plus au plaisir. Yann commença à se mettre un doigt dans le cul en
continuant à jouer avec ma bite. Denis, Ramon et Bertrand voyant que les choses
entre nous étaient bien enclenchées s’éloignèrent en s’embrassant. Ils me
laissèrent entre les mains de Yann ou plutôt en bouche devrai-je dire. Ces
coups de langue sur mes couilles étaient divins, je ne pouvais plus retenir des
halètements de plaisir.
- Yann, je sens que ça vient, je vais exploser, j’en peux plus laissais-je
éclater.
- Oui mon chou, viens mais pas tout de suite, j’ai
envie de te sentir en moi avant, me répondit-il ; Tu es d’accord ?
- Euh, je ne sais pas trop, enfin oui bien sûr. Je ne
voulais surtout pas interrompre ce moment de pure extase, par ma timidité.
- T’en fais pas mon tout beau, tu vas aimer ça. T’es
puceau avec les mecs n’est-ce pas ?
- Oui.
- Hum, alors c’est dans mon cul que tu vas être
dépucelé. Cette idée le fit bander encore plus.
- Attends lui dis-je. Moi aussi j’ai envie de te
connaître. Je le fis se relever pour m’agenouiller à mon tour et me retrouver
nez à nez avec sa bite. Elle était grosse et bien veinée, turgescente à
souhait.
- T’es pas obligé tu sais Tristan. Si t’aime pas ça, y
a pas de souci, c’est du plaisir que je veux te donner. J’enfournai ce monstre
sans un mot. Je découvris que c’était bon cette bite puissante en moi ; je
goûtai cette chaire dure et pourtant si douce. Je commençai à l’aspirer à jouer
avec son prépuce et même à lui mordiller doucement le gland. J’espérai ne pas
faire preuve de trop maladresse, même si j’étais loin d’avoir les talents de
mon compagnon. Je sentis Yann frémir de plaisir, ce qui redoubla ma cadence et
mon envie.
Je retirai son doigt de son cul pour le remplacer par
le mien. Tout me semblait naturel, facile, évident, avoir du plaisir et en donner.
Je l’avais en bouche et avec mon index je jouais avec sa rondelle. En fait,
elle était déjà bien ouverte et je n’eus aucun mal à entrer en lui
- Mets-en un deuxième gémit-il, c’est trop bon.
J’introduisis mon majeur et de mes deux doigts,
j’explorai son anus. Je sentais la vague du plaisir monter en lui, irrésistible,
emportant toute volonté sur son passage. Il geignait en fermant les yeux. Moi
aussi je fermais les miens pour laisser s’inscrire toutes ces sensations
nouvelles en moi.
- Tristan, je vais éjaculer, retire-toi, si je tu ne
veux pas que je jouisse dans ta bouche. Je ne bougeais pas, je voulais goûter
cette sève masculine, boire ce lait d’amour.
- Comme tu voudras…
Ses coups de bassins devinrent plus rapides et
profonds, enfonçant son engin jusqu’au fond de ma gorge, m’étouffant presque.
Et tout d’un coup, il poussa un cri de jouissance sauvage, je sentis alors sa
semence douce-amère couler dans ma bouche. Je ne trouvais pas ça bon parce que
c’était nouveau, mais je bus chaque jet puissant jusqu’à la dernière goutte.
Encore un râle puis il me releva et m’embrassa. Nos
lèvres soudées, sa langue et la mienne enchevêtrées dans le goût de son sperme.
Je savourai cet instant, ne voulant pas lâcher ses lèvres. Après plusieurs
minutes de tendres baisers, il me prit par la main et m’invita à le suivre.
- Viens Tristan, allons jusqu’à cet arbre, j’ai envie
que tu me prennes là. Flottant entre deux mondes, je l’accompagnais jusqu’au
pommier, ma bite en avant, énorme, juteuse. Elle s’était à peine calmée de la
magnifique pipe de tout à l’heure.
Yann se tourna vers l’arbre, me présentant ses belles
fesses rondes et fermes.
- Encule-moi mon chéri. Il écarta les jambes pour
permettre à ma bite d’accéder à son passage secret. J’avais peur de lui faire
mal en venant en lui, sa rondelle me semblait bien petite pour laisser entrer
ma verge. D’un sourire, il me rassura :
- Je suis tout ouvert, tu sais, j’ai tellement envie
de toi. Mon gland commença à le pénétrer. J’entrai sans grande difficulté en
effet. Lorsque mon sexe fut en lui jusqu’aux couilles, je fis une pause.
J’étais bien dans cette intimité offerte, je laissai la chaleur de son
intérieur m’envahir. Je commençais à bouger, dans un lent mouvement de va et
vient.
- Oui, vas-y mon lapin c’est bon, continue mon
Tristan. Ces encouragements et mon désir de plus en plus ardent me faisaient
oublier où j’étais, et même je dois bien l’avouer, qui j’étais. Je le tenais
par les hanches, appuyant sur son dos pour qu’il se cambre au maximum. Je
n’aurai jamais imaginé pénétrer un homme et pourtant maintenant, je voulais être
tout en lui. Lui toujours accroché à l’arbre gémissait de plaisir.
-Défonce moi, me cria-t-il entre deux souffles.
J’accélérais le mouvement, mes coups de bite devenant
plus violents. Je voyais sa queue reprendre de la vigueur sous mes coups de
boutoir. Je la pris avec ma main droite et commençai à le branler au rythme de
ma pénétration. J’entrais en lui et ressortais et revenais encore, mes couilles
venant taper contre ses fesses. Je ne sais pas combien de temps s’écoula avant
que la force de mon désir ne devienne incontrôlable.
- Emplis-moi de ta semence. Un dernier coup, et je
sentis un plaisir fou, intense, violent me submerger. Je lâchai mon foutre dans
un cri rauque et bestial dans ce trou d’amour avide de mon jus. Au même moment
Yann éjacula dans ma main. Je retombai inerte sur son dos. Derrière moi
j’entendis juste un cri, celui de Denis qui s’était masturbé en nous regardant,
je n’avais pas prêté attention à sa présence jusqu’à cet instant. Son sperme se
répandit sur l’herbe verte.
- Vous étiez si beau tous les deux me dit-il.
Lentement je me dégageai de Yann, ma semence rejoignant celle de Denis sur le
sol. Yann se tourna vers moi et me serra dans ses bras. J’avais envie de
pleurer de bonheur, de me laisser aller dans les bras de cet homme qui s’était
donné à moi dans cette jouissance extrême. Pourtant, je me retins, plongeant
simplement mon regard dans le sien.
- Tristan, je ne me souviens pas d’avoir jamais fait
l’amour comme maintenant. C’était extraordinaire.
- Pour moi aussi, tu sais, c’était unique. Je n’avais
jamais fait l’amour avec un homme. J’osais à peine lui avouer le plaisir que
j’avais ressenti. Ces mots échangés sur le ton de la confidence n’étaient
destinés qu’à meubler le silence qui s’installait entre nous car nos regards
suffisaient à comprendre ce que nous ressentions. Ramon s’était lui aussi
rapproché. En rigolant il nous dit :
- Dites donc les mecs vous avez vu le nombre de pommes
que vous avez fait tomber de l’arbre ? La prochaine fois c’est moi qui vais
cueillir des pommes avec Tristan.
En effet, autour de nous plusieurs pommes étaient
tombées. Yann en ramassa une et la croqua à pleine dent. Il vint coller ses
lèvres contre les miennes et y déposer le morceau sur ma langue. Moments
magiques nous étions les Dieux d’un paradis perdu où l’amour était libre sous
un soleil de début d’automne. Avant de partir, je demandai à Yann de faire
quelques clichés de lui, officiellement pour le calendrier, mais en vérité pour
pouvoir le contempler quand je serai seul dans la chambre noire. Je lui faisais
prendre la pose devant notre pommier, quelques clics et voilà c’était le clap
de fin. Je regroupai le matériel, les garçons le prirent et s’éloignèrent en
silence. Raphaël et Jean toujours enlacés comme les deux amants qu’ils étaient,
marchaient devant suivis par Denis et Ramon, Bertrand, fermait la marche. Yann
m’avait retenu à l’arrière.
-
Allez, c’est l’heure de retrouver le reste de la
bande ; reste déjeuner avec nous, tu vas voir, le chef est
excellent ! Denis, va remonter ton matériel et nos fringues avec la
camionnette et si tu veux bien, on pourrait remonter vers le château à
pied ? tu vas voir le parc est superbe et.. si on a de la chance, et on va
en avoir, on va croiser plein de belles bêtes bien montées et affamées qui vont
comme nous se rassembler pour le dej.
Il prit mon bras et l’enlaça autour de sa taille,
passant le sien autour de mon cou. Je l’attirai vers moi pour le sentir contre
mon corps. Il me sourit, heureux de ce geste de tendresse. Nous marchions ainsi
côte à côte en silence. Et effectivement, plus on s’approchait du château et du
grand barnum installé devant faisant office de cantine, on croisait des petits
groupes de mecs nus, riant, chahutant.
-
Beau spectacle ! dis-je admiratif ; mais on
ne s’habille jamais ici, même pas pour le déjeuner ?
-
Non, toutes les activités sportives et de plein air
sont naturistes mais effectivement à l’intérieur et le soir pour le dîner on se
rhabille !
Nous arrivâmes sur le terre-plein où le barnum était
installé ; tout le monde était là ; c’était délicieusement bruyant et
emplit de rires. Tous semblaient heureux d’être ici, de faire du sport toute la
journée et d’être entre copains. Sans complexe ni fausse honte, ici aussi, on
se caressait, on se touchait, on s’embrassait.
Nous mangeâmes de délicieuses salades et grillades
entourés de corps bronzés et bien souvent superbes et mus sans doute par la
curiosité, je rencontrai la plupart des garçons du stage qui venaient les uns
après les autres à notre table. Bien sûr, je remarquai, les messes basses les
petits sourires et les regards amusés qui semblaient dire « c’est l’hétéro
photographe, il parait qu’il a apprécié sa matinée…. »
Après le repas, il eut de multiples activités
organisées du volley en passant par le hand et puis en milieu de l’après-midi,
on se retrouva tous pour un grand concours de tir à la corde. Pour ma part, je
restai la plupart du temps avec mon Yann… Mon Yann, mon Dieu , que suis-je en
train de dire ?! et ma femme enceinte qui tient la boutique ! Mais, à
mon corps défendant, je ne voulais pas quitter cet endroit, où une nouvelle
part de moi m’avait été révélée. J’avais peur de retrouver le monde.
Après la franche partie de rigolade que fut le
concours de tir à la corde, il fallut bien nous séparer et retourner en ville.
Accompagné de Yann, je rejoignis la voiture et il fallut bien se revêtir.
Yann me serra fort et m’embrassa longuement.
- Que m’as tu fais Yann ? Pourquoi suis-je ainsi ?
Sans me répondre, il s’éloigna. Je me souviens simplement de la camionnette
démarrant doucement, et du vide intérieur que je ressentis dès cet
instant.
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