
Chambrées à deux, quatre et dortoir. Douches communes genre salle de sport. Bien que marchant avec un groupe d'amis, le hasard des disponibilités a fait que j'ai du partager une chambre à lits superposés avec un inconnu. A 22h extinction des feux ou en tous cas, chacun va vers sa piaule. Personne d'ailleurs ne se fait prier car la fatigue de la journée aidant chacun ne souhaite qu'une seule chose dormir pour être d'attaque demain matin aux aurores. Mon compagnon de chambrée s'appelait Dean, il venait d'Australie et faisait de gros efforts pour prononcer son anglais de manière à peu près compréhensible! Un sourire ravageur de star de porno, un corps massif habitué aux salles de sports et une pudeur relative puisque il n’hésita pas à se dévêtir très vite et à se balader en slip un bon moment - comme si de rien était- puis, après avoir pris sa douche, entièrement à poil.
Il avait choisi la couchette du bas et toujours aussi nu, je le trouvai en train de lire à mon retour de la douche.je n'avais pas très envie de m'exhiber de concert. Même si ce mec était tout à fait attirant et sympathique, je ne détectais pas chez lui de signes engageants permettant d’espérer aller plus loin... dans la découverte. Tout en rangeant mes affaires de toilette et en préparant mes vêtements de rechange pour le lendemain matin, je gardais toujours un œil sur lui et à dire vrai, luttais pour que mon intérêt grandissant pour son anatomie, ne puisse se voir sous la serviette que j'avais gardé autour de la taille.
Heureusement, j'avais remis mon slip et le tissu comprimait quand même un peu ce début d'érection.
Heureusement, j'avais remis mon slip et le tissu comprimait quand même un peu ce début d'érection.
M'étant approché des lits superposés pour préparer ma couchette supérieure; j'étais de plus en plus ému, sentant à tort ou à raison son regard rivé sur ma serviette de bain et sur la petite bosse qui, à mon corps défendant devait laisser apparaître un début d’érection.. et puis patatras, je ne rêvais pas, il caressait de la paume de la main l'endroit précis où ma queue commençait à s'affoler. Une seconde pour réagir: soit je m'écartes et tout pourrait revenir dans l'ordre des choses - comme si je n'avais rien senti, comme s'il n'avait rien vu-; pas le temps de prendre une décision, il tira d'un petit coup sec sur la serviette, les dés en étaient jetés.
-oups! dit-il en riant
-oups! dit-il en riant

Il ne me laissa pas vraiment le temps de la réflexion; déjà sa main se faisait plus insistante et je ne pouvais plus ignorer la tentative; d'ailleurs, mon sexe pointait déjà sans équivoque sous le slip.
Immanquablement je cédai, je baissai mon slip laissant ma queue libérée et raide. Nu, accroché encore à ma couchette, je le laissait découvrir mon corps. ses mains, ses lèvres parcouraient mon bas ventre, mes couilles, mon sexe. le cochon savait effectivement si prendre!
je m’assis bientôt avec lui, contre lui. Il me demanda de ne rien faire, ne rien dire, qu'il s'occupait de tout. je sentais sa bite battre contre mon dos tandis qu'il me susurrait des mots doux dans l'oreille, tandis qu'il me caressait. il s'occupait de mon sexe dressé avec une douceur rare. c'était une drôle d'expérience, une drôle de façon de faire l'amour. au bout de quelques minutes il m'avait transporté au bord de l'extase, simplement par ses caresses incroyablement douces, par des mots susurrés dont je ne comprenais qu'une infime partie, par de bref stimuli de mon sexe. Je me retenais comme je pouvais mais je sentais bien que j'allais bientôt jouir comme ça, sans à peine qu'il me touche.
trois fois, j'ai joui trois fois ainsi.
La nuit fut courte car bien entendu ce ne fut qu'une mise en bouche.
Ben zut c'est publié dans les contes ...
RépondreSupprimermoi je te voyais déjà en haut des ... sommets !