08 février 2019

rencontre argentine


Le jour était déjà levé quand enfin, nous passâmes le pas de la porte de cette boite de nuit. Il faut dire qu’à Buenos aires, les soirées commencent très tard et finissent très tôt ou très tard, c’est selon. Un garçon rencontré dans un bar m’accompagnait. Nous avions échangé quelques mots, dansé beaucoup et  de fil en aiguille, voilà que l’on se retrouvait sous la lumière du petit matin à chercher un taxi. J’allais aller chez lui ; je ne connaissais pas encore son nom mais j’allais chez lui… Putain d’hormones. Il n’était pas spécialement dans mon genre, pas spécialement beau, non. Mais un beau sourire et une drague bien latine avait suffit pour emporter le morceau (moi). Il s'était collé lascivement contre moi durant nos séances de danse. Et j’avais aimé ça ; pas besoin de le convaincre donc, il lui avait suffit de se frotter contre mon bas-ventre « les hommes ne mentent jamais » disait Cocteau !


Il n’a pas arrêté de me palper, caresser partout durant tout le trajet en taxi. J’étais pas très à l’aise, ne connaissant pas l’état des mœurs ici en Argentine. Mais le chauffeur ne disait rien, ne semblait pas regarder et je me laissai donc aller à la douceur de ses caresses.

Il habitait un petit appartement quelque part dans Palermo  Holywood. Il disait travailler dans un studio d’enregistrement dans le quartier.

L’appartement, un joyeux boxon comme souvent chez les mecs seuls. A peine la porte refermée, il commença à se déshabiller tout en se dirigeant vers la salle de bains ;
- je vais prendre une douche, on pue la sueur après avoir dansé toute la nuit ! tu pourras en prendre une aussi !
Je le suivis dans la salle de bains ; Nu devant moi, je fixai le mouvement de ses belles fesses musclés et la cambrure de son dos. Sa peau était d’un beau brun mat.

Tandis que je me dévêtais à mon tour, il entra sous la douche, se tourna et me fit un grand et beau sourire ; Mon Dieu, je découvris alors sa queue, longue monumentale, massive, bien que ne bandant pas !

J’étais sous le charme, c’est certain mais un peu effrayé aussi ; il allait falloir jouer avec ça ! bien entendu ce n’étais pas mon premier TTBM ; moi-même je dois dire, suis assez bien monté ; mais, je ne sais pas pourquoi ce matin là, j’étais comme tétanisé par son membre..


Il m’attira sous la douche et se mit à me laver avec délicatesse. Il me savonna partout, insistant bien sûr sur mon sexe qui était maintenant bien raide contre mon ventre et entre mes fesses qu’il caressa longuement. Nous nous essuyâmes conjointement et c’est ainsi que j’eus mon « premier contact avec la chose » qui était maintenant « opérationnelle », majestueuse.  
Nous passâmes dans la chambre.  Je compris assez vite, qu’il n’avait qu’une seule chose en tête me baiser ! il m’écarta gentiment les jambes, toujours avec son merveilleux sourire et disparu entre mes fesses qu’il entreprit de découvrir intimement à coups de langue ; Bientôt  remplacée par ses doigts. De mon coté, je me préparais à le recevoir et accueillais ses explorations digitales avec joie et force gémissements.

Quand enfin son membre fut tout entier en moi, ce fut comme une explosion de douleur/plaisir et ses premiers mouvements furent doux et bienveillants. Mais très vite il accéléra ; j’entendais ses couilles cogner mes fesses et le bruit caractéristique de l’empalement me rendit bientôt complètement dingue de plaisir. Je gémissais, je hurlais plutôt et il aimait cela, redoublant d’effort pour me baiser.
Il m’arracha presque sans caresses, un orgasme dément et je jouis, versant à jets puissants ma semence contre mon ventre.
Me voir éjaculer ainsi sans même me branler, l’excita tellement qu’il jouit lui aussi peu de temps après.
Enfin, enfin calmé(s) nous échangeâmes nos premiers baisers et nos premières caresses. Nous allions enfin, maintenant faire l’amour !
























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