Le jour était déjà levé quand enfin, nous passâmes le pas de la porte de cette boite de nuit. Il faut dire qu’à Buenos aires, les soirées commencent très tard et finissent très tôt ou très tard, c’est selon. Un garçon rencontré dans un bar m’accompagnait. Nous avions échangé quelques mots, dansé beaucoup et de fil en aiguille, voilà que l’on se retrouvait sous la lumière du petit matin à chercher un taxi. J’allais aller chez lui ; je ne connaissais pas encore son nom mais j’allais chez lui… Putain d’hormones. Il n’était pas spécialement dans mon genre, pas spécialement beau, non. Mais un beau sourire et une drague bien latine avait suffit pour emporter le morceau (moi). Il s'était collé lascivement contre moi durant nos séances de danse. Et j’avais aimé ça ; pas besoin de le convaincre donc, il lui avait suffit de se frotter contre mon bas-ventre « les hommes ne mentent jamais » disait Cocteau !
Il n’a pas arrêté de me palper, caresser partout durant tout
le trajet en taxi. J’étais pas très à l’aise, ne connaissant pas l’état des mœurs
ici en Argentine. Mais le chauffeur ne disait rien, ne semblait pas regarder et
je me laissai donc aller à la douceur de ses caresses.
Il habitait un petit appartement quelque part dans Palermo Holywood. Il disait travailler dans un studio
d’enregistrement dans le quartier.
L’appartement, un joyeux boxon comme souvent chez les mecs
seuls. A peine la porte refermée, il commença à se déshabiller tout en se
dirigeant vers la salle de bains ;
- je vais prendre une douche, on pue la sueur après avoir
dansé toute la nuit ! tu pourras en prendre une aussi !
Je le suivis dans la salle de bains ; Nu devant moi, je
fixai le mouvement de ses belles fesses musclés et la cambrure de son dos. Sa
peau était d’un beau brun mat.
Tandis que je me dévêtais à mon tour, il entra sous la
douche, se tourna et me fit un grand et beau sourire ; Mon Dieu, je
découvris alors sa queue, longue monumentale, massive, bien que ne bandant pas !
J’étais sous le charme, c’est certain mais un peu effrayé
aussi ; il allait falloir jouer avec ça ! bien entendu ce n’étais pas
mon premier TTBM ; moi-même je dois dire, suis assez bien monté ;
mais, je ne sais pas pourquoi ce matin là, j’étais comme tétanisé par son
membre..
Il m’attira sous la douche et se mit à me laver avec délicatesse. Il me savonna partout, insistant bien sûr sur mon sexe qui était maintenant bien raide contre mon ventre et entre mes fesses qu’il caressa longuement. Nous nous essuyâmes conjointement et c’est ainsi que j’eus mon « premier contact avec la chose » qui était maintenant « opérationnelle », majestueuse. Nous passâmes dans la chambre. Je compris assez vite, qu’il n’avait qu’une seule chose en tête me baiser ! il m’écarta gentiment les jambes, toujours avec son merveilleux sourire et disparu entre mes fesses qu’il entreprit de découvrir intimement à coups de langue ; Bientôt remplacée par ses doigts. De mon coté, je me préparais à le recevoir et accueillais ses explorations digitales avec joie et force gémissements.
Quand enfin son membre fut tout entier en moi, ce fut comme une
explosion de douleur/plaisir et ses premiers mouvements furent doux et
bienveillants. Mais très vite il accéléra ; j’entendais ses couilles
cogner mes fesses et le bruit caractéristique de l’empalement me rendit bientôt
complètement dingue de plaisir. Je gémissais, je hurlais plutôt et il aimait
cela, redoublant d’effort pour me baiser.
Il m’arracha presque sans caresses, un orgasme dément et je
jouis, versant à jets puissants ma semence contre mon ventre.
Me voir éjaculer ainsi sans même me branler, l’excita tellement
qu’il jouit lui aussi peu de temps après.
Enfin, enfin calmé(s) nous échangeâmes nos premiers baisers
et nos premières caresses. Nous allions enfin, maintenant faire l’amour !
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