17 septembre 2020

Balls **

  

Après deux jours de stress et de tension, je me balade sur la toile et tombe sur ce mec. Excitation maximum à la vue de ses couilles, boules, sacs, bourses , rognons , roustons , roupettes , service trois pièces, roupignettes, burnes , bijoux de famille, valseuses, roubignolles , cacahuètes, et je dois en oublier encore. Notre langue est finalement assez riche pour désigner cette partie essentielle de la fantasmagorie érotique masculine.
Je les aime de toutes sortes,
Bien dodues et dures quand je m’apprête à les caresser, particulièrement au début, car, bien souvent l’émotion première qui s’accompagne de merveilleux frissons et donne la chair de poule, les rigidifie suffisamment pour qu’elles se dessinent bien dans la main.
Bien pendues quand je regarde un mec nu sur la plage ; j’aime à les deviner ou les voir quand il est de dos.
bien pendues aussi, quand je veux les avaler, et permettre à ma langue de les entrechoquer dans ma bouche.
Bien pendues encore et surtout, quand on me baise, pour les sentir battre à chaque à-coups contre mon cul.
Bien pendues quand mon mec assit sur mon torse me tend sa queue bien raide, je l’engouffre alors le plus profond possible, je lui léchouille le gland et tire sur ses couilles en les malaxant tel des osselets.
Assez grosses enfin, pour y fourrer mon nez dedans presque à en étouffer, quand mon mec s’assoit sur moi et qu’il me suce tête bêche.












2 commentaires:

  1. Anonyme8:58 PM

    Plus le biniou est vieux, plus la musique est douce. On peut faire la même chose avec la flûte ...

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  2. Anonyme11:28 AM

    Il y a des experts qui aiment vraiment la bite!Et moi,j'en cherche!
    Pierre

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