13 avril 2021

Trocadero 17813


La journée avait été éprouvante de chaleur. À cette heure tardive, les quelques parisiens restés à paris en cette mi-août se baladaient comme moi pour chercher un peu de fraîcheur. Ce soir-là, a
u pied du Trocadéro, dans les fourrés des jardins, j'entendis comme des murmures, des gémissements étouffés. Je m'approchai. Des ombres s'activaient. Des mecs, pantalons baissés, queues dressées. Caresses viriles, bouches qui s’entrechoquaient, bruits de succion. 
Ne sachant que faire mais  je l'avoue, très excité, je m'éloignai le temps de réfléchir, de me calmer un peu. Très vite je fis demi-tour et m'aperçus qu'un petit groupe s'était formé autour des deux premiers protagonistes. Je m'approchai de nouveau . l'un des garçons, appuyé le dos contre un arbre, le tee-shirt relevé, le pantalon sur les mollets se faisait pomper le sexe tandis que son compagnon, le pantalon baissé également se faisait entreprendre par un nouvel arrivant. Ses fesses se contractaient à chaque fois que sa queue était goulûment absorbée. Je les caressai, j'aimais sentir sous ma main ces mouvements du plaisir. Je tentai alors d'explorer d'un doigt sa rondelle, son trou du cul. 

Mon excitation était à son comble. Les murmures, les gémissements étouffés, les bruits de succion, bruissement des feuilles et les aller et venue des passants tout autour de nous me faisaient frissonner et perdre toute crainte. Mon compagnon semblait sans nul doute prendre plaisir à mon exploration et je m'engaillardis. Libérant mon sexe déjà à l'étroit, j'écartai ses fesses et sans tambour ni trompette me glissai en lui d'un coup. Il semblait apprécier ma bite en virgule qui lui labourait les reins.

Bientôt un nouvel inconnu vînt enrichir le cercle me caressant les fesses pour très vite s' agenouiller et y glisser sa langue  tandis qu'il me malaxait les couilles à chacun de mes va-et-vient. Mon compagnon abandonné par le sien tout à son plaisir personnel, se branlait violemment tandis que je continuais à l'empaler tout aussi sauvagement. Il allait bientôt jouir et la simple idée de voir sa semence gicler dans la nature m'amenait au bord de l'orgasme. 
Je résistai voulant l'accompagner dans la jouissance. S'affranchissant de toute retenue et de toute prudence, il hurla tandis qu'un long et puissant jet projeta son sperme sur des visages apparus comme par enchantement, l'orgasme approchant. A la seconde je cessai de me retenir et lâchai dans son cul le fruit de mon plaisir.
Nous eûmes juste le temps d'un peu d'affection: encore en lui je l'enlaçai, lui baisai le cou,...Soudain un bruit de sifflets, des crissements de pneus et il fallu très vite se séparer, se rhabiller tant bien que mal et filer sans demander son reste. 


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