28 janvier 2021

Confiné, tu fais quoi? -22

 




Je suis inventif et je me transforme en Geo Trouvetou.....


 




26 janvier 2021

Confiné, tu fais quoi? -21

 




Une envie pressante,  envie de se sentir "habité", de se montrer? on fouille dans le frigo et on trouve les beaux légumes achetés ce matin même au marché. Une courgette? une carotte ?une aubergine? on va plutôt commencer avec la courgette. 

On se branche sur le chat et on se donne en spectacle!







25 janvier 2021

soirée de reine juste avant le grand départ


Ce soir, c’est la soirée « délire » dans ton club favori. Selon que tu fasses l’effort d’enlever un ou des vêtements, l’entrée est à prix réduit. Cela va jusqu’à la gratuité de l’entrée et d’une boisson pour ceux qui se déshabillent complètement.


Ce soir, tu as les hormones à l’envers, tu sens ton corps bouillant, tous tes sens en éveil. Après une longue douche, tu as soigneusement enduit tout ton corps d’un lait parfumé hydratant… tu sais que cela ne sert pas à grand-chose, là ou tu vas, ce sont plutôt les odeurs fortes et intimes qui dominent mais tu souhaites te sentir « préparé »comme les vierges que l’on donnait au seigneur.

Tu as choisi un jock-strap de chez unico en fine maille noire qui souligne si bien ton petit cul bombé. Un dernier coup d’œil sur ton reflet dans le miroir de l’entrée et te voilà prêt.

Dès le vestiaire passé, l’ambiance est hallucinante. Enrobés d’une déferlante de décibels, des corps suants, nus ou à moitié nus, se déchainent sur le dance floor. De fait tout le local est un dance floor.

Rien d’autre à faire sous ce vacarme assourdissant que de se mêler à cette grande messe païenne et communier avec l’assemblée.
La sueur se mêle à la sueur, les corps se frôlent, se déhanchent de concert. Des mains se plaquent sur tes fesses, un corps dégoulinant de sueur se colle au tien et à tes mouvements. Tu sens le tissu tendu de son jock frôler la raie de ton cul ; cela t’excites et tu te cambres comme pour t’offrir à lui. Bientôt vous êtes rejoints par d’autres danseurs ; caresses, baisers, slips tendus, sexes érigés.  Le désir est à son comble. Il est temps de descendre. Parcourir le labyrinthe obscur, à peine éclairé par les écrans déroulant en permanence des films de cul, croiser ces regards en attente, dans le silence des halètements et de l’entrechoc des corps.



Très vite bien sûr te voilà alpagué. Ton superbe cul qui dit bien ce qu’il aime, ce qu’il attend, enflamme les esprits. Un grand gaillard plus âgé que toi s’approche, le gland fièrement dressé et d’une main ferme te somme d’engloutir sa longue queue veineuse. Tu t’exécutes prestement sachant que ce superbe viet bientôt te transpercera profondément. Goulument tu le suces. Le gland gonflé de sang à chaque coup de rein s’enfonce dans ta gorge. Soudain, il te retourne et d’un coup, sans aucun préambule, te pénètre t’arrachant un long gémissement ; douleur, plaisir. Longtemps ses va-et-vient violents t’empaleront à son sexe tuméfié et superbe, longtemps tu gémiras de plaisir couvrant ainsi les halètements des vidéos. Puis il viendra dans un long et profond spasme pour te donner enfin, sa bite crémeuse à déguster. D’une tape sur la tête il te remerciera, toi restant là, à même le sol froid de ce couloir humide, telle une lope assouvie, rassasiée, sous les regards complices des autres chalands.


21 janvier 2021

télétravail




 La plupart du temps, c'est le chat qui vient me déranger dans mon travail; la plupart du temps,......

this is the place I belong **


Enfin, enfin, j'y accède. Cet endroit si secret, cet endroit rêvé de ton anatomie. Cette antichambre du plaisir, ce sérum de vérité. Rien après cela ne peut plus être pareil. Quand ma langue, après mes yeux auront gouté au plaisir de tes entrailles, à cette âcre moiteur , cette douce onctuosité de ces secrets tissus. Quand mes doigts l'un après l'autre auront exploré ces moites contrées, ouvrant le passage à mon sexe respectueux, gonflé de désir. Alors mes veines gonflées de sang marqueront à chaque passage la marque de mon insatiable envie de ne faire qu'un avec toi, de se fondre en toi, de se confondre avec toi. Alors, alors enfin, d'une longue et puissante giclée, ma semence se répandra au plus profond du sillon ainsi longuement creusé. Cette délicieuse et précieuse semence, je la recueillerai ensuite, tendre récolte, au creux de ma langue. Communion des âmes, des corps, union sacrée. Aimons nous ne serait-ce que ce soir.
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20 janvier 2021

Confiné, tu fais quoi? -20

 




Quand le réseau est mauvais et que l'on voudrait rester brancher sur la toile et draguer.....

vivement la 5G!




19 janvier 2021

Mille pensées dormaient.....


Il y a des jours où le désir de l’autre est plus fort, des jours où vous n’avez qu’une seule pensée, une seule envie : vous abandonner, vous donner, Livré à vos démons, pieds et points liés, torturé par vos fantasmes. Il y a des jours comme ça, où l’on se retrouve démangé, rongé par le désir. Des jours où chaque pore, chaque orifice de votre corps, comme électrisé est offert, mobilisé ; effluves acres de phéromones remplissant l’air. Il y à des jours comme ça où seules vos mains parcourent votre corps, vos yeux n’ont rien d’autre à regarder que votre propre solitude, votre bouche ne peut rien embrasser que l’air frais de votre chambre. Alors bien sûr, vous vous donnez, vous vous offrez à l’immensité de la matrice, à l’immensité froide mais amicale de la webosphère. Vous savez que des centaines d’yeux sont braqués sur vous, des centaines de solitudes partagent quelques minutes la votre. Alors, ces mains, vos mains deviennent les leurs, ce corps qui désire, vous le découvrez à nouveau ; c’est le leur, le corps de tous ces amants de la nuit, tous ces amants de l’éther. Vous calez la webcam pour bien mettre en valeur votre corps. Vous soignez l’éclairage ; mettez de la musique aussi. Puis, vous naviguez parmi les centaines de mecs qui s’offrent et matent sur cam4. On s’encourage, on se flatte. On fait, vous faites ce que l’on vous demande. Bien souvent la plupart sont pressés, ils n’attendent qu’une seule chose : voir jouir. Peut être pour venir, jouir ensemble, à l’unisson. Quelques fois vous préférez vous brancher avec un voire deux. On se connecte ensemble, on s’excite, on joue à distance, sous le regard concupiscent de centaines d’autres. Les compteurs s’affolent ; plus l’aventure dure, plus les spectateurs sont nombreux. Les encouragements, les félicitations fusent. La tension sur la toile est palpable, a l’unisson de votre excitation, de vos soupirs, halètements qui se diffusent. Vos mains deviennent, ces mains qui caressent votre poitrail, qui vous titillent, pincent les tétons ; ces mains qui s’activent violemment sur votre queue, sont leurs mains, extensions de ces dizaines d’amants éthérés, excités. Quand enfin, dans un dernier spasme, votre semence inondera votre ventre, combien, combien de sexes, à votre unisson, libéreront leur foutre ; combien ?


  








17 janvier 2021

Confiné, tu fais quoi? -19

 


Après-midi webcam, on attire le chaland en montrant son mandrin en gros plan et pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté sur la taille de 'engin on le compare avec une bombe à raser et on le mesure au fur et à mesure que l'on bande avec le cm de couturière de maman. 

quand on a assez de spectateurs, on fait preuve d'agilité en se suçant soi même puis on fait visiter la maison en se branlant dans différentes pièces pour se finir dans la salle de bains sur le froid carrelage...





fin de soirée entre amis..


c'était ce genre de soirée entre potes. Ce genre de samedi soir où l'on a rien prévu, où l'on reste à la maison de l'un ou de l'autre. juste pour ne pas avoir à passer la soirée d'un samedi seul à comater devant la télé. Mais c'est pourtant ce que l'on fait souvent. On commande pizzas  et force bières, on discute de tout et de rien et puis en fin de soirée, un peu crevés, un peu bourrés, l'estomac souvent lourd de trop de pizza reine, on s’affale alors sur le canapé, on se serre les uns contre les autres en riant puis on zappe; on râle car il n'y a rien de bon - "que des conneries!..." on reste un moment sur une téléréalité quelconque genre "les anges à Hollywood "ou les "chtis je ne sais où". Cela permet de se foutre de leur gueules un bon moment et de se dire que ma foi il y a pire que nous...




Puis immanquablement, on se dit qu'un bon film de boules, cela serait marrant.  Alors on regarde, on bande doucement et on crève bientôt d'envie de tâter le voisin pour vérifier et même s'assurer qu'il est au même point; alors un silence un peu gênant se fait. Et l'un des trois se lance; en riant bêtement certes mais en mettant quand même la main sur la braguette du voisin! Et oui; il bande aussi. alors les uns et les autres baissent leur froque "pour voir qui aura la plus grosse" puis on s'astique les uns et les autres.


Alors, il y en a toujours au moins un pour avoir une envie folle de baiser, et au moins un pour avoir envie de se faire baiser. Et aussi, parce que l'on est modernes, de se filmer et d'envoyer tout ça en direct live sur une chaine genre cam4. Et si par malchance il y en a deux qui ont plutôt envie de baiser ensemble, il ne reste plus au troisième qu'a "s'occuper de filmer". Mais bon , ça c'est au début car très vite, le feu de l'action gagne toute la bande et on finit par passer une bonne soirée!....




  
30/3/16

13 janvier 2021

Low rise jean


La rame était bondée. Comme souvent maintenant, les strapontins restaient occupés par des êtres indifférents, le regard vide. Indifférents aux autres pressés dans le peu d'espace restant, indifférents à tout. La chaleur épouvantable faisait coller les vêtements à la peau. L'air était chargé de multiples parfums, parfums rares et odeurs corporelles mêlées. L'enfer.
Tu es rentré à Concorde.
Jean taille basse "Diesel", un corps trapu, des pectoraux saillants dans un tee-shirt blanc, une étoile de David posée dessus; des cheveux noirs coupés très courts et tes yeux bleus posés sur ton visage si pâle; visage resplendissant, éclaboussant de sensualité tout autour de toi. Tu exhalais le sexe… Ou étais-je le seul à le sentir? Tu t'es glissé tout près de moi, me tournant le dos. Tu t'es accroché d'une main à la barre, soulevant alors ton tee-shirt si court….. posé sur ton jean " so low".. m'offrant ainsi, d'un coup, la splendeur du bas de ton dos, la tranchée délicieuse de ta colonne vertébrale, les petits triangles là, juste au dessus des fesses et, sous la ceinture de ce jean, que tu portais à même la peau, ce petit "v" marquant les premiers contreforts de ton cul,… si près de moi. En un instant, ma bite s'est retrouvée enserrée dans mon caleçon trop étroit, je crevais d'envie de glisser ma main entre le tissu de ton "Diesel" et ta peau; caresser ton cul, parcourir la rainure de tes fesses; peut-être être y pénétrer. J'aurais voulu aussi que tu te tournes, me permette de voir, découvrir, sur la peau blanche de ton ventre, les premiers poils de ton pubis, peut être le début de ta verge. J'aurais voulu que cette rame se remplisse encore, t'obligeant ainsi te coller encore plus à moi.
Tu as du sentir le poids de mon regard insistant ou peut-être plus sûrement l'odeur de mon désir. Tu as tourné légèrement ton visage vers moi, une lueur complice au fond de tes yeux éclairant ton regard.
Nous sommes sortis tous deux à Saint Lazare; je t'ai suivi sans un mot, à quelques pas. Tu marchais vite, sans jamais t'assurer de ma présence; sûr de toi.
Le Printemps de l'homme était bondé, tous à tripoter les chemises, cravates et autres accessoires masculins. Les soldes d'été.
Au dernier étage du magasin, sur le coté du World Café, tu as tiré une porte coulissante menant à des toilettes discrètes et larges, sans doute adaptées aux handicapés. Tu n'as bien évidemment pas fermé la porte! Comme si tu savais exactement ce que je cherchais, tu as fait mine de te débarbouiller me laissant ainsi la liberté de glisser ma main dans ton jean. Ta peau était douce, tes fesses bien fermes, la chaleur ambiante, le coton épais de ton jean, avaient laissé se poser une douce humidité sur les poils de ta raie que j'entrouvrais de mes doigts un peu tremblants. Je me suis collé à toi, mes lèvres se sont posées sur ta nuque rasée de frais tandis que mon autre main partait à la découverte du devant. Devant: un nombril posé sur un ventre plat et dur d'adolescent, une peau douce recouverte d'un très léger duvet à peine perceptible au bout de mes doigts; et puis ton pubis, les premiers poils, contreforts de ta queue que très vite j'ai saisi: déjà dure, déjà bien comprimée dans le tissu pourtant ample de ton pantalon.
J'ai déboutonné ton jean, il n'a pas fallu beaucoup de temps pour qu'il glisse sur tes chevilles, m'offrant ainsi la merveilleuse vue de ton dos cambré, de tes fesses bien fermes et merveilleusement creusées. Sans attendre, il me fallait goûter, recueillir sur le bout de ma langue, moissonner tes précieuses perles de sueur. Ma langue fouillait maintenant ta raie, explorait ta rondelle. Le fumet de ton corps, de ton intimité me remplissait les narines, m'encourageant à aller encore plus profond en toi. Ma langue parcourait maintenant l'entrejambe. Mon visage déjà rencontrait tes couilles, flasques, comme ramollies par la chaleur étouffante; agrippé au lavabo, tu gémissais doucement. Il me fallait ta bite. Je t'écartais les jambes afin de pouvoir me faufiler devant toi. Ta queue était maintenant bien tendue au dessus de mon visage. Tu as jeté un regard vers moi, vers ma bouche déjà tendue, entrouverte, attendant l'offrande. D'une main, tu as approché ton gland de mes lèvres, je l'ai immédiatement englouti. Ta queue était fine et longue. Nerveuse aussi, parcourue de grosses veines injectées de sang. Un prépuce sans doute trop court, laissait ton gland découvert, comme tuméfié par la tension. Je le laissais me râper le fond de la gorge à chacun de mes mouvements. Tout en te suçant, je t'ai tendu deux doigts afin que tu les humecte copieusement d'un peu de ta salive: je voulais aussi explorer ton cul. Ce fut aisé, tes jambes bien écartées malgré le jean tombé sur les chaussures, tu résistas à peine quand le premier doigt te pénétra, tu gémis encore plus quand le second vint.
Ta queue était maintenant dure à se rompre, tandis que, des deux mains tu inscrivais à ma tête le rythme à tenir, tandis que ma langue s'affairait sur ton gland, ton frein, tandis que je m'efforçais de t'engloutir au plus profond de ma gorge, mes doigts explorait ton cul d'un mouvement frénétique. Je savais que tu allais bientôt venir, je voulais que cela soit dans ma bouche, sur mon visage. Je ne te connaissais pas, je sais, il ne fallait pas, je le sais, mais j'avais envie de sentir ton sperme chaud sur mon visage, dans ma bouche; je voulais en connaître le goût, l'âpreté.
Et puis soudain, tu t'es accroché encore plus violemment à mes cheveux, tes fesses se sont resserrées sur mes doigts et tu es venu, dans un long spasme, dans un long gémissement contenu. Tu m'as recouvert le visage de ta semence. Nous sommes restés ainsi quelques instants sans un mouvement, comme pétrifiés. Et puis tu t'es baissé, regardé mon visage couvert de ton sperme et tu as souri, visiblement heureux; alors, tu m'as embrassé et léché goûtant avec moi ta semence mélée à ma sueur. J'ai ri, nous avons éclaté de rire. Tu m'as essuyé le visage et puis remonté ton pantalon.
Sans un mot, sans échanger nos noms ni quoique ce soit, nous nous sommes séparés. Ma queue au fond de mon caleçon me faisait mal, je n'avais pas joui, j'avais juste donné du plaisir à un inconnu. J'avais faim.
Dehors, les gens s'affairaient toujours sur les vêtements, il faisait chaud.




Salut Peb!





Je t'ai aimé tout un été. Joyeusement, entièrement, désespérément car je n'avais rien à espérer de toi. Rien de plus que ce qu'un amoureux des femmes peut donner à un gars qui lui fait la cour. Beaucoup de charme, de la tendresse, une grande complicité. Rien d''autre. Tu t'es laissé prendre au jeu, tu as aimé mes sourires, mes frôlements, mes minauderies. Sans doute était tu flatté. Cet été là, nous ne nous sommes pas quittés. Nous traînions de terrasse en terrasse, d'une bande à l'autre. Pascale à tes côtés; irritée au début, amusée très vite. Très vite, nous nous sommes pris sans nous le dire à Jules et Jim en nous laissant porter par la douceur du moment. Attendant simplement la nuit. La nuit, nous étions autres; de longues heures à préparer la métamorphose, de longues heures, à se chercher un look en buvant de la vodka, en fumant joint sur joint. Et puis, le rassemblement des bandes vers les lieux branchés de cet été là, quelque part de l'autre coté de la frontière là où tout est plus facile , bruyant; là où la pharmacie du coin délivre si facilement ces médocs qui permettront d'aller au plus loin de la nuit, qui nous mènerons vers des confins explosés. Une nuit comme les autres, une nuit à écluser les bars de cette petite cité balnéaire du nord de l'Espagne. L'absinthe coulait sur dans les verres, que nous buvions l'un après l'autre, faisant avec le cocktail de speed avalé peu avant un mélange détonnant. Nos yeux brillaient. Je ne sentais plus mon corps. Toi, tu riais trop fort. J'avais envie de toi. Pascale le sentait et s'amusait à nous exciter l'un et l'autre. La petite piste de danse était bondée. Nous dansions frénétiquement. La musique, les lumières, la chaleur des autres, tout se mélangeait en un étrange magma voluptueux qui m'emportait, m'enveloppait. Pascale s'évertuait à nous rassembler tous les trois, nous prenant par la main et nous poussant l'un vers l'autre. On riait comme des barges, occupant de plus en plus d'espace, faisant le vide autour de nous. Je me suis amusé à défaire à chaque frôlement, les boutons de ta chemise;



et puis soudain tout a basculé, j'ai senti ta peau sur mes doigts, je t'ai senti toi. J'ai tiré, tiré sur ta chemise faisant sauter les boutons qui restaient; je t'ai attiré vers moi et là au milieu de la piste au cœur de cette boîte surpeuplée, nous nous sommes embrassés. Ta langue dans ma bouche, mes mains sur ton corps, nous nous sommes écroulés sur le sol. Nous avons roulé, longuement? Je n'en sais rien. Je ne me souviens plus de rien. Comment avons-nous quitté LLansa, comment avons-nous rejoint l'appartement de Pascale, je ne sais.

J'ai repris conscience dans la baignoire! Pascale avait fait couler un bain et veillait près de moi, me forçant à ne pas me rendormir. Quand j'ai rejoint la chambre, je t'ai trouvé, nu dormant affalé sur le lit. Je me suis étendu contre toi, Pascale, doucement nous a rejoints. Le jour commençait à poindre. Nous nous sommes endormis tous les trois comme des enfants, les uns contre les autres, j'ai juste eu le temps de poser un léger baiser sur ton épaule, juste avant de sombrer dans le sommeil.






confiné, tu fais quoi? 18

 




Just watching some porn all nite...and wanking of course!






10 janvier 2021

La première goutte **







Celle là, ne la ratez pas! C'est le début de l'abandon, le début d'un nouveau saut vers l'inconnu. Car c'est à chaque fois recommencer.




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09 janvier 2021

confiné, tu fais quoi? 17 love yourself **



Vraiment, il y a des mecs qui s'aiment suffisamment pour passer du temps à se mater dans un miroir, embrasser son image, se faire du charme et se "baiser tout seul" !... Tout cela en live sur la toile . étonnant, non?!



   

08 janvier 2021

Retour de vacances, L’appel de la ville.




Bien sûr je n’ai pas tenu longtemps. Dès l’arrivée à la gare d’Austerlitz, j’ai pris un taxi, j’ai foncé vers IDM. J’avais besoin de retro
uver ma nudité, de tourner brutalement et à ma façon, les pages bucoliques des vacances. Me jeter directement dans la violence de la ville. Un ticket pour l’impur.
Vite, le vestiaire, vite me désaper de nouveau, redonner à ma peau le contact direct de l’air. Même la serviette est de trop, je la jette par-dessus mon épaule et choisi de me balader nu. Nu juste avec mon cock-ring de caoutchouc.
Dans ce sauna il y un endroit que j’affectionne particulièrement, un endroit qui flatte mon goût pour l’exhibitionnisme. Au premier étage, l’espace réservé au cinéma porno. Des canapés profonds disposés face et de chaque coté de l’écran.
Je choisis celui de face et m’y lovai. J’attendis en jouant distraitement avec ma queue tout en regardant de jeunes tchécoslovaques se donner du bon temps sur l’écran. Je n’eus pas à attendre bien longtemps ; un mec vînt bientôt s’asseoir près de moi. Très vite son genou se colla au mien, je ne le décourageait pas ; une main se posa alors sur ma jambe, doucement quelques secondes puis caressante ensuite, je ne l’arrêtait pas. Peu m’importait son léger embonpoint entrevu en le regardant du coin de l’œil, je voulais reprendre contact avec mon autre moi-même.
Ma verge peu à peu se raidissait, elle avait à ce moment cette courbure que j’affectionne particulièrement : bien dure mais pas encore assez pour se dresser fièrement. Sa main s’enhardit et vînt me caresser la toison avant de s’attaquer à mon engin qui s’étalait déjà de toute sa longueur sur mon ventre.
L’homme quitta le canapé. Tout en m’écartant les jambes il s’agenouilla en face de moi, joua quelques instant avec ma longue et épaisse queue congestionnée par le cock-ring, me décalotta, donna quelques coup de langue et l’engloutit au plus profond de sa gorge.

Comme souvent, et c’est pourquoi j’aime cet endroit, l’action attire les hommes comme des mouches. Bientôt, je vis par-dessus mes épaules un mec qui se branlait à quelques centimètres de moi. Tandis que le premier homme s’activait toujours sur ma verge, j’encourageai le second à s’approcher : je basculai légèrement ma tête sur le dossier du canapé et fixai mon regard sur son sexe tout en ouvrant la bouche. Une vraie salope ! Il comprit très vite et s’approcha. Sa queue et ses couilles pendaient au dessus de mon visage. Je donnai quelques coups de langue exploratoires sur un gland déjà excité. Puis d’une main, je saisis sa queue et l’approchai de ma bouche. C’était une longue queue recourbée avec des couilles bien pendues. Je jouai avec elles tandis qu’il m’enfonçait sa verge dans la bouche. Bientôt pourtant mon excitation fut trop forte, le premier mec suçait bien et je me devais de consacrer à mon propre plaisir toute l’attention nécessaire. Ses coups de langues, ses brusques et rapides morsures de mon prépuce, ses caresses viriles sur mes couilles m’arrachèrent de petits cris. Le mec au dessus de moi s’activa alors encore plus fort sur sa queue délaissée, je voyais juste au dessus de mon visage ses longues couilles s’agiter furieusement.
Je me cramponnais aux bords du canapé, j’allais exploser d’un moment à l’autre, ils le savaient. Le premier homme ma queue turgescente et droite dans sa main me regarda, me souleva les jambes pour les poser sur ses épaules, s’humecta les doigts et me glissa un doigt,
deux puis trois dans le cul. Tous guettaient, espéraient mon orgasme, tous callaient leurs mouvements au rythme de ma respiration ; de plus en plus profonde, de plus en plus saccadée. Je retenais ma respiration, tous mes muscles contractés pour retarder l’inéluctable. Enfin, dans un long cri, un superbe jet de sperme gicla sur mon torse. Les couilles au-dessus de ma tête s’agitaient frénétiquement. De lourdes et épaisses gouttes vinrent très vite se répandre sur moi. Le premier mec posa son visage sur mon ventre inondé et de ses dernières caresses, étala notre semence sur mon corps.
Je restai un moment ainsi quelques minutes, nu sur ce canapé, tandis que tous, le spectacle terminé, s’égaillaient.
Acte deux
Enfin, je me décidai à quitter ce cocon. Une douche s’imposait. Je me glissai sous le jet tiède. Je savonnais mon torse, mon sexe encore turgescent grâce au cock-ring, mon cul qui ressentait encore les va et vient d’il y a peu.
Une main se posa sur mes fesses, une queue vint se frotter à mon cul. Une queue fine et recourbée, raidissante. Je reconnus numéro deux. Je ne fis rien pour l’arrêter. Bien au contraire, je me collai au mur, les jambes bien écartées ; je le laissai m’écarter les fesses, chercher du bout de la langue puis de la langue tout entière, mes entrailles. Il glissa un doigt, deux tandis que sa bouche m’englobait les couilles.



Je me branlai,. Je me branlai furie
usement tandis qu’il enfilait une capote, attendant impatiemment d’être empalé. Il lui fallu un moment avant que ses hanches ne viennent se coller enfin à mes fesses, un long moment pour que je ressente l’entière majesté de sa verge, avant que mes entrailles n’en épousent la raide courbure. Encore une fois je ne fus pas discret ; chaque coup de reins, m’arrachait de longs râles. Douleur, plaisir, toujours mêlés. Bien sûr comme la plupart des mecs tu aimais m’entendre, cela redoublait ton excitation et la … puissance de ses coups de butoirs. Je sentais son plaisir croître ; ses mains m’agrippaient l’épaule et la hanche de plus en fort.
Il jouit le premier : un long râle, ses reins collés durement à mes fesses, comme pour aller, creuser encore plus loin en moi, quelques petites saccades puis le relâchement de ses mains et son visage enfin qui se pose sur mon épaule. D’une main, je lui fis comprendre que je voulais qu'il reste encore en moi, juste le temps de jouir une nouvelle fois en le sachant en moi, toujours au plus profond.
Je vins, serré dans ses bras, sa bouche me mordillant le cou, ses mains me caressant. Je me retournai, le serrai très fort dans mes bras ; Pas de prénoms, juste un baiser, un vrai, le seul de la soirée.
Je partis vers le vestiaire. J’avais renoué avec la ville, je pouvais l’affronter.



confiné tu fais quoi? -16

 




Quelques fois sur les sites de webcam, on trouve de beaux spécimens. dommage que les toilettes de celui-ci semblent fuir 




confiné tu fais quoi? -15

 



Après les cours en zoom, Je me connecte avec les potes et je m'amuse avec mes jouets


07 janvier 2021

confiné tu fais quoi? -14

 



All by myself....




l'offrande


Il aimait bien cette boite car il savait qu'il n'y avait pas vraiment de "dress code" même si l'établissement encourageait les clients à se sentir libre de vivre leurs fantasmes comme ils le souhaitaient, dans le respect des autres et de chacun. il y avait donc des mecs en tenue de ville d'autres torses nus, d'autres encore en slip ou jockstrap d'autres enfin se mettaient entièrement nus. 
C'est ce qu'il souhaita faire cette soirée-là. Avec un peu de chances peu de clients choisiraient cette option et comme souvent il espérait ainsi être l'attraction de la soirée,.. dans tous les sens du terme.
En rentrant, il se dessapa, remplit son sac poubelle avec tous ses effets personnels sauf ses tennis. La boite était bien pleine de mecs de tous genres, de tous âges. Il se dirigea d'un air naturel et dégagé vers le bar pour se commander une bière et se laissa caresser, sur le chemin puis tandis qu'il attendait sa consommation,  les fesses et les couilles par des mains non identifiées. Cela l'excita bien entendu et lui permis en commençant à bander légèrement à montrer à l'assistance la qualité de ses attributs. 
il alla ensuite s'asseoir au fond de la salle dans un fauteuil qui bien qu'isolé était doucement éclairé par un spot mal réglé. ainsi en pleine lumière, nu comme un ver, il sirotait sa bière tout en se caressant.  
Ce qu'il souhaitait, bien entendu arriva, un puis des mecs, excités par le spectacle vinrent vers lui. il fut alors l'objet de multiples caresses; on le branlait, le léchait,.. c'était bon. Il attendait avec délice le clou de son show le moment où la tension serait  son comble, ou tous attendraient la contraction de ses muscles retardant l'orgasme, ses gémissements puis enfin, la délivrance dans un ultime spasme. Peut-être aurait-il à ce moment précis un doigt cajoleur prisonnier de son sphincter...



06 janvier 2021

offrande

 



La nudité dans la relation amoureuse, c'est une offrande que l'on fait de son moi véritable, dépourvu des boucliers et masques qui nous protègent de la société, qui nous facilitent l'épreuve de ses règles et de ses contraintes.     

New York me manque.....

 







confiné tu fais quoi? -13


Pour l'hygiène





 



04 janvier 2021

Je t'imagine


Je te reçois, nu. Parce que je veux te faire plai
sir. Parce que, rien qu’a regarder ton sexe qui s'affiche sur le site « ma-queue.com », je bande, je salive et je veux goûter.
J'excite mon sexe raidi, mon gland humide, rien qu’à te regarder, toi, ton visage, et pas encore déshabillé, j'ai envie de me branler, de me mettre à tes genoux et de me branler. Alors, oui, je vais éjaculer dans ma main. Je vais éjaculer sous ton regard. Tu prendras cette main, tu la porteras à ma bouche et tu me feras bouffer mon jus, tout mon jus, pour qu’après il ne reste plus rien. C’est la condition pour que je puisse te déshabiller. Je te dévêtirai lentement, tâchant de ne pas être brusque. Délassant tes chaussures, retirant ton pull, et ne gardant que ton boxer.
Car, d'abord, puisque tu trembles un peu, je veux nous faire prendre une douche, histoire de te décontracter. La température de l'eau, savammen
t dosée, et nous deux sous le pommeau de la douche que je dirigerai vers toi, en tout premier. Ton corps, ton torse, ton visage ruissellent de cette eau.
Ton boxer absorbe tant qu'il peut ce ruissellement. Le tissu colle à ta peau et se fait translucide offrant à mon regard la forme de ton désir.

 Je te touche un peu, puis, muni du savon, je te parcours tout entier. Là, sur le sommet des épaules, au niveau de tes tétons, sur ton ventre, le bas de ton ventre et, après avoir ôté le tissu ruisselant qui me séparait encore de toi,  plus bas encore sur tes couilles, dans ton entrejambe, dans la raie de ton cul, lentement, au niveau de ton trou que je vais explorer avec mes doigts.
fourrer ma langue dans ta bouche. Je veux lécher tes paupières. Je veux descendre sur ton cou, suivre le mouvement de ta pomme d’Adam. Descendre sur ton torse, sur ta queue. Je veux sentir comme elle remplit ma bouche. Elle repose sur ton ventre, et déjà un premier filet de liquide spermatique en sort. Alors, je l’enserrerai de ma bouche, allant et Tu te laisseras faire et tu me laisseras procéder, un peu plus rapidement, au savonnage de mon corps. Et je te rincerai. Abondamment. Là, et pendant tout ce temps, j'aurai senti combien ton sexe se durcit, se raidit, combien, alors que je décalotte le prépuce, ton gland, rose, brille autant que ton regard qui m'observe faire. Et je sortirai de la baignoire, t'accueillant dans une serviette propre. Je te frictionnerai les cheveux, essuierai ton visage, tout le reste de ton corps, m'empresserai de la faire pour moi et t’inviterai alors, une fois séchés, dans la chambre. Là, je veux t’étendre sur le lit, lécher la moindre parcelle de ton corps, des pieds, jusqu’à la tête. Je veux t’embrasser. Tu acceptes ? Je veux fo venant le long de cette belle tige, l’humidifiant. Avant de me poser, à la perpendiculaire, de gober ton gland, allant et venant, de bas en haut. Je ne veux pas que tu jouisses encore, déjà, même si moi, excité par la perspective que tu puisses me pénétrer, je me décharge sur ton ventre. Non, je veux continuer de goûter, de saliver. avant qu'elle vienne me fouiller le cul, d’ouvrir mon petit trou qui t’attend. Et alors, je veux m’installer sur ta queue, m’asseoir dessus. Diriger le mouve
ment. J’y vais doucement. Je l’enfonce peu à peu. D’abord le gland, puis, un peu plus loin encore puis, complètement, enfouissant ta queue jusqu’à sa base. Maintenant, nous sommes deux à agir. Toi aussi, tu donnes le rythme, la cadence.


Nous entendons mes fesses qui claquen
t sur tes cuisses. En fait, parce que tu as envie de jouir, tu me retournes. Me voilà sur le dos, t’accueillant, les jambes en l’air, écartées. Tu t’enfonces de plus en plus vite. Ton ventre caresse ma queue. Tu claques de plus en plus fort. Ta bouche rencontre la mienne pour un profond baiser. Tu vas et viens. Tu fermes les yeux. Tu bandes les muscles. Tu te contractes. Je sens que tu vas venir. Je sens que tu vas exploser. Tu te retires et tu te branles, pour mieux éjaculer sur mon ventre, ma queue. Alors, tu me caresses, pour étaler tout ce jus.



02 janvier 2021

Promenons-nous dans les bois (suite et fin)

Après ce merveilleux 69 et un moment de repos Patrick s’est retourné sur le ventre, le visage tendu vers ma face et m’a interrogé : 
- As-tu aimé ? 
 Encore bouleversé par cette première expérience je lui répondis :
- Fabuleux ! Tu suces divinement. Ma seule expérience de cette sorte, c’était avec une prostituée, dans ma voiture, lorsque j’étais étudiant et cela n’avait rien à voir avec ce que tu m’as fait tout à l’heure. 
Avec une petit rire il me dit : 
- Pas étonnant. C’est toujours mieux avec un mec. Les filles sont toujours gênées et n’y mettent pas la même fougue .
De sa main droite il se mit à me caresser voluptueusement les pectoraux, puis l’épaule et le bras gauche, glissant vers l’aine, pendant que de son collier de barbe il me frôlait les joues, le cou. Le corps détendu, la respiration apaisée, je concentrais mon esprit sur le désir renaissant sous cette main chaude et légère comme une plume. Je sentais ma verge amollie et encore humide de salive et de sperme se redresser lentement sous l’afflux du sang et le gland venir frotter contre mon nombril. Visiblement je n’étais pas assouvi et Patrick le voyait bien, qui tout en me caressant les couilles me souffla : 
- Quelle belle bite. J’aimerais bien me la prendre dans le cul. Cela te dit ? 
 Pour toute réponse je me mis à lui flatter les fesses exposées à mes yeux, bien blanches et rebondies, fasciné par l’ombre de sa raie et le mystère de l’anus encore caché en celle-ci.

Sans plus aucune gène qui serait due à ma nudité et à la sienne en ce bois éclairé par la lune, je m’accroupis entre ses jambes musclées et commençai par un baiser au creux des reins, suivi d’autres sur la peau douce des fesses, puis léchai en salivant l’intérieur de sa raie, cherchant avec ma langue son petit trou. De mes deux mains j’écartai ses globes fessiers, pour atteindre enfin l’endroit secret recherché. Je crachai sur son œillet et de ma langue en forçait doucement le passage souple, chaud et odorant. Patrick redressait le cul pour venir au-devant de ces caresses intimes, visiblement enchanté et sous son ventre ainsi décollé du sol, sa queue prenait une belle amplitude.

-  Attends,  me dit-il enfin en se relevant et en me faisant faire de même. De ses deux mains il empoigna mes couilles et les fit rouler entre ses doigts, avant de saisir ma tige pour une masturbation lente. Lorsque sous sa main mon vit eut encore gonflé et fut devenu dur comme du bois, il s’approcha du tronc du hêtre, bras appuyés sur ce dernier, cul offert, me disant 
-  Maintenant prends moi.
Sans hésiter je collai ma verge contre sa raie, glissai le gland vers son anus, poussai légèrement, puis lui agrippai les hanches des deux mains et passait en force. Il eut un faible cri de douleur, accompagné d’un frémissement, mais ne se raidit pas. Mon gland était en lui et peu à peu tout mon manche l’embrocha, jusqu’à ce que mes testicules viennent heurter ses fesses.

Je restais un moment immobile, savourant cette sensation de dominer un mec, mon sexe dans ses entrailles, bien au chaud, excité par les contractions du sphincter refermé sur lui. Je plongeais ma main droite vers son membre viril dressé et le masturbais, tandis que Patrick me chuchotait : 
- Vas-y mec , c‘est vachement bon. Déchaîné par ces mots, je commençai des va-et-vient de plus en plus rapides avec mon sexe en lui et ma main sur le sien. Je le baisais comme je n’avais jamais baisé ma femme, avec une vigueur qui ne faiblissait pas, encore accrue au contraire par les feulements de plaisir de mon partenaire. La jouissance montait en moi, envahissant tout mon être, avant de se concentrer dans mon sexe et d’exploser en de puissants jets de foutre dans le ventre de Patrick. Ce dernier éjacula presque au même moment, rependant sa semence tiède et gluante sur ma main et l’écorce du hêtre, dans un grand cri d’extase.
Je suis resté ainsi de longs moments, empalé en lui, soufflant comme un phoque, la sueur coulant sur le visage, sous les bras et au bas du ventre, alors que mon amant, ma main toujours sur son vit encore bandé et humide de sperme, frissonnait toujours.


Ce n’est qu’après de longues minutes que j’ai commencé à me séparer de lui, mon vit ramolli et visqueux glissant doucement hors de son cul. Je lâchai son membre viril, essuyai ma main droite sur son ventre et l’embrassai tendrement dans le cou et sur les épaules. Il tourna sa tête vers mon visage pour me rendre un baiser en pleine bouche.
Apaisés, nous sommes retournés vers nos voitures, respirant profondément l’air tiède et parfumé des bois, les corps détendus, ivres de liberté. Par moments nos mains s’égaraient sur des fesses, des épaules ou nos bras enlaçaient les hanches de notre partenaire, accompagnés d’exclamations salaces et de gros rires. Arrivés près de nos voitures, nous bandions de nouveau. Patrick, les fesses appuyée sur sa voiture, me flatta la verge et les couilles, me disant: 
-  Tu m’as magnifiquement baisé, en vrai hétéro, mais tu ne sembles pas encore assouvi. Moi non plus du reste. Veux-tu continuer ?
Cette fois j’hésitais vraiment. Ce n’est pas l’envie qui me manquait, il suffisait de voir l’état de mon sexe dressé à mort. Mais cela me faisait peur. Peur de la douleur, peur d’y prendre goût, peur de me sentir honteux après l’acte. Mais ses mains s’emparaient déjà de mon cul, écartant les deux globes, glissant les doigts dans ma raie, pendant que sa bouche venait sur la mienne pour une magnif
ique pelle. 
-  N’aie pas peur mon chéri, laisse-toi aller, tu ne le regretteras pas.  Souffla-t-il entre deux baisers. De nouveau son sexe bandé se colla contre le mien en une douce pression alors que d’un doigt il pénétrai mon anus. Par un balancement de son ventre, il roulait sa pine sur la mienne, ranimant ainsi un violent désir en moi.

Mes dernières résistances tombèrent au contact de ce beau corps et d’une bite si dure et si chaude caressant la mienne, aussi d’une voix rauque je lui dis : 
- Vas-y. Prends moi. Je te fais entière confiance. Tu sais que je suis vierge, fais donc attention. Fougueusement je l’embrassais à pleine bouche et serrais sa poitrine contre mon torse. Son doigt fouillait toujours ma rosette et s’introduisait progressivement dans mon anus, me procurant un grand frisson. Je repensais alors à mes nombreux doigtages sous la douche, la tête pleine de fantasmes de membres virils me pénétrant au plus profond.
Mais Patrick ne voulait pas me prendre à sec. Il ouvrit la portière de sa voiture, sortit un tube de gel de sa boîte à gants. D’un signe, il m’invita à me pencher sur le capot de son véhicule,, le cul en arrière, m’écarta largement les jambes de ses genoux, me massa les épaules pour me détendre, puis le dos, enfin les fesses pour m’exciter. Je sentis qu’il m’enduisait la raie d’un grand filet de gel. De ses doigts il étendit le produit, en déposa sur le sphincter, l’introduisant ensuite dans l’anus. Avec un doigt, puis deux, il m’échauffa les viscères, de plus en plus profondément. Le lubrifiant faisait son effet, détendant les muscles de mon intimité et ouvrant mon cul. L’introduction d’un troisième doigt se fit sans aucun mal. Le sexe bandé contre le rebord du capot, les couilles serrées, l’anus en feu, les fesses tendues vers mon partenaire, tremblant d’attente et de désir, j’étais offert à ses assauts, toute volonté abolie.


J’ai senti son gland couvert de gel se poser sur ma rosette si bien préparée et s’introduire en douceur, sans effort et sans douleur. Celui-ci passé, mes muscles se sont refermés sur la verge de Patrick qui me pénétrait d’un seul élan, pour enfin buter contre ma prostate. Un plaisir inouï s’empara de moi, vite accentué par les mouvements de ce membre chaud, gonflé et rigide dans mon rectum. J’avais la sensation de ne plus faire qu’un corps avec mon amant, grâce à cette verge pleine de sang et palpitante, glissant et roulant en moi, partageant ainsi sa vie, son souffle, sa jouissance. Le mouvement s’accélérant, je commençais à donner des coups de cul vers le ventre de mon ami, pour mieux enfoncer son vit, m’alignant sur son rythme intense. C’est en hurlant de plaisir que j’ai reçu dans mon tréfonds la semence abondante de mon mâle dominant et que j’ai éjaculé en grands jets de foutre sur mon ventre et le capot de la voiture sur lequel j’étais penché.


Reprenant ma respiration, je m’effondrai dans les bras de Patrick et nous tombâmes, enlacés, sur l’herbe du sous-bois. Après quelques baisers échangés, épuisé, je m’endormis sur sa poitrine, le nez dans sa toison, le bras gauche entre ses jambes. Lorsque je m’éveillai au petit matin, j’étais seul, nu, étendu dans l’herbe près de ma voiture. Avais-je rêvé ?
Me relevant, je constatais que mon short et mon polo étaient déposés sur le toit de ma bagnole et qu’un papillon portant un numéro de téléphone mobile était glissé sous mon essuie-glace. Ainsi cette aventure était bien réelle, j’avais fait l’amour avec un mec et j’en avais éprouvé un immense plaisir. Lui aussi sans doute puisqu’il m’offrait la possibilité de le joindre et donc de le revoir.
Pensif, j’enfilais short et polo à même ma peau tachée de sperme séché, mettais le papillon dans ma poche, me glissais au volant et quittais les lieux en sifflotant, tel un athlète victorieux.
Patrocle




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