15 mai 2025

Fantasme new-yorkais



Je vais souvent à New-York.  Enfin, le plus souvent possible selon mes moyens et mon emploi du temps.  C'est une ville,  la ville où je me sens bien.  De fait,  dès que je sors de l'aéroport,  dès que je hume son odeur,  dès que j'en distingue les bruits,  je me sens chez moi,  bien.  Cette ville je l'ai connue sous de multiples facettes,  sous plusieurs climats et j'en ai parcouru de très nombreux recoins.  Quand je vais à New-York,  j'y vais seul et je fais en sorte de disposer d'au moins 2 semaines.  Je loue un appartement car habiter,  me sentir chez moi,  est primordial.  J'y vais seul car New-York et moi c'est comme une vieille histoire d'amour.  Il m'est arrivé bien sûr d'y aller accompagné mais le fil se distend, je ne suis plus en "communion avec elle.  Je préfère y aller seul aussi parce que je suis photographe et que c'est pour moi la seule façon de faire ; me perdre dans ses rues et voir,  ressentir,  capturer. 
Bien sûr, il arrive quelque fois que ces immersions me fasse vivre des histoires fugaces ; un soir un bar,  une nuit avec ou sans paroles.  Mais très vite, je retourne à mon trip solitaire. 
La dernière fois,  au printemps dernier,  tout a failli basculer.  
Un quai de métro à la structure métallique écaillée,  le bruit assourdissant des rames express qui ne s'arrêtent pas et qui se croisent,  le carrelage hors d'âge  qui indique la station. 
Un express passe sur mon quai,  j'attends la rame qui me ramènera uptown. Je suis dans mes pensées,  éreinté par ma journée de marche,  je regarde fixement droit devant moi,  sans rien voir.  
Et puis le voilà,  l'express est passé et il est là sur le second quai,  là juste en face et loin.  Il me regarde,  il sourit , c'est certain, pas de doute,  il me sourit. 
Il dégage un charme fou,  c'est comme si tout son corps m'envoyait, malgré la distance, une nuée d'hormones,  m'électrisant tout entier,  me donnant une envie folle de courir vers lui.  Je souris également sûrement d'un air contrit,  bête ; je dois avoir l'air con!
Un bruit assourdissant,  puissant,  une rame arrive et il a juste le temps de hausser les épaules avec une expression de déception.  Le train s'arrête,  il monte,  un dernier regard,  un " good bye " lu sur ses lèvres....
Soudain un grand vide autour de moi.  J'ai laissé passer la rame et pour la première fois dans cette ville, je me suis senti seul. Mon projet soudain n'avait plus d'importance.. le sentiment d'avoir loupé quelque chose. 
Je suis rentré chez moi et je le le voyais partout,  en fait,  je nous voyais partout ensemble.  Un marchand de glaces,  nous y étions, une glace à la main tout en rigolant.  
Une belle vitrine de fringues et nous voilà en train de commenter tel ou tel pantalon ou chemise. 
A la maison je l'imaginais sous la douche,  lisant un livre près de moi.  Toujours ce même sourire. 
Et puis, bien sûr,  j'ai eu envie de lui.  Envie de son corps svelte et délicatement musclé,  envie de sa peau blanche contrastant avec la mienne,  envie de caresser ses tatouages,  ses fesses musclées et fermes. 
Son corps d'une blancheur presque maladive, s'offre à mes mains. ses muscles secs et fermes roulent sous mes doigts tandis que nos langues bataillent. 
Il est là contre moi,  encore vêtu d'un horrible boxer "couleurs du drapeau des usa ". On s'embrasse avec une douceur infinie.  Je suis nu,  ma bite massive tendue vers lui qu'il caresse déjà.  Le coeur battant, je soulève ses bras et j'hume puis, avidement, lèche ses aisselles humides et odorantes. Je baisse doucement son boxer pour caresser avec ravissement ses fesses .
Il se retourne et se penche en avant frottant son cul encore en partie recouvert des couleurs nationales.  Ces fesses fermes et creuses que mes mains parcourent. 
Le message est clair; nous voulons la même chose. 

Je  baisse le boxer et frotte ma verge le long de son sillon.
- je veux que tu me baise me susurre t'il en se collant contre moi,  ma verge  confortablement installée entre ses fesses.  Tout me plait en lui,  ses oreilles légèrement décollées que je mordille, ses hanches fines,  son long cou que je parcours avec la langue. 
Il se retourne face à moi, 
- donne-moi ce qui va me posséder..
Ses caresses sont d'une douceur extrême et je tremble de désir. Il  pose un baiser sur mon gland déjà humide de mouille, puis ses lèvres descendent lentement le long de ma hampe pour finir sur mes boules et mon entrejambe.… Il sait y faire !
Il lèche embrasse,  joue avec ma verge avant de la gober presque entièrement. Je gémis et l'encourage a continuer.
Il se retourne à nouveau et frotte ma bite contre sa raie. Mon excitation est à son comble mais il fait durer,  monter en intensité.  On s'embrasse,  se caresse. 
Ma verge dont je connais la taille, est complètement gobée, ses lèvres venant régulièrement chatouiller mon pubis. J'adore ces moments, j’adore voir la salive couler le long de ma hampe, entendre ces borborygmes caractéristiques, ces dégurgitations passionnées. Une main tient ma verge, l’autre fouille mon entrejambe et mon sillon à la recherche de mon œillet. je me suis calé contre le canapé, cuisses bien écartées pour qu'il se sente bien confortable et je me suis laissé gagner par le plaisir. Le plaisir donné par sa bouche experte, par ce doigt qui maintenant caresse ma prostate, par ce corps si pâle, cambré devant moi et ce cul inaccessible encore. J’avais encore en tête, sa sublime porte que je rêve déjà de posséder. Après de longues minutes de ce traitement, je suis au bord de l’orgasme, le corps tremblant de spasmes. Pendant un moment, toutes mes émotions se sont concentrées sur le petit point que son doigt flatte et sur mon gland électrisé. Je gémis d'une voix rauque, ma queue gonflée prête à exploser. 

 Enfin je l'emmène dans la chambre.
 Il se couche sur le dos et me tend les bras. Je le lèche de partout, sa peau est si douce ! Doucement,  je le débarrasse enfin de son ignoble boxer.  Enfin sa queue est libérée je le suce avec plaisir mais ce qu'il veut c'est que je lui lèche la rondelle et il me pousse gentiment la tête vers son sillon tout en levant les jambes. Il écarte  largement les cuisses  et là, tout près de mes yeux et de ma langue, au creux de son sillon, une exquise fente rose. J'y glisse ma langue, caresse du bout des doigts les suaves parois de ses sphincters. 
 Il pousse mon visage  contre ses fesses et ma langue après avoir léché ses sphincters légèrement écartés s'enfonce profondément  provoquant de rauques plaintes.
Assis sur moi,  il reprend en bouche ma verge tout en collant son cul contre mon visage.  Ses fesses bien écartées m'offrant un merveilleux paysage ; sa rosace dans laquelle j'enfonce ma langue. Il est déjà bien ouvert j’arrive à le sodomiser rapidement avec ma langue.

- J’ai envie de te sentir dans mon cul 

Sans attendre, il écarte bien ses fesses avec ses mains pour me présenter sa rondelle. Je mets mon visage à hauteur de son postérieur et recommence à lécher au creux de son buisson, sa rosace.
Alors que je continue de le lécher, je le pénètre avec un doigt. Son sphincter est tellement détendu que j’en rentre rapidement un deuxième puis un troisième. Alors que je continue de le doigter, il gémit fort et me réclame entre deux halètements,  ma queue. 
Je retire mes doigts d’un seul coup et je profite de l’ouverture de son œillet pour le prendre d’un coup sec. Même si je rentre très facilement, il pousse un petit cri mais qui semble plus de surprise que de douleur. Surtout que dès que je me mets à le limer, il gémit de bon coeur.

Tandis que je continue de le ramoner plus ou moins vigoureusement, il se met à contracter ses muscles autour de ma teub et à bouger le bassin; à mon tour maintenant de gémir!
Je l’empoigne par les fesses, je me plante à fond en lui et je le défonce comme si je n’avais pas baisé depuis des années.
Je sens rapidement ses muscles se contracter de nouveau presque au point de m’immobiliser en lui. Je continue de le limer jusqu’à ce qu’il se détende puis je décule d’un seul coup. C'est tellement serré que je risque de jouir instantanément mais quel bonheur de voir sa rosace ouverte et palpitante!

 Nous changeons de position. Je le mets de nouveau en levrette sur le lit. Je viens derrière lui pour le prendre d’un seul coup. Mes coups de reins sont tout de suite très violents. Toujours profondément en lui, je le soulève contre moi, enfonçant ma queue encore au plus profond, si c'était possible, de son cul. Je prend sa tête  pour le rapprocher de mon visage, je le regarde, les yeux voilés par le plaisir et je l’embrasse avec passion. Nous nous enlaçons fougueusement. Son mandrin sec, tordu, veineux pointant, une perle de mouille accrochée au méat de son gland découvert. 
J'ai bien cru plusieurs fois qu'il allait jouir, mais à chaque fois je me suis arrêté à temps.
 Fouillant son petit cul brûlant,  Il râle de plus en plus fort, criant presque; 
son cul bien ouvert laisse glisser ma queue partout où elle veut aller!   Son dos vient se coller à mon torse, j'ai la tête qui arrive juste à son épaule!  Je lui mordille la nuque, tord sa tête pour lui bouffer la bouche. il bande c'est fou, je trouve que sa queue est encore plus grosse, plus raide, plus coulante!  C'est marrant de voir les expressions qui circulent sur un visage quand ta queue voyage dans son cul! Ça  m'excite de le voir se mordre la lèvre, ouvrir la bouche en un cri muet quand ma queue tape au fond de son cul, et se mordre quand elle se retire!
D'une main je commence à le branler lentement, j'aime sentir sa queue dans ma main, vivre, mouiller  durcir, gonfler encore et encore.

J'en suis,  nous en sommes à un point où il n’en faut pas longtemps avant d'être emportés par l'orgasme.

- je veux goûter ton foutre, je veux que tu jouisses dans ma bouche. 

Je me retire, et me présente debout devant lui. Il me branle, me suce et en quelques secondes je me vide en lui, son regard perce le mien et ma jouissance est incroyable, la quantité de foutre qui sort aussi. Il me nettoie mais mes jambes ne me portent plus, je m'allonge, il me suce jusqu'à nettoyer la plus infime trace sur ma queue. Je prends son sexe dur en main :

— Jouis moi dessus, je veux sentir ton foutre sur ma poitrine.

Il se laisse faire et jouit sur moi rapidement.

Je hurle de plaisir  et la réalité me saute au visage.  Je suis affalé sur mon canapé, le slip baissé et souillé,  le ventre couvert de foutre . Seul. 



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