12 mai 2025

Le stade



Tout près de chez moi,  j'ai la chance d'avoir un grand stade d'athlétisme et de base-ball . Il dispose de vestiaires et d'une grande salle de musculation et on peut les utiliser pour une somme assez modique pour les membres de l'université qu'ils soient professeurs,,étudiants ou employés, ce qui est mon cas puisque je suis au secrétariat administratif. 
Si le temps le permet,  j'aime bien commencer mon entraînement par quelques tours de piste avant de rejoindre la salle de muscu ou mon entraînement de lutte. Le mercredi en fin d'après-midi,  l'équipe de base-ball s'entraine également au centre du stade et j'aime bien les regarder faire dans leurs tenues spécifiques même si j'arrive pratiquement quand ils terminent.  Depuis deux ou trois fois,  il m'est arrivé de remarquer qu'un des joueurs ne suit pas tout de suite ses camarades vers les vestiaires mais s'installe dans les gradins et semble me regarder... il est plutôt mignon et peut-être que je me fait un film  mais quand même à chaque fois que je passe à son niveau,  je suis persuadé qu'il me suit du regard.  Alors hier,  je me suis arrêté à son niveau et je  l'ai salué. 
Son regard et son sourire ne faisant aucun doute. J'ai rendu son sourire et j'ai osé dire, 
- chez moi ou chez toi ?
- chez moi a-t-il répondu. 
Il était étudiant et avait une chambre dans une fraternité à quelques minutes du stade. Une chambre dont les murs étaient couverts de posters de joueurs de base-ball.  Un capharnaüm sans nom de bouquins,  de fringues sales,  ûe piaule d'étudiant, quoi!
À peine la porte fermée,  Alex,  c'est ainsi qu'il s'appelle,  s'est précipité sur moi pour m'embrasser fougueusement.  Sa langue luttant avec la mienne,  ses mains déjà sous mon tee-shirt.  Putain! Ce mec était chaud bouillant et me foutait les hormones à l'envers.!...
Je l'ai poussé sur son lit et ôté mon tee-shirt et nous avons repris notre duel de langue passionné.  En même temps,  je déboutonnais sa tunique et caressait son torse glabre.  Dieu qu'il avait la peau douce et fine ! J'ai caressé ses abdos finement marqués et voulant découvrir ce qui se cachait encore,  j'ai déboutonné fébrilement son pantalon.  Il ne portait qu'un petit jockstrap blanc qui ne recouvrait même pas son pubis glabre, rasé de près. 
J'ai quitté vaincu le combat de bouche pour me consacrer à baiser,  lécher, mordiller son sexe à travers le tissu.  Ça sentait bon ; il s'était entrainé et n'était pas passé par la douche et je me saoulais de ces senteurs. 
Quand enfin, je l'ai baissé,  sa queue s'est dressée bien droite,  bien que légèrement courbe, fine, nerveuse et circoncise.  Un régal que je me suis empressé de déguster. 
Ma langue passe le long de son  morceau et elle arrive à son gland que je me mets directement à téter. Puis, mes lèvres se mettent à descendre le long de son chibre. Il tressaille. Sa queue m’ouvre bien la mâchoire en grand. Je prends son engin en main. Je le branle tout en suçant la moitié de son morceau. Il pousse des gémissements. Je l'ai sucé ainsi pendant quelques minutes. Lui me caressant la tête. J’enfonce la teub encore un peu plus... ...  Je reprends après une petite pause. Je fais petit à petit descendre son gland dans ma bouche jusqu’à ce qu’il touche ma gorge mais le réflexe vomitif me la fait ressortir. Je finis par avoir la totalité de sa bite dans mon gosier et je me retrouve avec le nez sur son pubis glabre.. Je sens alors une bonne odeur de mâle qui m’enivre. Ses grosses couilles cognent contre mon menton. Je l'ai sucé avec envie jusqu'à ce qu'il me propose de me prendre...
Grosse surprise de ma part,  j'étais persuadé que c'était le contraire qu'il attendait de moi.. je m'étais donc mis en condition pour le posséder.  Mais voilà,  il voulait mon cul et sans hésitation,  j'allais lui offrir. 
Il s'est levé,  s'est débarrassé de ses fringues et je me suis mis à quatre pattes sur le lit.  Il a baissé mon pantalon et après m'avoir aidé à l'ôter, il a entrepris de me bouffer l'œillet.  
Il sait s'y prendre, sa langue laboure ma rosace et doucement enfonce ses dernières résistances,
Ses doigts fouillent ma raie, titillent mon petit trou… massant bien autour avec ses doigts. L'index entrer lentement et me caresse la prostate. Deux puis trois viennent , entrent, sortent, tournent, dilatant mes sphincters. Après cet exercice qui me laisse la rosace béante, je sens derrière moi, la longue bite qui masse mon petit trou et ça m’excite comme jamais; maintenant, je n'ai qu’une envie, c’est qu'il me laboure profond
Je me sais ouvert, offert . Je cambre encore plus mon cul, signe d'attente, d'offrande. Alex cependant recommence à me bouffer le cul comme un dieu et je ne peux m'empêcher de me mordre la lèvre pour ne pas gémir trop fort, c’est trop bon !

Très vite, je lui fais signe que je n’en peux plus et que je veux qu’il me baise. Alex comprend le message cinq sur cinq, se relève et vient se coller derrière moi, approche son visage de son oreille et chuchote : « t'es prêt? ». Bien sûr qu'il est prêt et plus encore ! 
- regarde juste mon trou!

et je lui tend ma bouche pour qu’il m’embrasse. Il me fourre sa langue entre les lèvres et commence des mouvements de bassin contre mon cul. Sa queue coulisse sur mon petit trou qui palpite, Que c’est bon! Il réintroduit un doigt qui me titille le cul pendant encore quelques secondes puis, constatant qu'il est bien ouvert, présente son gland à l’entrée de mon oeillet et commence à pousser lentement.

Les chairs s’écartent peu à peu et son gros gland passe la porte et se fraie un passage. C’est très légèrement douloureux, mais il a bien pris son temps pour me préparer ! Une fois le gland passé, il fait coulisser sa bite centimètre par centimètre, mais le plus dur est fait : le reste rentre comme dans du beurre et je ne peux plus m'empêcher de couiner sans retenue.
Alex s’accroche aux lanières de mon jockstrap  et fait des mouvements amples et langoureux pour bien démarrer et élargir le passage; ma chatte palpite de plaisir sous ces coups de boutoirs lents et méthodiques. Mon cul chauffe et sa bite gonfle encore plus. À chaque passage, ma prostate est agréablement stimulée. J'halète, la tête légèrement en arrière, le dos cambré, le cul offert. Tout en me pilonnant, Alex me mordille l'oreille , puis me roule un bon patin pendant quelques secondes tout en continuant à me labourer de plus en plus profondément.

J'ondule en rythme et tortille un peu le cul pour lui dire à quel point je prend mon pied. Alex semble prendre ça pour un signal d’accélérer et commence à aller plus vite, faisant des va-et-vient plus rapides et plus secs. Il prend alors une cadence soutenue et on entend, le clapotis excitant d'un pubis claquer contre des fesses,   

Je tend un bras en arrière pour palper le cul qui s’active contre le mien, malaxe ses fesses et y enfonce les ongles. Alex affiche un petit sourire pervers et complice, et il passe sa langue sur ses lèvres pour me montrer à quel point il kiffe mon trou. alors je resserre mon anus et Alex, la bite enserrée subitement dans la gangue des sphincters , murmure

- oh putain… ! 

 Apparemment, il semble apprécier. Une de ses mains continue de m'agripper la hanche, l’autre vient enfoncer deux doigts dans ma bouche, comme pour me remplir sans ménagement par tous les trous. 
Je  me trouve bientôt au bord de l'orgasme, d'un abime de plaisir. Ma queue recommence à se raidir et à s'agiter au rythme des coups de reins et, dans un dernier instant de lucidité, je parviens à murmurer entre deux gémissements




- je vais jouir mec, je vais jouiiiir! et, sans avoir eu besoin de me toucher, de longues et puissante salves de spermes viennent s'écraser contre mon torse et mon visage. .

Il m'a pilonné encore une bonne dizaine de minutes sans ralentir puis on l’entend dire doucement « je vais jouir ! ». Soudain, il se raidit et donne plusieurs grands coups violents jusqu’au plus profond de mon cul. Lui s’est penché sur moi, sa bite toujours en dedans, et il reste ainsi immobile ,planant ainsi quelques secondes avant de redescendre.

Il décule lentement, et j'ai subitement  l’impression que mon trou est vide pendant quelques secondes; le foutre coule doucement entre mes fesses ouvertes .
Je peux  enfin baisser mes cuisses endolories , le sperme coule encore de mon cul , ma queue encore toute humide repose mollement sur mon ventre. Alex s'en précipite dessus pour en récupérer toute la sève et je fais des même avec la sienne avant de nous embrasser passionnément. 
Une bonne douche nous attend!

















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