19 juillet 2025

Le peepshow de la 8eme av nyc




Je traînais sans trop réfléchir  comme j'aime à le faire quand je suis à nyc. Juste parcourir la ville un peu au hasard ; juste pour les ambiances, les scènes de rue,  les regards croisés. 
Le quartier était plutôt glauque,  des échafaudages un peu partout,  des mecs pas très nets, des peepshow et des sex-shop.  Je ne sais pas pourquoi mais cette atmosphère particulière  bien que zarbi a réveillé en moi, comme une envie de sexe. Une envie trouble. 
Je suis passé devant un sex-shop,  dvd, revues,  toys et cabines. Celui-ci annonçait en lettres rouges "peepshow male ".
Je n'e sais pas ce qui m'a pris,  sans hésiter je suis rentré. J'ai passé quelques minutes à regarder vaguement les marchandises et j'ai payé l'accès à la backroom.
 Ambiance de semi pénombre sous une lumière blafarde rouge.  Quelques mecs de tous âges et physiques déambulant.  J'ai pris possession de la cabine.  La même lumière glauque,  parois percées par des gloryholes et un écran tv passant un film de boules. Regrettant subitement ce coup de tête, je me demandais déjà ce que je faisais là.  je n'avais pas envie de faire la moindre rencontre mais il restait quand même en moi une sorte d'envie sexuelle...
Je me suis déshabillé mécaniquement.. entièrement.  Je savais les autres cabines attenantes occupées et je me savais observé et peut-être désiré.  Ma queue s'est,  à cette idée,  rapidement dressée et j'ai commencé à me caresser et à me branler. 
Des mains, des bouches s'offraient par les trous des parois mais je suis resté concentré sur mon plaisir.. plaisir d'être observé,  désiré, inaccessible mais peut-être pas.  Plaisir de savoir ma verge turgescente désirée.  Plaisir de sentir le plaisir monter doucement.  Plaisir d'être en communion avec des inconnus tremblant de désir sachant mon orgasme monter.....
Des mains fébriles se tendent,  prient pour recevoir ma semence. Je m'approche pas trop près, pas trop loin. 
Un ultime spasme et de copieux jets vont s'écraser sur la paume de la main inconnue. 
Je me rhabille calmement, quitte la cabine,  frôlant des corps en attente et je retrouve la frénésie de la rue.








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