Comme souvent le samedi, Luc, Nathan et moi avions passé la soirée en boîte à Lloret de mar.
Super musique, boissons à prix et dosages espagnols pas de comparaison vec les clubs de notre côté de la frontière.
À la fermeture, on était bien trop imbibés d'alcool pour reprendre la voiture et rentrer à Perpignan. Pas d'autre issue que de trouver une chambre d'hôtel et dormir un peu.
À quelques mètres du club, il y avait un "hostal" plutôt miteux mais pour quelques heures et vu l'état de nos finances cela conviendrait bien!
La chambre était d'un confort sommaire et ne disposait que d'un seul grand lit. A la guerre comme à la guerre, tant pis on se serrera un peu et crevés comme on était, on aurait pas de mal à dormir vite.
Quant à la salle de bain, mieux valait ne pas s'attarder sur la propreté... De toutes les manières aucun de nous trois n'avait assez de courage pour prendre une douche. On verra bien demain !
- allez, au lit on dort, s'exclama Nathan avec son humour plan plan habituel.
Il se débarrassa de ses fringues, les envoyant façon puzzle dans tous les coins de la pièce et ne gardant que son slip se jeta sur le lit qui grinça affreusement.
- je sors fumer un dernier clope, lança Luc en sortant de la chambre.
- je vous préviens, je dors à poil dis-je en me déshabillant.
Il ne fallut que quelques instants pour que Nathan s'endorme profondément à mes côtés et j'étais pratiquement endormi quand Luc revint dans la pièce.
- putain, les mecs ça schlingue grave ici! fit-il tout en se dévêtant à son tour
- et toi tu pues le tabac froid à plein nez! Retorquai-je à mon tour.
- allez pousse ton cul, me dit-il en se couchant en slip lui aussi à côté de moi.
Je me retrouvai en sandwich entre eux deux mais je n'eus pas le temps de réfléchir à cela, sombrant presque immédiatement dans un profond sommeil.
Il faisait encore nuit noire quand je me réveillai. Entre deux sommeils, je vis que Nathan dormait toujours profondément à ma droite ronflant légèrement et que Luc était collé à moi, son bras reposant sur mon ventre. Je bandais dur comme souvent durant le sommeil et j' eus encore un peu de lucidité pour jeter un oeil amusé sur les slips de mes potes juste pour vérifier s'ils bandaient aussi; le coton tendu ne trompait pas et je sombrai à nouveau dans mes rêves.
C'était doux, voluptueux ; une chaude sensation me ravissait; comme un soleil couchant estival... mais, je réalisai soudain que je ne rêvais pas. Une main caressait mon ventre, frôlait ma queue... Bien éveillé, du coup, je restai sans bouger ne sachant pas comment réagir; c'était bien Luc qui toujours collé contre moi, me caressait très doucement le sexe, le long de ma verge puis effleurant mes couilles et se glissant dans mon entrejambe. Rêvait-lilou est-il conscient ?
Soudain, je sentis comme un souffle frais sur mon ventre . Je fis mine de bouger dans mon sommeil afin de mieux visualiser la scène les yeux mi-clos.
Luc avait maintenant le visage au-dessus de mon bas-ventre, sa bouche, à quelques millimètres de ma bite, humait, hésitait encore. 
Excité mais faisant toujours semblant de dormir, je contrôlait de moins en moins les soubresauts de ma verge qui semblait vouloir de son propre chef, aller vers la bouche entrouverte si proche ; de fait, à deux reprises, le contact se fit atteignant ses lèvres. Quand sa langue vint lécher ma tige, je sus que mon cinéma ne pouvait durer plus longtemps. A cette époque là, j'étais le seul de la bande à me déclarer homosexuel. Les autres passaient beaucoup de temps à draguer les filles, à en parler aussi même si nos soirées commençaient et se terminaient le plus souvent entre nous , comme ce soir encore.
Excité mais faisant toujours semblant de dormir, je contrôlait de moins en moins les soubresauts de ma verge qui semblait vouloir de son propre chef, aller vers la bouche entrouverte si proche ; de fait, à deux reprises, le contact se fit atteignant ses lèvres. Quand sa langue vint lécher ma tige, je sus que mon cinéma ne pouvait durer plus longtemps. A cette époque là, j'étais le seul de la bande à me déclarer homosexuel. Les autres passaient beaucoup de temps à draguer les filles, à en parler aussi même si nos soirées commençaient et se terminaient le plus souvent entre nous , comme ce soir encore.
Maintenant que ma bite était dans sa bouche et qu'il me caressait d'une main les bourses, je devais réagir. Je posai délicatement ma main sur sa tête l'encourageant ainsi à continuer. Il me gratifia d'un beau sourire coquin, peut-être satisfait de mon assentiment tacite et reprit son labeur. Maintenant pratiquement tête-bêche, je le débarrassai avec peine de son CK, sa tige raide prenant un malin plaisir à s'empêtrer dans la poche kangourou. Je portai ce coton blanc à mon visage, me grisai d'un cocktail musqué de senteurs intimes et caressai la peau douce de ses fesses tout en découvrant avec bonheur et pour la première fois sa longue verge raidie . Les yeux mi-clos, une main dans la chaleur humide de son cul, le nez dans son CK et ma queue dure à rompre dans la gorge de Luc, je vivais un grand moment d'extase.
J'entendis Nathan grogner à mon côté ; je l'avais oublié celui-là ! De fait, Luc toujours affairé sur mon entrejambe, avait glissé une main dans la poche de son slip faisant émerger, à moitié décalotté, un gland massif.
- vous faites quoi là les gars ?! S'exclama soudain Nathan maintenant bien réveillé
- j'y crois pas Luc ! Une bite dans la main et une dans la bouche ?! Bravo l'hétéro ! Ajouta t-il faussement outré.
- allez, Nath laisse-toi aller aussi, viens prendre ton pied, viens goûter, " faute de grive"....
Il redressa son bassin, ôta son slip offrant à notre vue une queue courte et massive à la verticale contre son ventre. Il s'approcha de moi, me caressa le torse et le ventre
- et bien, si on m'avait dit hier soir que j'allais goûter de la bite...
Et se penchant, il enfourna ma verge que luc lui offrait.
J'étais fou de désir. J'avais à portée de mains et de bouches les queues de mes meilleurs potes ! J' engloutis la masse compacte et veineuse de Nathan et branlai d'une main la belle tige de Luc.
Nathan avait des fesses bien fermes qui se creusaient sous mes caresses et surtout à chaque coup de rein poussant sa matraque dans ma gorge. Du coup, j'eus une envie irrépressible de l'explorer, de lui manger l'oeillet.
- viens Nathan, prend ma place, je vais te faire monter au plafond. Il se coucha sur le dos, et je me glissai entres ses cuisses.
Ma langue parcourrai son ventre sa toison, sa hampe. Je gobai ses couilles lui arrachant de merveilleux gémissements étouffés par la tige de Luc dans sa bouche.
J'écartai un peu plus ses cuisses musclées et explorai maintenant son périnée velu; puis le soulevant un peu, glissai mon visage entre ses fesses, cherchant de la langue sa rondelle.
- viens, tourne-toi, je veux te bouffer le cul.
C'était délicieux ; au milieu d'un buisson humide et musqué, se trouvait sa petite rosace que je forçai du bout de la langue.
- putain mec, c'est super bon gémit-il; vas-y bouffe! et il s'écarta les fesses des deux mains pour me faciliter encore le passage.
- vas-y mon pote bouffe-moi le trou du cul!
Je m'activai, alternant maintenant ma langue et un doigt qui se faufilaient maintenant aisément en lui pour son plus grand plaisir si j'en croyais ses halètements. Pendant ce temps Luc maintenant derrière moi s'intéressait lui aussi à mon fondement. Il attira ma queue vers lui, la léchant tout du long ainsi que mes boules les gobant littéralement avant de fourrer sa langue dans ma raie.
Je me cambrai davantage et laissai maintenant ses doigts explorer entre mes fesses. Il glissa un doigt puis deux dans mon rectum. Je voyais bien où il voulait en venir et la simple idée de sa longue tige me labourant, faillit provoquer en moi un premier orgasme et je sentis mon sphincter s'ouvrir en grand.
- J'ai envie de te baiser Bastien dit-il d'une voix rauque et, sans attendre ma réponse, il glissa son gland entre mes fesses et me pénétra d'un coup.
- putain, mec, un peu de douceur, hurlai-je! Mais déjà ses couilles battaient mes fesses et ses va-et-vient soulevaient en moi des vagues de plaisir fou.
Nathan, se releva, vint se placer contre moi m'offrant sa matraque à bouffer, tout en me branlant.
Sans doute que la vision de Luc en sueur me pilonnant l'enflammait car il lui demanda d'alterner
- Luc, je veux y goûter aussi, laisse-moi la place!
Luc non sans regrets se désengagea, m'offrant quelques instants de répit
- ok mec, à toi ! Putain Bastien, t'as le cul open bar ! Vise-moi ça mon poto, une vraie chatte! je t'ai bien ouvert la voie!
J'en profitai pour me coucher sur le dos tout en glissant un coussin sous mes hanches. Nathan, me souleva haut les jambes les posant sur ses épaules et posa son gland imposant contre ma rondelle
Il me pénétra assez facilement tellement Luc avait préparé le terrain. Sa verge était plus courte mais très large et épaisse et il me défonçait littéralement m'arrachant des couinements de plaisir/douleur qui accentuaient encore plus son excitation le faisant redoubler d'efforts.
Luc tout en se branlant, l'encourageait comme un sportif
- allez vas-y défonce lui la chatte, fais le gémir, réveille les voisins.
Nathan en nage était presque couché sur moi , mes pieds prenaient appui sur ses bras tandis qu'il me pilonnait.
Luc excité, se posa derrière lui, se branlant frénétiquement, son autre main posée sur ses fesses accompagnant ainsi chaque coup de reins.
- C'est chaud les mecs; je crois que je vais jouir !
Ce qu'il fit quelques instants plus tard, couvrant le dos de Nathan de foutre.
- Hey Bastien, dit-il m'offrant sa verge couverte de sperme, prends et régale toi !
Je la léchai avidement, goûtant à la semence de mon pote.
Je sentais à l'intensité des coups de reins de Nathan qu'il était proche de l'orgasme et je voulais vraiment jouir avec lui.
Je pris ma verge en mains et me branlai au rythme donné par Nathan mais je ne pus résister longtemps à l'orgasme et dans un long gémissement, je couvris de foutre mon torse.
- je vais jouir moi aussi, cria Nathan le souffle court
- gicle-moi dessus mec, je veux voir ta bite gicler sur moi
Il se retira et trois copieuses éjaculations inondèrent mon torse et mon ventre mêlant nos spermes.
- Nathan, lèche mon ventre et fais-moi goûter
Il hésita quelques instants mais la curiosité l'emporta ; il me lécha et m'embrassa ainsi que Luc partageant entre nous nos spermes mêlés.
Épuisé il s'écroula sur moi ainsi que Luc.
Et nous restâmes ainsi tous les trois enlacés, sombrant dans le sommeil.
Le soleil était bien haut quand je me réveillai, Nathan encore pratiquement couché sur moi et Luc collé à mon flanc, un bras passé sur ma poitrine.
Ma queue raide du matin reposait sur mon ventre à quelques centimètres de celle de Nathan bandée elle aussi Je la caressai délicatement juste pour le réveiller tout doucement.
Quand il ouvrit les yeux, je l'embrassai et empoignant son mandrin lui dit en riant
- on remet ça ?!
- t'es fou ou quoi répondit-t 'il tout en me posant une bise sur le front
- mais c'était cool cette nuit... Maintenant j'ai plutôt envie de pisser.
Et il se leva d'un bond, réveillant du même coup Luc.
Je regardai son corps nu, ses belles fesses musclées rejoindre la salle de bains. Sans même fermer la porte, il se Cala jambes écartées contre les wc et nous régala de sa bruyante miction.
Luc, m'embrassa tendrement
- salut beau gosse, bien dormi ?
- je me jetai alors sur lui pour une tendre bagarre de chatouilles.
- finalement, c'est toi mon cochon qui a commencé, qui a initié cette nuit, t'as pas honte ?! Ça fait longtemps que t'en avais envie ?
Nathan revint dans la chambre, ce qui permit à Luc de ne pas répondre.
- bon, les gars, qui passe à la douche le premier ? Luc? Bastien, moi j'ai encore un peu la flemme. 
Luc se leva
- j'y vais !
Nathan se recoucha à moitié sur moi
- Hey les potos pas de cochonneries pendant ma douche, ne prenez pas de mauvaises habitudes hurla Luc depuis la salle de bain.
Nathan, son visage en face du mien posa tendrement ses lèvres sur les miennes et murmura
- Bastien, j'ai vraiment aimé notre nuit, j'ai aimé faire l'amour avec toi et je ne suis pas sûr d'avoir autant joui avant ça.
J'avais besoin de te le dire, je crois que c'est important.
Tandis qu'il me disait cela, sa main parcourait mon corps, jouait avec ma queue , s'attardait sur mes couilles.
Luc sortit alors de la salle de bain tout en s'essuyant
- je me dégageai subitement de son l'étreinte et me dirigeai à mon tour vers la salle de bain; je n'avais pas envie de répondre, troublé comme je l'étais par cette déclaration.
- à mon tour, atchao !
Peu de temps après, nous quittâmes la chambre à la recherche d'un bon brunch.
Nathan était d'humeur sombre et moi je rêvais d'une autre fois.
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