Mon pote Guillaume est un super obsédé de sexe. c'est un peu énervant d'ailleurs car il en parle beaucoup et il est capable de me planter là si un coup se présente dans la rue ou sur une des applications dans lesquelles il est connecté en permanence.
Hier, il m'a appelé en skipe pour me raconter son dernier délire ....
Depuis quelques temps il croise dans l'ascenseur de son immeuble ou dans le parking, un grand gars baraqué. Il doit avoir les mêmes horaires de travail car ils se croisent souvent. A chaque fois qu'ils se retrouvent tous les deux dans l'ascenseur, Guillaume a la nette impression que ce mec le mate. Il n'ose pas trop croiser son regard mais il sent à chaque fois comme si ses yeux étaient rivés sur son cul; pourtant c'est le genre beauf hétéro... il habite au cinquième et vit avec une minette plutôt quelconque et surtout, surtout, il roule en Laguna, là tout est dit me dit-il en rigolant. Mais voilà .... l'autre jour, Michel, le gars s'appelle Michel, lui met la main aux fesses dans l'ascenseur.
- je n'ai pas su quoi faire, je ne me suis pas retourné, j'ai rien dit et de fait il a continué de manière plus insistante. A l'arrivée à mon étage, quand la porte de l'ascenseur s'est ouverte, il m'a retenu par le bras
- j'adore ton petit cul mec.... fait pas l'étonné j'ai bien vu que je te fais de l'effet quand on se croise! tu sais pas mais j'ai une teub maousse costaud et je suis certain que tu vas l'aimer..
- je n'ai rien dit mais je n'ai pas pu m'empêcher de me retourner quelques secondes et de jeter malgré moi un coup d'oeil sur sa braguette ce qui ne lui a pas échappé!
- si tu veux on se retrouve ce soir 23h dans le parking.
- je suis rentré chez moi complètement bouleversé. Je me suis versé un petit whisky pour me remonter puis je me suis dit que c'était complètement dingue! ce mec, hétéro de base, marié, me proposait de me baiser dans le parking de notre immeuble! oublie ça mec, c'est de la provoc... Puis en début de soirée, j'ai commencé à me mettre les hormones à l'envers et à me dire pourquoi pas? d'ailleurs il ne viendra pas, il n'osera pas... T'imagines, si on se fait surprendre par un autre locataire! moi passe encore tout l'immeuble sait que je suis PD mais lui, il a sa meuf.. Allez je vais le provoquer!
J'ai enfilé un short, rien dessous et à 23h précises, je suis descendu dans le parking. Putain mec! il était là à coté de sa laguna en short lui aussi . à ma vue, il a souri,
- Met-toi à quatre pattes et baisse ton short, je veux voir ton cul.
Purée, j'y étais et je ne pouvais pas reculer sauf à perdre la face .. puis en quelques secondes, je n'étais plus le même; tout cela m'excitait, le parking, le beauf, la Laguna, le coté exhib, le danger de me laisser surprendre le cul ouvert sur le béton froid du parking.. j'ai baissé mon froc et écarté les jambes.
Il s'est approché, a caressé mes fesses en faisant un hmmmm de contentement puis il s'est placé devant moi, a baissé son short et m'a présenté une gaule de première.... qu'il a enfoncé à fond dans ma gorge me faisant presque régurgiter mais dès le deuxième coup de rein j'ai su la guider et la gober complètement, ses poils noirs chatouillant mon visage...
- je savais bien à qui j'avais affaire quand je t'ai repéré la première fois! on va s'éclater tous les deux.. allez bouffe-moi cette bite bien profond.. arrrgh!....
Le salaud s'éclatait vraiment et poussait sa teub encore plus profond en tirant sur mes cheveux d'une main et en me donnant de petites claques sur la joue. Il gémissait ou plutôt je devrais dire il grondait de plaisir; soudain, on a entendu la porte du parking claquer... On est restés un moment silencieux, lui toujours accroché à mes cheveux, la verge dressée devant mon visage. Elle était effectivement énorme, une courbe légère, un gland plus proéminent et des veines saillantes. Un de ces engins qui ont tout pour vous transporter au 7° ciel. Un vrai "brise cul" comme disent les québécois. Ses couilles pendaient, lourdes et généreuses et j'avais très envie de les goûter aussi..
Des pas résonnaient mais s'éloignaient .
Je me suis alors approché de ce gland qui pointait vers moi pour me remettre à l'ouvrage mais après quelques minutes de pilonnage il m'a demandé de me cambrer un peu plus,
Il s'est baissé et a passé un doigt au fond de mon sillon à la recherche de ma rosette; il l'a caressé un instant sur le pourtour et instantanément et intuitivement j'ai ouvert le passage.
- putain, ça m'a l'air accueillant, Je vais te le défoncer vite fait ! Viens on va se mettre à côté de ma bagnole, j'adore la voir pendant que je ramone.
Je me suis placé là où il me demandait. Il est resté un moment derrière moi à mater mon cul et j'ai tout fait pour l'exciter en faisant travailler mes sphincters ouvrant bien grand ma rosace.
Il m'a chevauché, a opéré une légère pression sur mes reins pour accentuer encore ma cambrure, juste assez pour poser son gros gland contre ma capsule. Il a un peu hésité sans doute étonné par la différence de taille entre son gland et ma rondelle - sûrement sa première fois par derrière -
Chaud comme je suis, Je décide de prendre le commandement et d'un vif mouvement vers lui, Je l'introduit toute entière ; son bassin cognant contre mes fesses. Bon, je dois dire que je l'ai sentie passer, ... et après ça il a commencé à me labourer avec force. A chaque coup de reins, ses couilles venaient cogner les miennes ; je le retenais pour ne pas gémir trop fort par crainte d'être surpris méme si le bruit de son braquemart me cassant le cul résonnait dans le silence du parking .
Après un bon moment, il s'est retiré et toujours la queue bien dressée, il m'a demandé de me déshabiller complètement et de le suivre vers le garage à vélos.
- t'es pas fou lui ai-je répondu, c'est super risqué. Ici encore on est à l'abri mais là-bas c'est tout près des ascenseurs, si quelqu'un vient à passer, j'aurais l'air malin complètement à poil.
Mais j'ai suivi.. à poil, bite dressée et short à la main. Il m'a demandé de me coucher sur un vélo et de le sucer à nouveau.
Sa grosse teub était toute humide de mon cul et ça m'a fait bander à nouveau. J'aimais bien sentir le froid métal du vélo contre mon gland décalotté..
Là encore il poussait ma tête m'obligeant à gober entièrement sa longue tige. Après cela il m'a de nouveau démoli l'oeillet pendant ce qui m'a semblé une éternité .
Puis il m'a traîné vers la Laguna. Je me suis couché sur le dos sur le capot. J'ai tâté ma rosette, un vrai gouffre béant à force d'être ramoné. Il m'a de nouveau empalé d'un coup sec et je pouvais voir son mandrin aller et venir en moi et j'ai commencé à me branler tout en le regardant me baiser. Ni lui ni moi ne faisions plus attention au danger d'être surpris. Trop excité et trop proche de la jouissance. Le silence du parking était rompu par le flip flop de la baise et nos gémissements.
J'ai envoyé en hurlant un paquet de foutre sur mon ventre et il a jouit en moi juste après.
Sans un mot et sans même me rhabiller, mon short à la main, on a pris l'ascenseur ensemble.. son sperme coulait contre ma cuisse. Il a passé un doigt dessus et me l'a donné à goûter sans un mot. Arrivés à mon étage il m'a donné un petit papier avec son tél.
- quand tu veux
Les portes se sont refermées. J'ai vite pris la clé de mon appartement dans la poche de mon short en espérant que personne ne sorte de chez lui.
Et ben Guillaume, quelle aventure, tu vas remettre ça ?
- j'en sais rien encore, le pire c'est qu'on se croise toujours comme si rien n'était
Je l'ai même croisé avec sa meuf ce matin..
- et si tu me le présentait ? Et si on se faisait un plan à trois ?
C'est une autre histoire...
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