02 janvier 2023

hormones à l'envers (4), retour du client

 


Effectivement il voulait me revoir ; il avait beaucoup apprécié le moment passé ensemble et il souhaitait "approfondir " en me proposant une soirée ensemble.  Il insistait pour que cela reste dans un cadre "professionnel " et donc tarifé.  C'était important pour lui et même indispensable à son plaisir.  Je ne me sentais pas une vocation de gigolo mais je pensais que cela pouvait faire partie de mon expérimentation sexuelle. 

Rdv fut pris dans un très bel hôtel de la ville. La veille de la rencontre,  un coursier est venu m'apporter un colis qui contenait un noeud papillon noir et un jockstrap noir également.  Je devais prendre possession de la chambre déjà réservée à 20heures précises,  prendre une douche,  revêtir le jock et le noeud papillon,  commander du champagne et l'attendre. 7

Quand il est arrivé,  en costume cravate,  Je devais me trouver devant la porte,  mains croisées contre mon sexe. 

Il a souri,  sans dire un mot il est s'asseoir sur le rebord du lit pour ôter ses souliers.  Les consignes étaient alors de m'approcher à quatre pattes, de prendre ses souliers et de les ranger puis de prendre sa veste et de la plier . Ensuite je devais attendre à ses pieds ses ordres..


Tout cela était assez con,  j'en convenait mais je n'ai pas encore bien analysé pourquoi,  ce jeu de rôle m'amusait et sans doute répondait à un besoin indéfini chez moi,  au delà de la passivité indispensable exigée et.. de sa queue qui savait s'y prendre. 

Il m'a longuement regardé en caressant très doucement mon visage et mon torse . Puis Il m'a fait comprendre que je devais poser ma tête contre son entrejambe. 

C'était dur,  visiblement il bandait déjà.  Par de petits mouvements de tête,  j'ai flatté sa verge qui pointait sous le tissu. Avec son autorisation,  j'ai doucement déboutonné son pantalon,  baissé la fermeture éclair, écarté les deux pans de tissu.  Elle était là,  déformant un slip de coton blanc.. J'ai caressé,  mordillé avec une envie folle de laisser son vit se détendre en dehors du carcan de coton.


Il m'a demandé de me lever , il m'a regardé longtemps,  caressé longuement,  embrassé plusieurs fois.. c'était très tendre et j'avais très sincèrement envie d'être là,  d'être avec lui, de lui. Il a souri légèrement quand il a caressé mon jockstrap et qu'il a senti sous sa main ma queue bien dure qui cherchait à s'extraire..

Il a ôté sa cravate sans me quitter des yeux et je l'ai aidé à ôter sa chemise blanche .

J'ai longuement joué avec sa queue qui déformait son slip puis il s'est levé pour baisser son pantalon et finalement m'autoriser à libérer son braquemart qui m'a sauté au visage,  le slip à peine baissé.  

Dieu,  Je ne me rappelais plus combien elle était belle,  lourde,  épaisse et un gland si proéminent qu'il remplissait à lui seul ma bouche. 

Je l'ai gobée,  léchée,  mordillée,  il mouillait copieusement.  Je l'ai aidé quand il a voulu enlever son pantalon et son slip qu'il m'a donné à renifler.  C'était une bonne odeur, mélange d'odeurs intimes et de lessive.

Il était nu devant moi,  sa verge  dressée n'attendant que la bouche.  J'ai pris son gland humide en bouche que j'ai caressé de la langue,  j'ai joué avec son méat avant de la gober au plus profond de la gorge. Vaincu, submergé de plaisir par  la texture de ce nœud gorgé de sang, le grain de sa peau au contact de mes lèvres, puis de ma langue qui en lèche la surface et en découvre les moindres détails.
Je colle contre mon palais ce bonbon délicieusement spongieux et du plat de la langue j'en lèche le frein pour en découvrir les petits vaisseaux sanguins qui parcourent cette zone et les saveurs récupérées en léchant la base de la couronne, avant de revenir vers le frein et de remonter darder le méat gluant de mouille. Ma langue n’a de cesse de s’enrouler autour de son très beau gland lisse et spongieux, mes doigts malaxant une paire de bourses à faire pâlir de honte un taureau. Sa respiration devenait plus rapide, quelques spasmes faisaient tressauter son membre. Concentré et euphorique jusqu’à ce qu’il me demande de me coucher sur le bord du lit.  Il écarte bien mes cuisses,  caresse mes fesses,  caresse d'un doigt mon sillon effleurant ma rosace ; je couine comme un chat impatient de recevoir sa pitance. Sa queue glisse contre ma raie,  c'est froid,  Je comprends qu'il mouille abondamment.  Il a envie,  très...

Mais il me soulève tendrement le torse,  pose sur mes lèvres un doux baiser. 

- prépare le lit dit-il simplement. 

J'obéis bien sûr, 

Il me met en position ; en levrette,  cuisses bien écartées,  dos cambré,  sur les coudes. Mais je comprends assez vite qu'il veut faire durer le plaisir,  le plaisir qui vient de l'attente,  de l'impatience. 

Longuement,  il lèche,  embrasse, mon cul, mon sillon,  mon oeillet.  Il extrait mes abricots de leur gangue, les tire vers lui,   les lèche,  les gobe et je couine de plaisir.

- viens,  couche-toi sur le lit près de moi.  Il voulait visiblement que ça dure,  prendre son temps, que  ça soit cool. Nous sommes restés ainsi enlacés côte à côte , lui caressant mes cuisses ou mon sexe moi jouant avec sa verge, entretenant l'érection.


- viens sur moi maintenant,  chevauche-moi. 

Où voulait t'il en venir? Je me suis  néanmoins posé sur sa poitrine,  cuisses bien écartées et j'ai compris, 

il m'e tend sa verge et me dit, 

- empale-toi.

- j'ai rapidement  pris le flacon de gel qui était sur la table de nuit,  j'ai tartiné sa verge et je me suis empalé sur lui. 

Le plus difficile a été son gland énorme, j'ai respiré un bon coup  puis tout est passé .

Mes pieds  posés sur ses cuisses, il  entame une série de va-et-vient enfonçant profondément son braquemart, dilatant mon oeillet. 

Cette position était pour nous hyper stimulante mais fatigante.  Il a voulu en changer.  Quant à moi,  je n'ai qu'à suivre ses instructions et me mettre dans la position qu'il souhaite.  Peu importe,  je n'ai qu'à me concentrer sur le plaisir donné par son vit qui savamment, un mélange de douceur et de fermeté,  me perfore le cul . D'ailleurs c'est tellement intense que mes couine deviennent des gémissements .. tellement forts que sa main contre ma bouche m'en empêche.. les voisins.  Pour le final,  il le veut en levrette  . Ma queue est toute raide dans la petite poche du jockstrap,  tout en encaissant ses coups de boutoir,  Je le branle avec frénésie tandis qu'il inonde mon cul de sa semence.  Je jouis peu après lui.  Il nettoie sa bite et mon anus du foutre versé et essuie sa main contre mon jockstrap trempé de mon sperme. 

Il est resté nu sur le lit défait , sa queue encore raide et humide, 

- Sers-moi une coupe de champagne, 

Debout toujours avec mon collier,  mon noeud papillon et mon jockstrap souillé de foutre,  une couille dépassant, j'attends ses ordres. 

- merci, habille-toi maintenant laisse-moi ton jockstrap,  c'est pour ma collection.  Près de la bouteille de champagne tu trouveras ton enveloppe...

Je l'ai laissé là à renifler mon jock  et je suis rentré chez moi dans l'air frais du soir. 




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire