Le nouveau roommate

 

J'ai eu la chance d'hériter d'une belle maison dans un quartier calme et central de San Francisco.  La maison étant très grande et coûteuse à entretenir, j'ai du me résoudre à louer une chambre à des touristes sur plusieurs plateformes spécialisée y compris sur des sites gay même si je préfère éviter... pas bon en effet de mélanger le plaisir au commerce!.

C'est une grande pièce,  bien exposée avec une vue sur le golden gate.  Pour l'autonomie et le confort des hôtes,  j'y ai installé une salle de bain avec baignoire à l'ancienne. 

Il y a quelques temps, j'attendais l'arrivée d'un client ayant réservé par un site gay.. mais c'était pour deux nuits seulement car il venait pour assister à la convention internationale des jeux vidéos,  étant lui même,  développeur de jeux. 

À l'heure prévue il s'est présenté à ma porte.  Et j'en suis resté bouche bée.. un mec , grand , élancé,  habillé d'une simple chemise cintrée et d'un jean beige le tout moulant un corps qui semblait parfait.  Un regard direct,  brûlant qui m'a immédiatement fait fondre.  J'ai émis une sorte de borborygme de bienvenue qui l'a fait sourire et je l'ai conduit vers la chambre.  J'avais un mal de fou à "être indifférent et professionnel " tout son corps dégageait des masses de phénomènes qui m'électrisaient et m'enchainaient totalement attirant mon corps vers le sien.. la sueur coulait le long de ma colonne vertébrale et je sentais les auréoles se dessiner sous mes bras.   

Lui restait semble-t-il de marbre,  viril,  faisant comme s'il ne s'apercevait de rien.

 J'ai baragouiné quelques mots du genre " si vous avez besoin de quelque chose,  n'hésitez pas,  bla bla",  et j'ai quitté précipitamment la pièce.  Lui laissant juste le temps de me remercier,  me féliciter pour la chambre et avec un petit éclat dans les yeux,  me féliciter pour mes tatouages apparents et avec un petit sourire malicieux pour "ceux que l'on ne voyait pas "!

Il n'a pas fallu longtemps pour qu'il m'appelle pour me solliciter un café ; dans mon trouble, j'avais effectivement oublié de réapprovisionner la cafetière de capsules. 

Je suis monté, je lui ai remis un bock de café chaud et une réserve de capsules.  J'aurai juré que sa main a retenu la mienne, l'espace d'un instant quand je lui ai remis le bock.  Là encore, j'ai filé très vite,  trop de peur de me précipiter sur lui, trop troublé, trop envie de lui...

Un autre appel pour me dire qu'il souhaiterais prendre un bain mais que J'avais oublié de lui mettre des serviettes à disposition. 

Quand il m'a ouvert la porte il n'était plus vêtu que d'un slip rouge.  Un corps magnifique aux muscles délicatement sculptés.  Pas un poil,  même pas la petite coulée brune ou blonde que j'aime tant pourtant qui descend délicieusement du nombril vers le bord du slip. Comme une invite à voir ce qui se cache... dans le cas présent,  le tissu rouge avait le plus grand mal à cacher un mandrin menaçant de jaillir du coton au moindre geste brusque.  Il s'est approché de moi tandis que je tentais de lui expliquer le fonctionnement de la baignoire.  Son odeur musquée me faisait presque vaciller et quand il a posé sa main sur mes fesses,  je me suis collé contre lui.  Nous avons  échangé un long et intense baiser avant qu'il ne me précipite sur le lit. 

Il m'a chevauché tout en m'embrassant goulument. Avidement.  Sa langue savait y faire et bataillait avec la mienne.  J'avais tous les sens en folie surtout quand il s'est redressé pour déboutonner ma chemise et mon jean.  J'avais une vue plongeante sur son torse magnifique,  ses abdominaux bien dessinés,  son nombril tout en creux et je mourrais d'envie de lécher passionnément ce que mes mains parcouraient déjà. 
Le gland de son vit poussait visiblement l'élastique de son slip cherchant à s'en extraire et croitre encore. J'avais tellement envie de le voir que Je l'ai juste un peu aidé en soulevant légèrement l'élastique de la ceinture. Ouah! Une verge relativement courte mais épaisse, veinée s'est immédiatement dressée pour cogner contre son nombril.  Putain,  je donnerais tout pour lécher cette matraque,  parcourir de la langue,  le tracé de ces belles veines gonflées...

Il s'est redressé,  a ôté son slip; sa bite toute droite surplombant de belles et bien fermes couilles rasée couleur pêche à croquer. Il a baissé mon jean et mon boxer. Ma queue toute raide est apparue et il s'est littéralement jeté dessus. Après l'avoir dressée un instant à la verticale tout contre son visage,  il a commencé à la gober centimètre par centimètre tout en me regardant dans les yeux.  

Sa langue faisait des merveilles et me soutirait mes premiers gémissements de plaisir... il est ensuite venu me rejoindre sur le lit et j'ai enfin pu lécher sa verge et ses couilles.  Son cul au dessus de moi,  cuisses bien écartées était glabre et sa rondelle bien appétissante... quand il s'est relevé de ma queue, 

- lève toi!  Je veux te voir en entier,  caresser tes tatouages.

Debout  face à lui,  je me suis débarrassé de mon falze et de mon boxer.  Lui assis sur le  lit,  sa belle queue dressée contre son ventre , balayait d'un regard plein de  désir mon corps tatoué,  le caressant d'une main et laissant l'autre caresser mes couilles pendantes. 

Il s'est ensuite emparé de ma longue queue pour la gober par de profonds va-et-vient. 

- ta queue, mec! Ta queue,  c'est un rêve ! J'adore les longues queues et la tienne,  mec, est exceptionnelle...sans compter tes couilles bien pendues.. celles-là quand elle te frappent les fesses,  c'est à mourir de plaisir.. tu vas me baiser mec!.. bien profond,  je la veux toute entière,  je veux sentir ton ventre m'écraser le cul,  tes couilles s'écraser à chaque cou de reins!

Il est descendu du lit pour,  à genoux sur la moquette me bouffer les couilles,  l'entrejambe et avaler encore et encore mon mandrin qu'il prenait toute entière à s'en étouffer.  Excité comme rarement,  je donnais de grands coups de rein pour lui baiser à fond la gorge.  Le bruit de succion,  sentir ses lèvres contre ma toison,  me faisait délirer de plaisir..

Puis  il m'a poussé sur le lit,  m'a caressé le torse,  enfoncé sa langue dans ma bouche,.. hmmm elle a le goût de ma bite! Puis caressé ma queue,  mes cuisses, .après cela Il a embrassé mes pieds, léché mes orteils; le mec est très chaud et il me  rend dingue tellement j'ai envie de lui! 

Son cul,  je veux son cul !.. 

- viens lui dis-je,  viens sur le lit que je te bouffe la rondelle. 

Il ne se fait pas prier,  à  quatre pattes,  cuisses bien écartées , son œillet est là,  bien visible, offert,  ouvert.  J'ai foncé dessus,  le visage entre ses fesses musclées,  j'ai fourré ma langue dans sa rosace ; il gémit et d'une main il est venu écarter encore plus ses fesses pour me faciliter la tâche.  

Je lui ai saisi la verge pour la porter à ma bouche pour la sucer et de lui même à coups de reins il s'est enfoncé dans ma bouche et m'a baisé à coups de va-et-vient.  

Je suis retourné à son cul,  j'avais trop hâte de l'enculer et je voulais juste  vérifier qu'il était prêt. 

J'ai craché sur sa rosace entrouverte,  j'y ai mis un doigt,  il a gémit,  puis un second que j'ai tourné et retourné en va-et-vient ; il a gémit encore,  comme une supplique.. Putain, comme ce cul est accueillant, !

J'ai présenté ma queue contre son œillet et l'ai pénétré par petits coups.  Quand je me suis su tout entier en lui, je me suis retiré presque entièrement pour m'enfoncer d'un coup violent,  premier coup de boutoir avant un pilonnage frénétique qui le faisait crier de plaisir. Ma verge guidée par mes mouvements de bassin  visitant chaque recoin de son cul. 

Déjà la sueur perle le long de mon dos..  Maintenant c'est lui qui me chevauche, soulevant son corps pour mieux s'écrouler sur moi et s'empaler à fond.  La sueur dégouline le long de son torse,  de ses abdominaux saillants.  Sa lourde queue un peu flasque frappe contre mon ventre à chaque fois qu'il s'empale . Et puis il fait quelque chose que je n'avais jamais vu faire ; il s'enfonce deux doigts dans l'anus tandis que ma bite le pilonne. 

Putain,  ce mec aime le cul !.. il me rend fou de plaisir...  je suis au bord de l'orgasme ! Heureusement,  il nous offre quelques secondes de répit.  Après s'être désolidarisé de moi,  il est venu sur moi.  Nous nous sommes enlacés,  embrassés avec passion,  mêlant nos corps trempés dans une danse ardente.  Puis il s'est glissé entre mes cuisses pour lécher ma verge humide de son cul.. il s'est ensuite de nouveau empalé sur moi pour reprendre ses va-et-vient frénétiques.  Sa queue maintenant était bien raide et il mouillait copieusement. 

- je vais jouir mec.. ta queue me ramone si bien que j'ai à peine besoin de me branler !

Tout en me regardant,  il a de nouveau glissé ses doigts dans l'anus,  ma queue coulissant contre.  

puis il a pris sa verge en main et dans un cri profond,  intense,  il a jouit couvrant mon ventre de son foutre. 

J'ai continuer à le pilonner dans de multiples positions. Il bandait dur. Je voyais à son visage,  à ses yeux révulsés,  qu'il était toujours au bord de l'orgasme et je voulais le faire jouir une seconde fois avant de jouir moi aussi.  Mais dans un long spasme,  ma queue enfoncée jusqu'à la garde en lui s'est contractée et a propulsé dans son cul plusieurs salves de foutre. 

Quand j'ai extrait ma verge,  j'ai admiré son œillet grand ouvert laissant couler les premières gouttes de ma semence,  je n'ai pas résisté à y fourrer ma langue, bataillant avec ses doigts qui eux aussi avides,  voulaient ne rien laisser perdre. 

Je l'ai embrassé tendrement,  heureux de ce moment rare.  Il bandait encore. 

- viens sur moi,  lui ai-je dit,  couvre moi de foutre.  Ce qu'il fit.

Après cela,  il n'y avait plus qu'à inaugurer ensemble la baignoire. 

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