10 juin 2023

rencontre au bar

 


Quelques fois,  la chance vous sourit... j'étais pour trois jours en séminaire de mon entreprise.  Des journées très denses emplies de discours,  présentations et ateliers.  Intéressant certes mais ces heures passées en vase clos dans un grand hôtel deviennent vite pesante et l'idée de passer la soirée à nouveau avec eux tous dans la salle à manger de l'hôtel m'était devenue insupportable. 

J'avais vu sur le web qu'il y avait un bar gay pas très loin de l'hôtel mais suffisamment pour ne pas risquer de voir débouler des... collègues. 

Il n'y avait pas grand monde ce soir là.  Quelques habitués qui discutaient autour de bières.  Personne ne faisait attention à moi et j'étais sûr de rentrer seul à mon hôtel. 

Accoudé au comptoir,  je fis ce que je ne faisais jamais...ou presque.. un essai d'application de rencontre.  Juste pour voir s'il y avait des mecs disponibles dans le coin ; certain par ailleurs qu'il y avait peu de chances qu'il y en eut ou en tous cas pas à mon goût. 

Et puis,  patatras ! Dans le mille ! Un mec était dispo et si les photos correspondaient effectivement à la personne,  il était canon.  Plus jeune que moi,  un corps athlétique, finement musclé,  une gueule à faire craquer,  bref un canon. 

Après avoir envoyé un court message,  ne croyant pas trop à mes  chances, la réponse ne tarda pas.  Visiblement,  il était proche de son smartphone.  J'avais dans mon message dit l'exacte vérité  sur mon âge et ma description physique.  Je ne me plaint pas de mon corps que j'entretiens le plus possible dans le peu de temps que me laisse mon boulot mais il est quand même le reflet d'un quadra.. et même si je sais avoir des arguments..de taille plutôt convaincants, je n'y avait pas fait état dans le message.

La réponse donc fut positive,  il disait avoir un tropisme pour les "mecs de mon âge " et était disponible de suite..

Je lui indiquai ma position,  bien entendu il connaissait, je n'avais plus qu'à attendre. Mon cœur déjà battait fort. 

Le serveur qui,  je ne m'en étais pas rendu compte, était resté près de moi derrière le comptoir, avait suivi toute la scène et.. tout lu !

- c'est Max,  un pote, vous verrez,  il est super sympa et..très chaud. 




Mettez vous là-bas,  dit-il en me désignant une table plus isolée,  quand il arrive je vous l'envoie.

Il ne tarda pas.  Il devait habiter vraiment tout près.  Il s'approcha de la table,  un sourire ravageur.  Vêtu d'un polo et d'un jean qui dessinaient parfaitement son corps, Il était simplement magnifique. 

- bonsoir,  moi c'est Max,  enchanté. 

- bonsoir, moi c'est Bastien,  assied toi,  tu veux boire quelque chose ?

Il avait dû lire sur mon visage mon inquiétude ; étais-je à son goût ? allait-il regretter ?

Non merci. tu sais,  tu es très sexy et j'ai très envie de baiser ! Tu habites loin ?

- je suis à l'hôtel royal pour un séminaire,  mais je préfère qu'on y aille séparément car il est bondé de collègues ! Et ma vie privée ne les regarde pas.. tiens voici le badge de ma chambre,  c'est la 103.  Je te suis.   

Max parti,  je finis ma bière; j'étais à la fois terriblement excité par Max,  son corps,  son regard,  sa franchise me plaisaient mais, en même temps,  j'étais inquiet car je ne savais pas bien pourquoi,  je voulais assurer et lui donner du plaisir.  

Le serveur me fit un clin d'œil au moment de me rendre la monnaie.  Je lui rendis son sourire. Cet instant de proximité  me fit du bien,  me soulagea un peu et me donna le courage de partir. 

Heureusement pour moi,  le hôte de l'hôtel était quasiment vide et surtout aucune tête connue pour m'arrêter dans mon élan et retarder les événements.  J'étais chaud bouillant et ma queue poussant le tissu de mon slip faisait une bosse significative et.. visible !

Je glissai le badge pour déverrouiller la porte de ma chambre.  Tiens,  personne,  la pièce était vide.. je pensais qu'il m'attendrait là sur le canapé du salon.... il devait être dans la chambre.. en tous cas je l'espérais...

Effectivement,  il était là  couché lascivement sur le lit,  dis légèrement cambré,  cuisses entrouvertes...

Il s'est alors levé pour me faire face.. mon dieu comme il était beau ; un long torse légèrement velu, des muscles délicatement sculptés,  un ventre plat,  une petite couronne de poils surplombant une délicieuse verge légèrement ferme. 

J'étais là contre le lit admiratif,  ne sachant pas quoi faire.  Son corps à quelques centimètres de moi exhalait une délicate odeur de mec ; je n'osais pas y poser mes mains.. tétanisé par l'intensité érotique qui se dégageait de lui.

Il m'ôta délicatement les lunettes, posa délicatement ses lèvres sur les miennes et m'embrassa avec une fougue toute en retenue.  Son regard était de braise tandis qu'il me débarrassait de la cravate avant de m'embrasser de nouveau.  Sa queue bien raide maintenant pointait sur mon pantalon et j'osai enfin  y poser une main pour la caresser.. elle était brûlante et  dure.  Ses petites couilles, tels des abricots roulaient sous mes doigts et tandis qu'il continuait à m'embrasser,  il émit son premier petit gémissement. 

Mes mains enfin se posèrent sur ses hanches,  comme une ultime et bête pruderie. Sa peau était d'une douceur extrême; j'osais enfin,  d'une longue caresse,  parcourir ses fesses  fermes et charnues. Je glissai un doigt dans le douce tranchée, titillai sa rosace .

Je voulais m'éloigner,  j'avais besoin de le regarder,  là tout près de moi,  agenouillé et dressé sur le lit,  son torse, ses pectoraux finement dessinés, sa  soyeuse couronne de poils,  sa verge à l'horizontale ... je voulais ardemment lui donner du plaisir.

Je m'assis sur le lit, tout près de lui. il  déboutonna ma chemise,  caressa mon poitrail velu. De nouveau un baiser ardent.. ce mec aimait la douceur de la découverte.  Je lui laissai l'initiative,  je voulais son plaisir,  je ferai ce qu'il attendait de moi.  

Penché sur moi,  sa bouche caressait mon ventre, mon torse,  titillait mes seins, tirait sur mes poils. Quelques fois sa main caressait ma bite route raide sous le tissu de mon pantalon que ni lui ni moi avions l'idée à ce stade d'enlever... même si  j'eusse aimé donner la liberté à ma queue de se détendre à l'air libre!  il lui suffisait de vérifier de temps à autre que j'avais du plaisir et cela ajoutait encore à la passion que j'avais pour lui . Pendant ce temps,  mes doigts caressaient ses couilles,  son périnée,  tapotait son étoile. 

Après cela, il vint à califourchon sur moi, cuisses bien écartées, son cul sur mon  visage, son œillet entrouvert à portée de langue.  J'y enfoui mon visage  tandis qu'il me déboutonnait enfin la braguette,  donnant la liberté à ma queue qui, à peine extraite, se retrouva toute entière dans sa gorge. 

Son œillet plissé bien humecté par mes assauts enflammés,  j'y fourrai un doigt puis deux. Je savais maintenant ce qu'il attendait de moi,  ses gémissements ne pouvaient tromper personne.  Je m'étais promis de satisfaire tous ses désirs et j'allais le faire, mais j'avais très envie moi aussi de sentir sa belle tige me laminer...

Il me fallait quand même me mettre à l'aise.  Je quittai son cul avec regret,  juste le temps de me débarrasser rapidement de mes fringues et très vite,  enfin nus tous les deux nous partîmes dans un beau corps à corps tête bêche. Je retrouvais les délices de son troufignon que je préparais avec mes doigts, lui s'activant sur ma queue. 

Mais il me fallait sa queue ; de belle taille plutôt épaisse, elle convenait parfaitement à ma gorge ; je le pompai tout en excitant d'un doigt sa prostate.  A ses couinements,  je compris qu'il était prêt,  en attente. 

Je lui demandai de se mettre à quatre pattes,  cuisses écartées et je plantai doucement mon dard en lui.  Quand mon bas-ventre fut au contact de ses fesses,  je poussai un dernier coup de reins afin d'être au plus profond de  lui,  soutirant un long et intense gémissement.  J'entamai alors un long, doux et puissant ramonage.  Quelques fois,  je me retirai complètement pour admirer quelques instants son œillet épanoui. 

Aussi intense que fut ces minutes de ramonage,  la douceur était toujours là,  embrassades tendres caresses mutuelles. 

Nous changeâmes de position.  Je voulais le regarder,  voir le plaisir monter dans ses yeux, caresser son torse trempé de sueur tandis que ma queue fouillait ses entrailles. 

Il se branlait doucement tout en couinant et quand il fut proche de la jouissances,  je me dégageait voulant participer plus tendrement à son orgasme. 

Je lui baisai les cuisses, le périnée,  les couilles,  son troufignon encore ouvert tandis que le plaisir montait en lui.  Bientôt il éjacula dans un spasme profond et intense,  couvrant son ventre de foutre. 

Je n'avais plus qu'à le lécher afin de partager sa semence dans un long baiser. 

Je me positionnai ensuite ai dessus de son visage pour lui offrir une longue salve de sperme. Max nettoya consciencieusement ma verge ne laissant plus une goutte de foutre.

Après cela,  calmés je lui proposai de rester pour la nuit, j'avais en effet envie et besoin de rester dans cette atmosphère de tendresse partagée,  dormir et m' éveiller auprès d'un mec,  caresser au lever son corps encore engourdi et chaud,  admirer enfin sa gaule matinale et pourquoi pas lui offrir un dernier orgasme. 

Mais à mon grand étonnement il refusa. Il se leva pour se rhabiller et ce n'était plus le même mec. Il devint froid et méprisant au point de jeter négligemment sur la table de nuit quelques billets,  comme pour me signifier qu'il avait acheté ces moments partagés ! Le " vieux " était l'escorte  du plus jeune.  Je ne répliquai rien préférant me remémorer les bons moments passés. 
















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