Quand Robert m'a proposé de venir passer un week-end chez eux à la campagne, j'ai immédiatement accepté. Cela faisait longtemps que l'on ne se voyait pas et nos relations s'étaient un peu distanciées. Pourquoi, j'en n'avais aucune idée. Nos boulots respectifs très prenants sans doute mais peut-être aussi avaient-ils senti que leur fils semblait attiré par les mecs et bêtement peut-être pensaient-ils que je pouvais avoir une mauvaise influence sur lui. Ce séjour serait peut-être l'occasion d'en savoir plus et j'étais curieux de voir ce que Seb était devenu.
À quelques kilomètres de leur village, après avoir fait le plein, j'ai consulté machinalement mon téléphone et j'ai vu qu'un message de mon application de rencontre venait d'arriver.. quelqu'un dans le coin en recherche...
J'avais pas vraiment envie de m'embarquer sur un coup rapide mais vous savez ce que c'est .. la curiosité l'emporte toujours.
C'était un super beau mec qui posait sur un engin de chantier exhibant un sourire carnassier et un braquemart comme je les aime ; pas très long mais épais et légèrement courbe... pour bien fouiller dans les recoins.
J'ai un peu hésité, un peu seulement avant de répondre pour demander ses attentes et il ne fallait pas être grand clair pour les deviner. J'avais un peu de temps avant d'arriver chez mes amis et j'ai dit banco. "Alea jacta est"...
Il m'a envoyé des coordonnées gps qui bizarrement, après un chemin étroit dans la forêt menait à une barrière. J'ai laissé la voiture là et inquiet de ne pas trouver de maison ni voiture ni rien, j'ai failli rebrousser chemin. Mais après 2 minutes de marche, j'ai aperçu une sorte de chantier et un engin genre pelleteuse.. il était dans la cabine.. une belle bête. Une tête carrée, visage pas rasé, un débardeur blanc tâché et pantalon braguette ouverte.
En m'approchant je vois qu'il se caresse la verge tout en me regardant d'un regard pénétrant. Je le regarde intimidé. Comme une invite, le temps de siroter un peu de bière à la bouteille, il lâche sa bite qu'il prend bien soin de contracter pour qu'elle batte contre son ventre. Clairement pour que je prenne le relais ; encore un peu impressionné, je n'ose pas tout en posant timidement ma main sur sa cuisse. Il la reprend alors et il me la tend. Je la caresse doucement ; je reçois sa chaleur intense, recueille du bout du doigt sa mouille abondante et je m'en sers pour la lubrifier par mes caresses.
Pendant ce temps il s'allume une cigarette, et se laisse branler, la tête reposée sur ses avant-bras. Je découvre ses aisselles velues et je me dis qu'il me faudra les lécher à un moment ou à un autre..
Je grimpe à mon tour sur l'engin et gobe enfin sa tige jusqu'à sentir son pubis mal rasé sur mes lèvres. Il gémit et me caresse doucement le visage et la tête. Contrairement à mes craintes initiales, le mec semble plutôt du genre tendre. C'est cool. Il couine plus qu'il ne gémit.
Il me prend la tête et se baisse pour m'embrasser tendrement.. puis il se lève, baisse un peu plus son pantalon, passe son débardeur par dessus les épaules et m'offre à nouveau sa tige à déguster.
Je déboutonne moi aussi ma chemise que je jette derrière moi et baisse mon pantalon et mon slip . Son pantalon est maintenant sur ses chevilles. Avec mes mains sur ses fesses musclées, je pousse son bassin contre mon visage pour bien gober sa verge. Il aime ça et ce que j'apprécie chez lui c'est son besoin de montrer régulièrement son plaisir par des baisers langoureux, de douces caresses . Une légère brise caresse mon dos et mes fesses, on n'entend que le chant des oiseaux et ses râles de plaisir.. une envie folle de me retrouver nu en pleine nature me fait ôter mon pantalon. Son chibre toujours en bouche, il caresse ma tête d'une main et se titille les tétons de l'autre, ajoutant à ses râles de petits couinements de douleur.- prends ma place me dit-il j'ai envie de te manger le cul
Je m'exécute immédiatement et il écarte mes globes, regarde un instant mon oeillet au fond de mon sillon,
- hmmm, prometteur! puis y glisse son visage. Sa langue léchouille ma rosette qui immédiatement s'en émeut et vibre de plaisir, ses joues râpeuses excitent délicieusement la peau délicate de ma raie. A mon tour de geindre !
Par moment, il tire vers lui ma verge pour mieux me bouffer la rondelle, et la pointe de sa langue s'avance plus profond encore dans mon anus.
Finalement, c'est sa verge qui vient forcer mes sphincters pour me labourer lentement puis fermement; à chaque coup de reins son pubis mal rasé vient griffer mes fesses. Agrippé à mes hanches, ses coups de reins s'intensifient, me percutent violemment, sa respiration s'accélère. C'est alors qu'il se retire, me retourne subitement, laissait mon trou grand ouvert, pour s'occuper de ma queue qu'il gobe entièrement en tirant fortement sur mes couilles pour m'attirer vers lui.
Il se relève ensuite, m'embrasse tendrement et me dit doucement en souriant,
- un peu plus et j'allais jouir... mais je voulais pas, pas encore, je veux profiter de toi le plus longtemps possible ; ça te vas ?
Ma seule réponse a été de coller ma langue dans sa bouche.
C'est super car je vois bien que ce mec a envie de moi et pas seulement de baiser. Il me caresse fiévreusement sur tout le corps, ses baisers sont passionnés. Nos queues entres nos corps serrés mènent un doux combat passionné. On ne baise pas, on fait l'amour et je vacille de bonheur.
Nos mains humides de sueur parcourent enflammées chaque centimètre de nos corps. On s'agrippe, on s'empoigne. On se mordille les lèvres, on se lèche le visage, les yeux; on branle nos deux verges ensembles. On s'écarte les miches. Tout cette passion me pousse à vouloir unir nos deux corps.
- viens, lui dis-je, prend moi à nouveau.
Il s'assoie sur un gros pneu abandonné là et je m'embroche sur lui. Quand je sens sa queue se raidir encore plus dans mon cul, quand je sens ses veines se gonfler de sang contre mes sphincters, je me dégage,
- je veux ta semence dis-je simplement ! Et très vite dans un râle profond et rauque il m'envoie de copieuses salves de foutre dans la bouche. Je me branle à ses pieds et couvre le tapis de feuilles mortes de mon sperme.Il m'attire vers lui, m'embrasse puis soudain me rejette !
Allez, c'est bon maintenant, casse-toi ! Faut que je bosse. Et il remonte sur son engin, l'air mauvais tandis que je rassemble mes fringues pour me rhabiller.
J'ai rejoint ma voiture. Heureux de cette rencontre et désolé pour ce gars qui
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