Arrivé chez eux et après avoir pris une collation avec mes amis, j'ai pris possession de ma chambre, un peu surpris de n'avoir pas vu Sébastien.
Après cela j'ai pris une longue douche, j'ai mis un short et un tee-shirt blanc et je suis allé rejoindre mes hôtes dans le jardin où ils m'attendaient pour l'apéritif et le déjeuner .
Enfin je l'ai vu. Il arrivait tout droit de la piscine, simplement vêtu d'un slip de bain australien, encore tout dégoulinant et un sourire ravageur à faire tomber n'importe qui. Il était resplendissant, tout en finesse et en muscles. Le triathlon avait fait de lui un athlète. Son corps, du torse au pubis à peine caché par son slip de nylon un peu lâche, était recouvert d'une délicate toison blonde.
En me voyant, Il s'est précipité vers moi et m'a enlacé chaleureusement.
- Sébastien, fait attention ! Tu es tout dégoulinant! Maintenant Bastien est trempé. Tiens, essuie toi ! Désolée Bastien!
C'est rien et ça rafraichit ai-je simplement répondu à sa mère.
- Seb, tu ne vas quand même pas déjeuner en slip de bain, s'il te plaît, va te sécher et t'habiller.
Pour le repas il s'était vêtu d'un short de foot et d'un débardeur. Il n'avait visiblement pas mis de slip car à chacun de ses mouvements, on distinguait sa longue verge se mouvoir sous le nylon et on pouvait même la distinguer en contre jour
Il n'a pas dit grand chose durant le repas mais Il m'a fait du pied pendant tout le temps. Je faisais mon possible pour éviter son regard mais je le sentais fixé sur moi. Brûlant.. et je sentais sous mon short les fourmillements caractéristiques du désir. Et je commençais à prendre conscience que c'était une erreur d'avoir accepté cette invitation. Où allait elle me mener !
Après le repas, la chaleur était telle que nous sommes tous allés dans nos chambres pour une petite sieste. J'étais assez fatigué par la route et cette proposition était bienvenue.
Je me suis déshabillé et étendu sur mon lit juste vêtu d'un slip.La chambre de Seb était mitoyenne à la mienne et nous avions à partager une salle de bain. Chacun pouvant y accéder directement.
Je me suis assoupi rapidement dans la fraicheur de la pièce, vaincu par la fatigue du voyage.
Un bruit m'a soudain réveillé. Comme une plainte, un murmure. Ma porte de salle de bain était ouverte et celle menant à la chambre de Seb était restée entrouverte. Cela venait de là... rêvait-il ? Était-il souffrant ? Je me suis levé et je me suis approché tout doucement de sa porte. Oups! Il était couché sur un canapé, entièrement nu, il se masturbait doucement.. Dans la semi pénombre de la pièce, sa longue verge était dans la chaude clarté d'un raie de lumière. J'étais comme subjugué, hypnotisé.
Sans réfléchir, je me suis approché de lui. Il m'a sourit tout en continuant de caresser sa verge. Je ne me souvenais pas qu'elle fut si longue et massive;
- j'espérais te voir arriver !...
sans me quitter des yeux, il caresse d'un doigt la bosse de mon sexe dans mon slip. Je m' empare de sa queue brûlante, veines saillantes, gland humide de mouille. Ses doigts caressent le coton de mon slip, un intense fourmillement me parcoure le corps, j'ai la chair de poule et ma verge sous le tissu caressée frémit.
Je me baisse vers lui, sa verge, ma main la parcoure , effleure ses veines gonflées, le gland humide, le méat entrouvert.. j'approche mes lèvres, goutte du bout de la langue sa mouille puis doucement la gobe toute entière tout en caressant ses couilles velues.
Lui s'intéresse à mon cul, tandis que je le suce, sa main caressant mon dos, descend doucement vers la ceinture de mon slip qu'il fait glisser. Un doigt caresse mon sillon, ma rosace, tandis que je redouble d'intensité sur sa verge. Je me cambre excité par ses caresses et je souhaite alors ardemment qu'il me pénètre..
Un doigt se glisse en moi puis un second et il comprend vite que je suis impatient d'être baisé.
- viens, mets toi confortablement là.
Sa bouche s'approche de mon cul, il écarte mes fesses, glisse sa langue dans mon oeillet ; je couine de plaisir, écarte encore plus les cuisses, il alterne doigts, langue, doigts et je le supplie de me ramoner.
Enfin, sa longue tige force le passage et bientôt elle est toute entière en moi. Ma main sur ses fesses tente de pousser encore mais son bassin appuie déjà fermement contre mes fesses. Il commence ses va-et-vient de plus en plus rapides. Quelques fois, sa verge sort complètement et je sens l'air frais s'engouffrer dans mon anus ouvert. Craignant que les parents nous entendent, J'essaie de gémir moins fort malgré le plaisir intense qu'il me donne.
- viens sur le canapé me dit-il en sueur
Sans attendre, étendu sur le canapé, j'ai écarté bien haut les jambes, ma queue dressée fièrement contre mon ventre.
- viens vite, ramone moi bien profond !
Sa queue s'est enfoncée direct en moi et il a repris ses coups de reins frénétiques.
J'ai commencé à me branler au même rythme que ses coups de butoir et bientôt j'ai joui comme rarement couvrant mon ventre de foutre.
Peu de temps après, sa queue s'est gonflée en moi et dans un spasme profond, sa semence a inondé mon cul.
Cet après-midi là, Seb et moi avons à peine discuté. Pourtant j'étais troublé, avec le sentiment d'avoir commis une faute.. Pas une question d'âge, même si j'ai presque deux fois son âge, il a 20 ans et c'est un adulte non seulement consentant mais très entreprenant ! Et expérimenté ! Non c'est plutôt un cas de conscience par rapport à mes amis qui sont ses parents et qui peut-être ne savent pas encore qu'il est gay...
Mais de mon transat, rien que de le voir déambuler autour de la piscine, se doucher ou sortir de la piscine avec son maillot de bain australien, j'en oublie mes réticences et j'ai une envie folle de recommencer. Surtout que chaque millimètre de mon tréfonds se souvient bien de son passage.
Et à charge de revanche car j'ai très envie d'explorer le sien de tréfonds !.
Le soir venu nous avons dîné tous ensemble de bonnes grillades sur la terrasse. Je ne pensais qu'à une seule chose.. qu'il me rejoigne dans ma chambre pour une belle nuit de découvertes. Mais à peine le repas terminé, il est parti sur son scooter "rejoindre des potes qui font une fête en ville ".
J'ai eu beaucoup de mal à m'endormir, sans vraiment y croire, j'espérais le voir me rejoindre après sa soirée. Mais pas question de me branler, je me réservais....
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