Le matin suivant, je me suis réveillé avec une gaule en béton, douloureuse. Pas de visite nocturne, peut-être n'était-il pas rentré ?
Impossible de pisser dans cet état ! Qu'à cela ne tienne, je pisserai sous la douche, j'ai ôté mon caleçon, admiré quelques instants ma queue dressée cognant sur mon ventre, le temps d'avoir de l'eau chaude.
L'eau chaude coule sur mon visage et mon corps, je caresse ma verge qui refuse de se reposer, je caresse mes couilles, mon cul qui à mon corps défendant à encore la mémoire de sa queue et j'ai beau y glisser un doigt cela ne me calme pas. Pas question cependant de me branler, je veux que le désir reste entier le temps qu'il faudra, je me réserve pour lui.
Soudain des mains se sont posées sur mes fesses, un corps s'est collé contre le mien, une bouche s'est posée sur ma nuque ; c'est lui bien sûr !
- Alors t'es chaud bouillant, mon pote, à qui tu penses pour bander comme ça ? Il glisse un doigt dans mon cul , Instinctivement je me cambre,- hmmm, on a faim à ce que je vois ! On n'a pas le temps, désolé on nous attend pour le petit déjeuner. Donne-moi du savon que je te lave.
Il m'a tendrement frotté le dos et tout le corps sans rien oublier pour finir par ma bite qui n'a pas tardé à envoyer de belles giclées de foutre sur la paroi vitrée.
- allez, dit-il en se rinçant, Dépêchons nous, tu ne perds rien pour attendre, j'ai très envie de te baiser à nouveau !
- mais toi aussi, Seb, tu ne perds rien pour attendre, j'ai une grosse envie de te labourer le cul et je ne partirais pas d'ici avant !
Nous sommes tous, sauf Seb qui voulait aller courir, partis au marché de la ville proche. A notre retour à la maison, Robert a suggéré à Seb de m'emmener faire une bonne balade apéritive dans la campagne environnante.
Nous avons marché une bonne heure dans les collines boisées, longé un beau lac cela sans trop échanger. Il fallait pourtant que l'on se parle !
Arrivés dans une sorte de clairière au bord du lac, j'ai rompu le silence,
- tes parents savent que tu préfères les mecs ?
- j'en sais rien et puis je m'en fous. Ils voient bien que j'amène jamais de filles à la maison !
- mais tu crois qu'ils réagiraient comment?! T'as 21 ans ! Et puis, je suis mal moi ! S'ils savaient ce qu'on a fait, pas sûr qu'ils me pardonnent..
- hey ! On est adultes tous les deux, tu me plais, j'ai envie de toi et j'ai quand même l'impression que je ne t'ai pas forcé et je crois savoir que t'as pris ton pied...allez, n'y pensons plus, j'ai une furieuse envie de toi, de revisiter ton cul ! Ici tu pourras crier tout ton saoul !
Et il m'attire vers lui pour un baiser profond et passionné.
C'est parti ! Impossible de résister. Tout en se bécotant, on se déboutonne nos chemises conjointement. Je sors sa queue de son short, chaude, épaisse, je la prend en bouche tandis qu'il s'accroche à une branche au dessus de lui.
à son tour il me bascule sur une barque renversée et s'occupe divinement de ma bite qu'il bouffe goulûment tandis qu'il malaxe délicatement mes couilles ou porte ses doigts dans ma bouche pour que je les lèche au même rythme que lui. Puis il se lève, m'embrasse goulûment tout en frottant sa queue contre la mienne. Sa bouche a le goût de ma bite et j'aime ça !
- L'endroit est peut-être un peu trop risqué, dit-il tout en continuant à me bécoter, quelqu'un pourrait venir chercher une barque.. et on a très envie de se donner à fond, pas vrai.
- montons un peu plus haut on sera à l'abri des regards.. peut-être pas des oreilles.. mais si quelqu'un vient ici on le verra approcher d'en haut, il faudra juste que tu gémisse moins fort mon chéri !
Je dirige Seb vers un arbre couché, défait lentement le cordon de son short, prend en main son vit dressé, l'embrasse sur tout le torse avant de gober à nouveau sa tige toute entière. Il gémit de plaisir mais déjà le bougre s'intéresse à mon cul! Sa main descend le long de mon dos, se glisse sous mon short et caresse mes flancs avant de s'immiscer dans mon sillon.
On s'embrasse à nouveau. Tendrement enlacés. Il ôte ma chemise pour mieux me regarder et me caresser. Je ne suis pas en reste, mes mains parcourent chaque centimètre de son torse, je lèche et mordille ses tétons, caresse ses abdominaux.
- je sais que tu veux me baiser et promis je te donnerai mon cul mais là je sais que tu crèves d'envie de me recevoir une nouvelle fois .
On se déshabille sans se quitter des yeux. Quel plaisir de se retrouver à poil en pleine nature ! Des rayons de soleil traversent la frondaison et éclairent d'une chaude lumière nos corps enlacés. Je me positionne bien cambré, jambes écartées sur le vieux tronc couché, la queue raide à rompre frotte par à-coup sur l'écorce, des oiseaux chantent, on entend le frémissement des feuilles des arbres. C'est une sensation nouvelle !Il claque mes fesses, glisse son visage entre mes fesses, humecte abondamment mon sillon, mon oeillet,
- hmmm, ouvre bien ton trou pour moi, .. oui comme ça et par petits coups de langue fugaces il m'arrache mes premiers couinements de plaisir. Quand il y introduit son pouce, je me cambre encore plus impatient d'en avoir plus.
Puis je sens sa verge glisser dans ma raie, j'écarte encore plus les cuisses, son gland humide est là tout contre ma rosace,
- viens mec, viens
Et dans un profond gémissement, j'accueille chaque centimètre de son sexe jusqu'à sentir son pubis contre mes fesses.
Ses va-et-vient se font rapidement de plus en plus fermes et énergiques. Sa verge turgescente, fouille mon tréfonds selon les subtils mouvements de son bassin et je hurle presque de bonheur !
- stop ou encore, me susurre-t-il à l'oreille, je suis au bord de l'éjaculation mais si tu veux on peut prolonger, ..
- te gêne pas ! Fais ce que tu veux !
Il a alors pris une cadence plus douce, je me suis emparé de ma queue humide de mouille que j'ai branlée au même rythme que lui.
Viens changeons de position. Il s'est alors couché à son tour sur le vieux tronc, sa bite dressée et je n'avais plus qu'à m’empaler dessus,
- c'est à ton rythme maintenant ! Quand mes fesses se sont retrouvées sur ses cuisses, j'ai su que je l'avais toute entière en moi. J'ai serré le plus possible mes sphincters et j'ai entamé mes va-et-vient en me branlant au même rythme. A lui aussi de gémir bruyamment. Si quelqu'un venait à passer, sûr que l'on ne l'entendrait pas vu le bruit que l'on fait mais on s'en fout !
- viens c'est épuisant ! Accroche toi à l'arbre là bas.
Sitôt dit Sitôt fait. A peine ai-je le temps de me cambrer qu'il m’empale de nouveau et cette fois-ci ses coups de reins sont puissants et rapides, je me branle en même temps et bientôt,
Seb, ne ralentit pas, je vais jouir ; vas-y mec, défonce-moi bien profond, arghhh!... et soudain j'inonde de foutre le tapis de feuilles mortes ! Il s'extraie de moi, m'enlace et viens mêler sa semence à la mienne.
- cool, on a jouit ensemble ! Et on s'embrasse tendrement..
- Seb, faut qu'on rentre pour faire le marché avec tes parents mais j'ai encore envie de toi, tu me rends dingue.
Nous avons rejoint les parents au marché, j'ai acheté ce qu'il me fallait pour le repas du soir que j'avais promis de préparer.
Déjeuner en ville puis sommes rentrés à la maison et la journée a passé très vite. petite sieste, rigolades à la piscine, puis j'ai cuisiné et tout le monde a semblé apprécier mes plats. Super soirée en terrasse à papoter et jouer au cartes. Seb est encore parti "boire un coup en ville ".
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