Extinction des feux. Dans la pénombre de la chambre, j'ai du mal à m'endormir. Tout mon corps se souvient de ses caresses, mon cul garde vif le souvenir des va-et-vient de sa queue,. Je me caresse partout et chaque centimètre de peau caressée du bout des doigts, ravive l'intensité de ses caresses.
J'espère encore de tout mon cœur qu'il viendra cette nuit mais dieu seul sait où et avec qui il est.
Je baisse mon slip, libère ma verge et mes boules. J'écarte légèrement les cuisses et glisse un doigt dans mon sillon. Caresse ma rosace qui frémit à ce contact. Je bande. Je caresse ma verge doucement. Pas vraiment envie de me branler mais juste me remémorer ses caresses.
La porte de la salle de bain a grincé. J'ai vite remonté mon slip et le drap.. mais c'était lui..
- alors coquin, on se tripote? Encore chaud, dit-il en se rapprochant du lit. Il ne portait qu'un boxer noir. Comme Il est magnifique dans la pâle lumière de la chambre. Il s'est assis sur le rebord du lit, a baissé le drap,
Oh, un ck vintage, dit-il en le caressant et c'est bien dur dedans ! J'ai envie de te donner du plaisir, tu veux? Laisse-toi faire, passif total, je t'attache les mains à la tête de lit et tu lâche prise.
A califourchon sur moi, il m'embrasse longuement, tendrement. C'est une sensation terrible, une envie folle de le prendre dans mes bras, l'enlacer et le caresser, mais impossible. Tout doucement ses caresses du bout des doigts, du bout des lèvres, se font plus précises. Même si régulièrement il vient m'embrasser, me baiser la nuque. Tout doucement ses caresses descendent le long de mon torse, de mon ventre.
Puis il pose son visage sur mon slip caressant le coton sur ma verge et mes couilles.
- ça sent l'homme, t'as bien fait de le garder sur toi, j'adore !
C'est une vraie torture car il fait mine en soulevant la ceinture élastique de me l'ôter. Mais il continue à caresser, mordiller mon sexe à travers le coton tout en caressant mon torse et mon ventre, titillant mes tétons ou suivant du doigts les sillons de mes abdos.
Enfin, il soulève la ceinture de mon slip. Mon sexe s'est aussitôt épanoui sur mon ventre. Quelques instants seulement car très vite il le pris en main pour le lécher doucement, jusqu'aux couilles; insistant sur mon gland, insérant un bout de langue dans le méat. Je le supplie de me libérer tellement je veux le toucher , le caresser, l'aimer.
Il revient à califourchon sur moi, son boxer est à quelques centimètres de ma bouche. Je distingue la forme de son sexe sous le tissu noir, je relève la tête pour l'embrasser, le sentir, le lécher, le mordiller tandis que d'une main il continue à s'occuper de ma verge.
- tu la veux ? Dis-moi que tu la veux !
- sors-la, je veux la voir, la lécher !
Il baisse alors son boxer, libérant enfin le braquemart que je commence à bien connaître et qui m'a donné tant de plaisir déjà. Elle se déploie devant moi, je la lèche, l'embrasse puis Il la pousse dans ma gorge à coups de reins. Je voudrais tellement le toucher!
- tu veux mon cul, hein ?! Je le sais ! Et tu l'auras mais cette nuit, je te l'offre aux yeux et à la langue. Et il se lève le temps d'ôter son boxer et de nouveau à califourchon, je me retrouve avec ses fesses devant les yeux, le sillon bien écarté, sa rosace légèrement entrouverte. Il se colle à mon visage, tout en ondulant sur moi. Ma langue ainsi parcoure sa raie et se glisse dans son œillet.. sa verge se frotte contre mon ventre et sur la mienne, c'est un feu d'artifice de sensations..
Il me branle tout en ondulant sur moi , j'adore sentir sa queue glisser sur mon ventre humide de nos mouilles respectives.
Tant de sensualité passive, me mène au bord de l'orgasme. Ma verge frémit, d'intenses fourmillements font trembler mon bas-ventre, mon oeillet se détend,
- je vais jouir Seb, c'est trop !Il se déplace alors entre mes cuisses, sa bouche contre mes couilles, sa main caresse ma verge, mon gland, alternant avec sa langue mais à chaque fois que je suis au bord de l'éjaculation, il s'arrête, je mouille comme jamais et je le supplie de m'accorder l'orgasme..
Jusqu'à ce que dans un spasme incroyable, les yeux révulsés, je couvre enfin mon ventre de foutre.
Après m'avoir libéré nous sommes restés un moment enlacés puis il m'a quitté,
- bonne nuit ! Maintenant je crois que tu va dormir comme un bébé.
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