promeneur matinal

La journée promettant d'être une nouvelle fois très chaude et Dick s'était levé tôt.  On était dimanche, il n'était pas en retard sur les divers et nombreux travaux de la ferme et il avait décidé de consacre cette matinée encore fraîche pour travailler à la restauration du vieux tracteur de son grand-père.  Ses parents étaient partis en ville visiter des parents,  il serait tranquille toute la journée.  

La ferme était située  en haut d'une petite colline surplombant les vignes.  Il y avait bien une route proche mais avec peu de passage et il fallait emprunter un petit chemin pour accéder à la propriété.  Il y avait bien quelques randonneurs le week-end mais globalement ils n'étaient pas trop dérangés. 

Ce matin là donc,  il bute depuis un bon moment sur un problème avec le carburateur et cela commence à le désespérer surtout que le soleil 

chauffait déjà..  En sueur,  il a ôté son débardeur déjà moite et sale et c'est torse nu qu'il a continué à s'énerver avec son foutu carbu. 

- quel bel engin ! C'est une vraie pièce de collection !

Absorbé par sa tâche, il n'avait pas entendu ce mec arriver .

- bonjour, je m'appelle Bob, je suis en vacances à S.. et j'ai profité de cette belle matinée pour faire une longue ballade mais il commence déjà à faire chaud !

Dick s'est relevé pour découvrir un petit gars torse nu et plutôt bodybuildé.  

- bonjour,  moi c'est Dick.  Fait déjà chaud dit-il en s'essuyant son torse trempé de sueur avec son débardeur. 

Après les quelques banalités habituelles, Bob s'est proposé de regarder lui aussi le moteur.  

Il s'est approché du tracteur. Une forte odeur un peu âcre de sueur est venue caresser les narines de Dick et il s'est surpris à trouver ça agréable. 

Bob s'est baissé pour examiner le carburateur offrant alors à Dick une vue plongeante sur "son sourire du plombier ". Dick troublé par ce sillon intime à découvert,  n'a pas entendu Bob lui poser une question..

- quelque chose ne va pas, Dick ? 

Bob a bien sûr bien compris ce qui se passe et s'en amuse.. Dick lui plaît bien.  Son corps sec, délicatement musclé,  tatoué et brillant de sueur l'attire et son trouble pourrait être se plaît-il à fantasmer la promesse de passer un bon moment ensemble..

- Non, non tout va bien,  il fait chaud c'est tout.. mais en disant cela,  il se surprend à caresser son entrejambe car il sent à sa grande surprise,  sa queue frémir dans son jean. 

Bob est resté un moment à tenter de comprendre le problème du moteur mais la panne dépasse ses compétences.  Il se relève et déclare son impuissance à Dick. 

Celui-ci a le regard un peu trouble et Bob remarque le jean légèrement bombé de Dick. Il se lance 

- on dirait que nous avons envie tous les deux d'un peu de distraction... j'ai très envie de voir ce qui se cache sous ce jean..

- heuh, désolé mais je ne suis pas gay.. répond  Dick  d'une voix tremblante...

Bob se rapproche doucement, pose ses mains sur les hanches moites de Dick. Il a la chair de poule mais ne le rejette pas. 

- je t'assure,  je ne suis pas gay.. 

- pas de problème,  Laisse-toi aller,  tu vas aimer,  je m'occuper de tout.. et Bob sans attendre la réponse, commence à lui déboutonner la braguette. 

Bientôt, la bite de Dick jaillit entre les mains de Bob.  Elle est brûlante et se détend rapidement sous la caresse de Bob. Une queue superbe, légèrement arquée, bien raide et fièrement dressée vers son nombril. Il arbore un gland exceptionnellement gros qui attend ses faveurs buccales. Le prépuce se déploie et glisse sous ses doigts. Son dard libéré, suinte d'une sève translucide. Bordel, qu'est-ce qu'il est bien monté. 

  Bob descend un peu plus le pantalon de Dick et lui caresse les couilles et l'entrejambe humide de sueur. 

- arrête,  lui dit Dick d'une voix caverneuse,  on pourrait venir et nous voir..

- ne t'inquiète pas,  monte sur le tracteur et tu surveille pendant que je m'occupe de toi. 

Pantalon sur les chevilles, verge à la verticale, Dick s'assoie sur le siège et laisse Bob lui lécher la hampe.  Il ferme les yeux et se laisse emporter par la douceur du moment. 

Bob attrape sa queue,  la branle quelques secondes puis descend son visage vers elle, de plus en plus près. Il sent maintenant la forte odeur de ses parties génitales. Autant de sueur que de sperme et de pisse, le bougre a dû se branler hier soir ou même ce matin!. Cela ne le repousse pas, bien au contraire c’est cette odeur qui le pousse à lécher sous les couilles,  la toison humide puis à avaler sa bite, se délectant de ce goût caractéristique de mec. Bob remonte lentement le long de la hampe puis redescend, il va et  vient le long de son dard en passant bien sa langue partout. Le mandrin de Dick est magnifique,  total épanoui sous le soleil et le regard de Bob qui s'éclate dessus.  Dick murmure,  

- c'est cool ce que tu me fais,  mec...

- tu vois qu'est-ce que ça peut foutre que ça soit un mec ou une fille qui te donne du plaisir.. d'ailleurs je parierais qu'aucune ne te l'a fait aussi bien! Rétorque Bob qui  s'applique au maximum, léchant le gland et avalant jusqu’à sa glotte. Son  souffle s’accélère, dick imprime de légers mouvements de hanches, attrape la tête de Bob et lui donne le rythme. Son gland vient taper deux ou trois fois contre sa glotte. Dick ne le ménage plus, tout à son plaisir nouveau, il lui baise la bouche. Il n'est plus le même gars timoré de tout à l'heure.. 

- si on jouait à autre chose ? Si tu me bouffait le cul comme dans les films !? Je l'ai jamais fait mais ça me tente ...

Surpris,  Bob ne peut que répondre ok.  Dick descend du tracteur,  présente son petit cul galbé à Bob qui lui écarte les lobes. Son sillon est imberbe et il n'a aucun mal à admirer la petite rosace plissée,  là tout près de sa langue.  Il s'en donne à cœur joie,  léchant chaque pli de son œillet,  poussant son bout de langue, frottant avec son menton pas rasé. .  

Dick écarte un peu plus encore les cuisses et de ses deux mains, écarte aussi ses lobes pour que Bob aille encore plus profond. Dick,  gémit,  sa rondelle s'entrouvre peu à peu 

Bob n'en revient pas,  persuadé il y a encore peu qu'il allait forcément se faire sauter par cet "hétéro ", il est presque sûr maintenant que c'est le contraire qui va arriver.  Il se débarrasse de son falze,  sa queue massive et gonflée bat contre son ventre.  Quand Dick l'aperçoit il ne peut s'empêcher de le complimenter...

- tu veux expérimenter autre chose encore?  Lui dit Bob tout en tenant en main son braquemart...

- elle est plutôt imposante... 

- je ferai attention et si j'en crois ce que je vois,  dit Bob en désignant son arrière train,  ça va le faire..  descend du tracteur,  écarte bien les jambes et met ta jambe ici bien levée sur le marchepied du haut. 

Après cela Bob reprend son investigation anale,  crachant abondamment sur sa rondelle puis mouille un doigt et doucement force le passage ce qui fait couiner Dick. Il le tourne, retourne effectue quelques va-et-vient avant d'en  fourrer un second, direct.  Dick beugle comme s'il avait mal mais en réalité c'est le plaisir qui monte en lui.

Après quelques aller-retour, ses plaintes se transforment en gémissements. C'est trop bon! Putain, Bob sait vraiment y faire. Sa pogne s'active sur son boule et ses phalanges coulissent bien. Il présente trois doigts que Dick aspire aussitôt. Bob est quand même surpris que ce "trou d'hétéro" se détende à ce point et qu'il arrive à le doigter si facilement.  En plus il a vraiment L'air de s'éclater ! Il pousse carrément son cul en arrière pour mieux s'empaler sur ses grosses phalanges. C'est lui qui fait tout le travail, il ne pense à rien d'autre qu'à s'offrir. 

Au bout d'un certain temps, Bob finit, dans un bruyant flop  par retirer ses doigts,  et Dick pousse comme un soupir de déception. Putain se dit Bob sa rondelle est super dilatée.. Bob est maintenant impatient,  Il se positionne, présente son gland à l'entrée de l'œillet offert et ouvert puis s'appuie sur les reins pour ajuster la hauteur...

Comme une brûlure d'eau bouillante, une grosse sensation de chaleur et de feu envahit Dick qui gémit profondément la bouche ouverte, sous le coup de la surprise. Son gros dard a perforé sa rondelle sans prévenir, son manche l'a pénétré. Dick soulève ses fesses par réflexe, pour une meilleure prise.

D'office, Bob s'appuie sur son dos afin qu'il se cabre au maximum. Dick sent cette monstrueuse bite en lui qui lui a ouvert le fion en grand. Quelques fois,  Bob s'extraie complètement et Dick sent l'air frais le pénétrer délicieusement. .

- T'es  bien serré Dick. Mon zob se sent bien dans ton petit cul d'hétero.   

 Bob accélère ses coups de butoir en mode char d'assaut. Son anus brûle, pénétré à l'extrême mais il adore grave sentir le bassin de Bob cogner brutalement contre ses fesses,  il adore grave le bruit de flipflap de cette matraque qui le pilonne. 

Alors, il s'empale de plus belle sur cette bite de cheval. Il voudrait tellement le vidanger, là, sur ce tracteur. 

bob manœuvre son engin avec de puissants coups de bélier, ce qui  fait geindre Dick encore plus fort. Il le maintient fermement avec ses mains plaquées sur sa croupe.  Dick bande comme un âne,  sa queue frappe durement son ventre à chaque coup de reins de Bob . Un copieux filet de mouille s'écoule et vient s'écraser sur le métal du tracteur.  Il est au bord de l'orgasme et en veut encore. Il imagine la queue rigide fourrée entièrement dans son cul et serre le plus possible ses sphincters ce qui fait grogner de plaisir Bob. 

Dick passe une main derrière et tâte les couilles gorgées de jus de Bob et imagine déjà son rectum rempli de tout ce foutre. 

Bob est en nage et est proche de l'orgasme.  Il ressort complètement, le soulageant quelques instants du feu qui le brûle puis lui tartine l'œillet de salive et l'empale de nouveau à la hussarde. Cette fois, il entre avec une facilité déconcertante tant son trou est resté ouvert.

Dick grogne à peine, ne maîtrisant plus rien, anéanti par la bouffée de chaleur que lui procure ce pilonnage en règle. Des sensations nouvelles se répandent en lui. 

Le feu s'est estompé, laissant place au bonheur d'être possédé. Bob de son côté intensifie encore ses coups de butoir.  L'orgasme est proche. D'instinct, Dick se  cambre encore plus pour offrir son cul pour l'estocade finale.

Ses coups de butoir deviennent plus erratiques. Il n'est pas loin de jouir. Il manque de le faire tomber mais Dick s'agrippe au volant du tracteur. Ileurs halètements doivent s'entendre de loin!

Leurs corps s'ajustent. Son piston entre en action. Le festival peut se poursuivre.

Ses dernières plaintes de petit puceau se mêlent à ses halètements.  Bob le machine comme une bête. Il accélère ses va-et-vient, s'accroche à ses hanches. duck finit,  sans même se toucher, par gicler et éjaculer tout le sperme de ses couilles, tant son excitation est violente. Les parois rouge du tracteur  sont aspergées de foutre tellement il le secoue.

Il continue néanmoins à le  défoncer comme un animal en rut. Enfin, après un dernier coup de reins, Bob s'immobilise. Ses mains restent bloquées sur le dos de Dick les couilles collées contre son derche. Dans un spasme profond,  caverneux, le foutre se déverse en salves succesives  dans le rectum de Dick. Bob n'en finit pas de juter. Dick sent les soubresauts de son énorme pieu pulser dans son ventre. Il le remplit. Son gland gorgé de sang crache toute sa sauce dans ses entrailles. Le plaisir est si intense que deux nouvelles giclées s'échappent de sa queue. Il les récupère sur son doigt avant de les porter à sa bouche.

Bob finit par se retirer et Dick sent un filet de liquide chaud descendre le long de ses jambes. 

Apres quelques instants de repos,  ils se contemplent avec fierté et bonheur puis s'enlacent. 

-  C'était super mais j'ai du mal à croire que c'était ta première fois...

Dick a simplement sourit.  Il est beau,  resplendissant de bonheur.  Son torse tatoué brillant de sueur,  sa verge encore raide goûtant encore un mince filet de sperme. 

- viens à la maison, on a mérité un bon café et après on pourra se laver dans le bassin derrière la maison.  Et peut-être qu'on pourrait recommencer ?!