11 avril 2024

soirée de dingue , le serveur du bar (1)

 


il y a des soirs comme ça! on a envie de se déchainer, de s’éclater, s'envoyer en l'air. Donner à chaque minute passée son poids d'intensité, de volupté ; car chaque minute, chaque instant compte. Et, surtout, on ne veut pas en perdre une miette.

Il y a des soirs comme ça, ou chaque atome de votre corps, chaque neurone se mobilise pour réclamer son poids de volupté. Vous avez les hormones à l'envers, vous n’êtes plus maître de vous. Alors puisque la nuit est belle, puisque la nuit ne fait que commencer, puisque vous avez la vie devant vous, vous allez vous donner à fond, vous abandonner complétement à vos désirs ; assouvir votre corps, l'apaiser.

Ici à NYC, les nuits peuvent être folles, délirantes. On peut danser et s’éclater jusqu'au bout de la nuit ; nus, les corps dégoulinant de sueur. Pour sûr les corps se rapprocheront, pour sûr vous savez comment cela va finir et c'est ça qui vous fait délirer, impatient de voir la nuit tomber. Ce soir, c’était un de ces soirs.  J'avais la ferme intention de m'abandonner à toutes mes envies et surtout celles des autres... 

Tenue de combat en cette chaude soirée de printemps.  Un tee-shirt,  un jean taille basse sans ceinture  à même le corps afin que l'on puisse apercevoir dans certains gestes mes adorables fossettes dorsales ou mon pubis rasé selon les cas rien dessous . J'étais hyper chaud ! À peine mon Jean boutonné, qu'une tache de mouille est apparue...

Il était encore tôt dans la soirée et avant toute initiative, il me fallait me mettre en condition. En me baladant dans une rue très animée du quartier gay, je suis rentré un peu au hasard dans un petit bar pas très fréquenté encore. Cela impliquait mater, me rassurer sur l'effet éventuel que je pouvais faire autour de moi et boire quelques verres.  Après on verra où mes pas me mèneront.  Boite de nuit pour danser,  sexclub,  sauna, toutes les options étaient sur la table. 

Le bar était plutôt étroit avec un comptoir sur toute sa longueur. Les sempiternels écrans diffusant une musique de circonstances, quelques clients en couple ou seuls.  Le bar était tenu par une drag Queen à l'entrée et ... un flash de beau mec à l'autre bout.  Un grand gaillard torse nu musclé, fine moustache,  un personnage à la Tom of Finland !

C'est vers lui bien sûr que je me suis dirigé.  Il m'a, en me voyant arriver, offert un sourire ravageur, de ceux qui vous font sentir immédiatement à poil.  J'ai demandé en bafouillant une bière. 

- offert par la maison, a-t-il simplement dit en la posant devant moi.

Il a soudain posé sa main sur la mienne, s'est rapproché tout près de mon visage, les yeux brûlants rivés sur les miens, 

- j'espère qu'elle est assez fraîche ? J'ai l'impression que tu as très chaud,  

Je n'ai pas su quoi répondre... Le mec hyper sex que j'étais en entrant était devenu tout timide !

J'ai bu quelques gorgées tout en continuant à le regarder travailler.  Le mouvement de ses muscles tandis qu'il lavait les verres,  ses aisselles velues tandis qu'il prenait une bouteille sur l'étagère, les effluves masculines qu'il dégageait au moindre mouvement, la ceinture de son jockstrap qui dépassait d son jean, tout cela me faisaient bander.  J'étais conquis. 

À un moment,  il s'est approché de la drag pour lui susurrer quelque chose à l'oreille tout en me désignant du regard. Celle-ci a sourit et hoché de la tête. 

Le gars s'est alors approché de moi, 

- j'ai très envie de te faire visiter notre réserve, il y fait très frais,  je crois que ça te fera du bien. Sans attendre la réponse, il s’est glissé sous le bar, m'a pris par la main et il m'a entraîné derrière un rideau de plastique qui occultait la réserve. 

Aussitôt, à peine entrés, nos bouches et nos langues se sont entrechoquées violemment. Son torse, ses bras que je découvrais des deux mains, étaient humides de sueur,  je sentais ses muscles fermes sous les doigts.  Ma queue  se raidissait douloureusement à l'étroit dans mon jean et j'ai vu ses yeux briller quand il m'a agrippé fermement la braguette.    

Tandis qu'il me bécotait fougueusement,  ses deux mains sur mon cou,  je caressais sa braguette.  Sa queue était là dure sous le tissu,  je voulais la voir, la tenir, la  bouffer.. 

Je me suis baissé, j’ai embrassé, mordu le coton rêche de son jean.  Puis tandis qu'il dégrafait sa ceinture, j'ai déboutonné nerveusement sa braguette, baissé son pantalon jusqu'aux cheville.  Elle était là sous le jock élimé déformé par l'érection.  J'ai mordillé, léché le tissu, humé ses senteurs intimes pour enfin libérer le braquemart qui s'offrait à moi. 

Une merveille, longue, épaisse, lourde.  Le gland déjà humide de mouille. 

Les poils pubiens quoique rasés, entouraient bien le zob et les couilles en étaient recouvertes, un poil noir et légèrement frisé et je l'ai humé cette odeur particulière d'épices originales.

J'ai observé en tenant son beau vit dans ma main, le gland circoncis, on voyait bien tous les dessins sur la peau du gland, cette peau tendue, le méat grand ouvert; des perles de mouilles arrivaient, j'ai serré, la perle est sortie, j'ai léché, il aimait ça et il poussait ma tête tout en couinant.

De la pointe de la langue je suis parti des couilles pour remonter sur la hampe, entourer le gland, l'avaler, l'aspirer, le sucer et l'avaler.  

Je n'arrêtais pas de lui triturer les couilles, glissant mes doigts dessous pour aller dans sa raie qu'il m’offrait !

Je le suçais de plus en plus vite, sa main s'était posée sur ma tête et suivait le mouvement, j'ai senti son gros gland durcir et le zob comme s'allonger dans ma bouche, il a émis un long grognement, en soulevant son cul, permettant à mon doigt de trouver sa rondelle.

Il a commencé alors à me baiser la gorge à petits coups de bassin poussant sa tige entièrement jusqu'à la glotte.  J'en pleurais mais de joie et de fierté à la prendre tout entière. 

Après cela il m'a relevé, collé contre le mur et après m'avoir bécoté furieusement. Il m'a fait ôter mon tee-shirt pendant qu'il déboutonnait mon falze et m'en débarrassait.  Il m'a retourné, fait écarter les jambes et il a commencé à fouiller ma raie à  grands coups de langue, 

- putain mec, c'est beau ça,  wide open mec !

J'ai obéi, ouvrant bien mes fesses, j'ai senti ses doigts passer dans la raie, toucher mon anus, un doigt s'enfoncer facilement! J'étais cambré au maximum, j’avais hâte de sentir son braquemart me labourer le cul. 

Il alternait avec la langue et ses doigts, l’air rafraichi par sa salive  s'engouffrait dans mon anus. C'était que du bonheur et je gémissais de plaisir.

- j'le savais que t'avais grave envie d'une bite!

Il m'a doigté rapidement avec deux doigts et son gros gland est venu se poser à l'entrée, forçant de suite!

J'aime ce moment où une nouvelle bite vient faire connaissance avec mon petit trou! Sentir mon cul s'ouvrir, sentir la peau douce et chaude du gland glisser et se laisser enrober! Mais là je n'ai pas eu le temps d'apprécier cette première fois, il était pressé, déchainé.  D'un grand coup de reins son braquemart est entré, une douleur fulgurante m'a traversé en même temps que je hurlais ! Mais j'ai senti ses poils se coller à mes fesses et ses couilles frapper les miennes!

Il m'a fait me relever, me collant contre lui, ses mains sur ma poitrine, je sentais son vit palpiter dans mon cul!

-putain de cul que t'as man! Tu viens de prendre 23 centimètres man! Ma queue est heureuse et elle va te donner plein de jus!

Il m'a mordu dans la nuque, avant de me repousser en avant, de m'agripper les hanches et si vous ne savez pas ce que veut dire se faire niquer et bien je vous le présenterai !


J'ai eu mal les premières minutes de sentir ce gros machin voyager dans mon conduit sans aucun ménagement !

 Il allait de plus en plus vite, ça claquait sur mes fesses de plus en plus fort et surtout de plus en plus vite. 

Son mandrin me labourait les entrailles excitant ma prostate. Ma queue dressée à rompre battait contre mon ventre et un copieux filet de mouille s'en écoulait. J'étais au bord de l'orgasme et bientôt j'ai joui sans même me toucher, envoyant plusieurs giclées de foutre contre le mur. Ça l'a excité quand encore plus et après deux ou trois coups de reins encore plus puissants que les autres, il s'est bloqué au fond de moi en hurlant également!

Tout le bar devait entendre nos gémissements de plaisir, mais on s'en foutait !

J'ai senti sa première giclée chaude et épaisse se répandre en moi, m'inondant bien le conduit; les giclées se succédaient, il me semblait qu'elles étaient toujours aussi fortes, il criait à chaque fois! Ses mains me caressaient les fesses, le dos! Des caresses douces, tendres!

Il est sorti rapidement de moi, je l'entendais souffler comme s'il reprenait son souffle!

Je me suis retourné pour m'agenouiller et observer ce qui venait de me transpercer.  

Quand j'ai levé les yeux vers lui, il me regardait en souriant!

Il bandait encore. Sa verge était couverte de foutre alors je l'ai caressée en passant le gland sur mes lèvres et je l'ai léchée entièrement.

Voir sa queue qui venait de laminer mon cul nettoyée à grands coups de langue lui a redonné de la vigueur.  Il a posé sa main sur ma tête et le gros serpent est rentré doucement !  J'étais asphyxié complètement, je toussais, je crachais sur cette belle queue et je me suis appliqué pour la sucer, lui tailler la meilleure pipe avec tous mes talents !

Il avait l'air d'apprécier tellement il gémissait!

Quand je sentais ses mains me serrer la tête, son zob durcir encore plus, je jouais avec ses couilles lâchant le zob, pour recommencer et l'agacer, pour qu'il gémisse encore et encore!

 Il m'a enfin bloqué la tête, le gland juste à l'entrée de ma gorge et les giclées chaudes sont revenues ! Putain de giclées, énormes, et ce sperme épais au bon goût ! J'ai vachement aimé cette première fois et lui également apparemment, car il est tombé à genoux devant moi!

Il avait son regard de mec étonné!

-t'es le premier à me faire jouir deux fois coup sur coup man!

-t'as un zob magnifique, comme toi d'ailleurs! mais regarde j'ai la queue raide comme un piquet!  Elle me fait mal!

-branle toi man ! dit-il en me fixant de son regard dominateur.

-fais le moi.

Il a eu l'air étonné que je lui demande cela.

-s'il te plait.

Sa main s'est emparée de ma queue et m'a branlé maladroitement, sèchement même! Mais j'étais content et tellement excité que je n'ai pas mis longtemps à jouir, me répandre sur son corps, ses poils, son vit qui bandait encore à moitié !

Je lui ai fait un bisou dans le cou pour le remercier, je l'ai senti frissonner !


Il fallait se rhabiller rapidement, il avait un boulot tout de même! Avant qu'il ne le mette, je me suis emparé de son jockstrap, je l'ai reniflé u instant,

- souvenir, mec! et je l'ai enfilé. On s'est rapidement rhabillés. en sortant, j'ai piqué un sweat à capuche ui devait lui appartenir également, souvenir encore ai-je dit! 

j'ai vu la drag lui faire les gros yeux; le bar était plein de monde, elle était débordée et apparemment on nous avait entendu gémir ce qui, je l'ai compris plus tard avait fait rigoler l'assistance. Le rideau de séparation en lamelles translucides de plastique avait été plusieurs fois soulevé par des clients qui s'étaient régalés du spectacle; nous on n'avait rien vu!

j'ai fait un clin d'oeil à mon serveur et j'ai poursuivi ma route vers l'inconnu.


A suivre!



 



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