Le soir venu, la maisonnée était paradoxalement moins animée. Après le repas, de petits groupes se sont formés mais c'était soit pour des parties de billard soit pour des parties de jeux de cartes ou vidéos.
Bret
avec qui j'avais passé le reste de l'après-midi, m'a proposé de rejoindre
notre chambre " on y sera plus tranquilles".
-
je dors où, lui ai-je demandé en rentrant.
-
vu la taille du plumard, on sera à l'aise tous les trois et puis qui sait
peut-être que David trouvera un autre nid douillet pour cette nuit !
Nous
avons passé notre temps à papoter couchés sur le lit. C'était très
agréable de se raconter nos existences. Bret écoutait attentivement et ses
réflexions étaient intéressantes. Pendant nos échanges nous étions comme
deux amis intimes, très proches. Nous étions toujours uniquement vêtus de nos
CK blancs, nos corps se touchant, se frôlant par moment et il arrivait que l'un
ou l'autre caresse l'autre. Nulle tension sexuelle pendant ce début de
soirée, juste une grande tendresse.
Quand
David est arrivé, il s'est exclamé,
-
salut les filles ! J’interrompt quelque chose ? J'ai l'impression de voir ma
sœur quand elle invite une copine à une soirée pyjama !
Il
se jette littéralement sur le lit à nos côtés,
-
hmmm! Vous êtes super sexy les gars, ... dire qu'on va devoir partager le lit à
trois... je vais jamais y arriver sans un peu d'exercice avant....
Et
le voilà qui nous colle à Bret et à moi, un gros baiser ..
Puis
il se met debout sur le lit, baisse son slip et sort sa teub déjà bien
dure.
-
allez les gars, je suis votre dessert, venez déguster.
Avec
Bret on s'est regardés un instant et un clin d'œil a suffi. On s'est
embrassés goulûment, on s'est relevés sur les genoux et on a commencé à
s'attaquer au mandrin de David passant tour à tour de la verge aux couilles
qu'il avait bien fermes.
Ma
queue déformant mon slip, je me suis dressé moi aussi. J'ai posé ma bouche sur celle de David et nous avons entrepris un long et
passionné combat de langues. Tandis que Bret avait fort à faire avec nos
deux bites qu'il léchait, gobait, suçait tour à tour. Le souvenir de Bret
superbement baisé sur la plage m'est revenu en mémoire et j'ai eu immédiatement
comme objectif de le baiser cette nuit.
- Bret,
j’ai très envie de toi, tu veux ?
Sa
seule réponse à été de se mettre à quatre pattes sur le lit. David m'a fait un
clin d'œil complice puis a aidé Bret a bien écarter les jambes avant de lui
offrir sa teub à gober.
Je
me suis installé derrière lui, j'ai écarté ses globes. Sa rosace était là
devant moi, déjà entrouverte. Je l'ai caressée du bout de la langue et il a
gémit malgré la tige de David qui lui baisait la gorge.
Son
cul avait un goût extraordinaire, un goût de sel de mer et de sperme. Un
délice.
J'ai caressé sa fente du bout de mon gland ; ses sphincters vibraient contre la fragile peau de mon gland décalotté. J'ai forcé le passage jusqu'à sentir ses fesses contre mon ventre et j'ai entamé alors un cycle endiablé de va-et-vient tout en poussant sa tête contre le ventre de David. Ses gémissements se mêlant aux bruits de succion et de déglutition.
Puis David s'est retourné pour coller son cul contre le visage de Bret. Il tenait ses globes bien écartés avec ses mains pour aider Bret à atteindre son œillet pendant que je continuais à le pilonner sauvagement.
David
s'est de nouveau retourné. Son pieu était raide, tuméfié ; toutes veines
gonflées et apparentes, le gland rouge vermeil humide de mouille. Je me suis
baissé et couché sur le dos de Bret, pour me disputer avec lui le bonheur de
l'avoir en bouche.
Subitement,
ce vit que je léchais, je l'ai voulu en moi ! Je me suis séparé de Bret,
-
Met-toi contre le mur lui ai-je dit, et je l'ai empalé à nouveau d'un
coup. J'ai écarté les cuisses et offert mon cul à David qui après avoir
enduit ma rondelle de gel, s'est enfoncé en moi. Ses coups de
reins poussaient son braquemart bien profond en moi et poussaient du même
coup ma bite dans le cul serré de Bret. Je lui mordillais le cou, les oreilles
et ce n'était que gémissements et grognements.
J'ai
continué un court moment à le laminer mais il serrait tellement fort ses
sphincters autour de ma bite que je n'ai pas tardé à inonder son tréfonds de ma
semence. Nous nous sommes écroulés les uns sur les autres en riant et en
léchant le visage de Bret maculé de foutre.
Demain
il fera jour !
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